Persona. Masques rituels et oeuvres contemporaines, musée de Tervuren
Persona. Masques rituels et œuvres contemporaines est une exposition temporaire axée sur le thème de l’identité, par le biais du masque considéré au sens propre et figuré.
« En latin, personadésignait le masque de l’acteur. (…) D’une façon très générale, la persona est le masque que tout individu porte pour répondre aux exigences de la vie en société » (Encyclopædia Universalis).
L’exposition présente 180 masques dont plus de cent proviennent des collections du Musée royal de l’Afrique centrale, les autres étant empruntés à des collections privées belges et à 4 musées partenaires d'un projet européen : Musée du quai Branly de Paris, le musée d’Ethnographie de Stockholm, le Museo Nazionale Preistorico Etnografico Luigi Pigorini de Rome et le Musée du Carnaval et du Masque de Binche.
Ces masques rituels sont mis en dialogue avec des œuvres contemporainescréées par des artistes africains ou de la diaspora africaine, et qui explorent la question de l'identité, du respect de soi ou de la représentation de l'Autre.
Persona. Masques rituels et œuvres contemporainesest réalisée dans le cadre du projet européen READ-ME (Réseau européen des Associations de Diasporas & Musées d’Ethnographie), qui vise à encourager le dialogue avec les associations de diasporas installées en Europe et concernées par les collections des musées.
Le masque traditionnel, tel qu’utilisé durant les cérémonies et les fêtes africaines, est toujours bien plus que le visage de bois porté par le danseur : il permet à une entité de prendre corps, avec sa propre façon de danser, de se mouvoir. Le porteur se transforme en une autre personne, en une divinité, parfois même en animal.
L’expo présente les 180 masquesd’une façon nouvelle, groupés selon 18 thèmes : l’historique de la collection, le rôle du masque dans la communication avec le surnaturel, dans la récolte, lors du rituel d’initiation, dans une cérémonie funéraire, etc.
Voici un aperçu de quelques-uns de ces groupes :
Les masques sont accompagnés d'œuvres de 14 artistes contemporains :
Sammy Baloji, Moustapha Dimé, Romuald Hazoumé, EL Loko, Angèle Etoundi Essamba, Abdoulaye Konaté, Ndary Lô, Aimé Mpane, Aimé Ntakiyica, Yinka Shonibare, Barthélémy Toguo, Freddy Tsimba, Antoine Tempé et Dominique Zinkpé.
Ces œuvres interrogent sur l’identité, le respect de soi et la représentation de l’Autre.
« En latin, personadésignait le masque de l’acteur. (…) D’une façon très générale, la persona est le masque que tout individu porte pour répondre aux exigences de la vie en société » (Encyclopædia Universalis).
L’exposition présente 180 masques dont plus de cent proviennent des collections du Musée royal de l’Afrique centrale, les autres étant empruntés à des collections privées belges et à 4 musées partenaires d'un projet européen : Musée du quai Branly de Paris, le musée d’Ethnographie de Stockholm, le Museo Nazionale Preistorico Etnografico Luigi Pigorini de Rome et le Musée du Carnaval et du Masque de Binche.
Ces masques rituels sont mis en dialogue avec des œuvres contemporainescréées par des artistes africains ou de la diaspora africaine, et qui explorent la question de l'identité, du respect de soi ou de la représentation de l'Autre.
Persona. Masques rituels et œuvres contemporainesest réalisée dans le cadre du projet européen READ-ME (Réseau européen des Associations de Diasporas & Musées d’Ethnographie), qui vise à encourager le dialogue avec les associations de diasporas installées en Europe et concernées par les collections des musées.
Exposition
Un masque cache une identité, ou la révèle.Le masque traditionnel, tel qu’utilisé durant les cérémonies et les fêtes africaines, est toujours bien plus que le visage de bois porté par le danseur : il permet à une entité de prendre corps, avec sa propre façon de danser, de se mouvoir. Le porteur se transforme en une autre personne, en une divinité, parfois même en animal.
L’expo présente les 180 masquesd’une façon nouvelle, groupés selon 18 thèmes : l’historique de la collection, le rôle du masque dans la communication avec le surnaturel, dans la récolte, lors du rituel d’initiation, dans une cérémonie funéraire, etc.
Voici un aperçu de quelques-uns de ces groupes :
- Tableau de « chasse » – l’acquisition de la collection
- Associations de bienfaiteurs – Les masques GURO
- L’Autre de l’Autre – la perception de l’étranger
- No man’s land – le masque et l’initiation
- Adieu? – le masque et la cérémonie funéraire
- Un autre règne – l’univers des animaux, source d’inspiration
Les masques sont accompagnés d'œuvres de 14 artistes contemporains :
Sammy Baloji, Moustapha Dimé, Romuald Hazoumé, EL Loko, Angèle Etoundi Essamba, Abdoulaye Konaté, Ndary Lô, Aimé Mpane, Aimé Ntakiyica, Yinka Shonibare, Barthélémy Toguo, Freddy Tsimba, Antoine Tempé et Dominique Zinkpé.
Ces œuvres interrogent sur l’identité, le respect de soi et la représentation de l’Autre.