Result of the research : 'Équatoriale'
NEYT François
FLEUVE CONGO: Arts d'Afrique centrale, correspondances et mutations des formes
Détails sur le produit:
Couverture reliée sous jaquette en couleur: 405 pages - Format: 29,7 x 24,5 cm - 400 illustrations - Musée du quai Branly
Editeur : Fonds Mercator Bruxelles (12 juin 2010) - Collection : FONDS MERCATOR
Langue : Français - ISBN -10: 9061539145 - ISBN -13: 978-9061539148
NEYT François - FLEUVE CONGO - Arts d'Afrique centrale, correspondances et mutations des formes
Descrizione libro - Présentation de l'éditeur - Biographie de l'auteur
Descriptions du produit:
Descrizione libro
Cet ouvrage met en lumière les interrelations qui unissent la production artistique des groupes humains de l'Afrique centrale. Les correspondances et les mutations des formes présentées mettent en évidence les sources d'inspiration de ces populations s'exprimant dans une langue bantoue. Ces sculptures traduisent à leur manière la présence d'une civilisation unique de la côte atlantique aux abords du lac Tanganyika à l'est. Celle-ci couvre le bassin du fleuve Congo et celui d'Ogooué au Gabon. De nombreuses cartes géographiques ponctuent le passé culturel de ces peuples, leurs migrations et la localisation des sculptures choisies. Les trois thèmes retenus se présentent comme un chemin initiatique soulignant
[ See the continuation... ]
|
FALGAYRETTES-LEVEAU Christiane, C.&P. LABURTHE-TOLRA, TESSMANN Günter
FANG
Détails sur le produit:
Broché: 324 pages - Editeur: Editions Dapper (2001) - Collection: Publication - Langue: Français - ISBN-10: 2906067369 - ISBN-13: 978-2906067369
FALGAYRETTES-LEVEAU Christiane, C.&P. LABURTHE-TOLRA, TESSMANN Günter
FANG
Descriptions du produit
Descriptions du produit:
Musee Dapper, Paris, 2001. Softcover. 12.5" x 9.25". 324 pages. 90 colour and 81 black & white photographs.47 line drawings. 8 plans. 2 maps. Includes extract from Tessman's "Die Pangwe." Text: French. Originally published in 1991 in conjunction with an exhibition with an exhibition at the Musee Dapper.
Très beau catalogue réalisé à l'occasion de l'exposition FANG de 1991 au musée Dapper à Paris. Ce livre reproduit une importante collection de "Byeri"(figures de reliquaire Fang) et quelques masques et objets de la même ethnie. Le texte est en grande partie consacré à l'ouvrage de Günter TESSMANN "Die Pangwe" (les pahouins) édité en 1913. "Die Pangwe" document ethnologique, véritable encyclopédie sur la vie des Ethnies dites "Fang", a été rédigé à la suite d'une expédition de plus de 2 ans (1907-1909) aux limites du Cameroun, de la Guinée équatoriale et du Gabon, il est reproduit
[ See the continuation... ]
|
223. Voyage au Congo (100' - 1927) Marc Allégret 8/20
La réputation de ce film n'est plus à faire et il n'est plus nécessaire de le présenter comme complément au livre de Gide paru au même moment sous le même titre. Lors de ce voyage Marc Allégret n'était encore qu'un cinéaste en herbe et c'est en qualité de secrétaire de Gide qu'il allait parcourir l'Afrique pour en ramener cet extraordinaire poème cinématographique. Cela pour dire qu'au départ il n'y avait pas vraiment ambition de tourner un film sur l'Afrique. Il ne s'agissait donc pas d'une expédition cinématographique et c'est ce qui en fait la beauté et l'intérêt intemporels. Marc Allégret a délibérément supprimé ce qui pouvait rappeler proprement le voyage et mettre en
[ See the continuation... ]
|
LES GRANDES EXPOSITIONS COLONIALES : Les expositions coloniales furent organisées au XIXe siècle et dans la première moitié du XXe siècle dans les pays européens. Elles avaient pour but de montrer aux habitants de la Métropole les différentes facettes des colonies. Les expositions coloniales donnaient lieu à des reconstitutions spectaculaires des environnements naturels et des monuments d'Afrique, d'Asie ou d'Océanie. La mise en situation d'habitants des colonies, souvent déplacés de force, les fera qualifier dans les années 2000 de zoos humains. La France compte alors 41,8 millions d'habitants et son Empire colonial, second derrière celui du Royaume-Uni, 67 823 000 personnes pour une superficie de 12 356 637 km².
1866 : Exposition Intercoloniale de Melbourne (Intercolonial Exhibition of Australasia) 1870 : Exposition Intercoloniale de Sydney (Intercolonial Exhibition) 1875 : Exposition Intercoloniale de Melbourne (Victorian Intercolonial Exhibition) 1876 : Exposition Intercoloniale de Brisbane (Intercolonial Exhibition) 1883 : Exposition Internationale et Coloniale d'Amsterdam (Internationale Koloniale en Untvoerhandel Tentoonsellung) 1886 : Exposition Coloniale et Indienne de Londres (Colonial and Indian Exhibition) 1894 : Exposition Internationale et Coloniale de Lyon. Elle vit l'assassinat du président de la République Sadi Carnot. 1894 : Exposition Insulaire et Coloniale de Porto (Exposição Insular e Colonial Portuguesa) 1898 : Exposition internationale et coloniale de Rochefort-sur-Mer 1902 : Indo China Exposition Française et Internationale de Hanoï 1902 :
[ See the continuation... ]
|
Afrique Sacrée II juin 2006
Œuvres des collections du Cirque du Soleil, du Musée des beaux-arts de Montréal et du Musée Redpath, Université McGill
 Masque de danse okouyi En juin 2006, le Musée des beaux-arts de Montréal mettait à l’honneur l’art du continent africain en révélant des œuvres de très grande qualité provenant de la collection de Guy Laliberté. Afrique sacrée I était le résultat d’un partenariat inédit, issu d’une sélection de pièces provenant de trois collections montréalaises – universitaire, beaux-arts et corporative – celle du musée Redpath de l’Université McGill, du Musée des beaux-arts de Montréal et du Cirque du Soleil.
À compter du 19 novembre 2008, Afrique sacrée II propose une nouvelle sélection d’œuvres majeures, provenant principalement de la collection de Guy Laliberté, qui illustre les approches plastiques d’autres peuples d’Afrique de l’Ouest et d’Afrique équatoriale et du centre. Afrique sacrée II : œuvres des collections du Cirque du Soleil, du Musée des beaux-arts de Montréal et du musée Redpath, Université McGill rassemble 48 œuvres, des sculptures, des masques et des objets, dans des nouvelles salles plus vastes qui seront dorénavant dévolues à l’art africain. « Le Musée est heureux de ce
[ See the continuation... ]
|
LES GRANDES EXPOSITIONS COLONIALES : Les expositions coloniales furent organisées au XIXe siècle et dans la première moitié du XXe siècle dans les pays européens. Elles avaient pour but de montrer aux habitants de la Métropole les différentes facettes des colonies. Les expositions coloniales donnaient lieu à des reconstitutions spectaculaires des environnements naturels et des monuments d'Afrique, d'Asie ou d'Océanie. La mise en situation d'habitants des colonies, souvent déplacés de force, les fera qualifier dans les années 2000 de zoos humains. La France compte alors 41,8 millions d'habitants et son Empire colonial, second derrière celui du Royaume-Uni, 67 823 000 personnes pour une superficie de 12 356 637 km².
1866 : Exposition Intercoloniale de Melbourne (Intercolonial Exhibition of Australasia) 1870 : Exposition Intercoloniale de Sydney (Intercolonial Exhibition) 1875 : Exposition Intercoloniale de Melbourne (Victorian Intercolonial Exhibition) 1876 : Exposition Intercoloniale de Brisbane (Intercolonial Exhibition) 1883 : Exposition Internationale et Coloniale d'Amsterdam (Internationale Koloniale en Untvoerhandel Tentoonsellung) 1886 : Exposition Coloniale et Indienne de Londres (Colonial and Indian Exhibition) 1894 : Exposition Internationale et Coloniale de Lyon. Elle vit l'assassinat du président de la République Sadi Carnot. 1894 : Exposition Insulaire et Coloniale de Porto (Exposição Insular e Colonial Portuguesa) 1898 : Exposition internationale et coloniale de Rochefort-sur-Mer 1902 : Indo China Exposition Française et Internationale de Hanoï 1902 : Exposition Internationale et Coloniale des Etats-Unis de New York (United
[ See the continuation... ]
|
LES GRANDES EXPOSITIONS COLONIALES : Les expositions coloniales furent organisées au XIXe siècle et dans la première moitié du XXe siècle dans les pays européens. Elles avaient pour but de montrer aux habitants de la Métropole les différentes facettes des colonies. Les expositions coloniales donnaient lieu à des reconstitutions spectaculaires des environnements naturels et des monuments d'Afrique, d'Asie ou d'Océanie. La mise en situation d'habitants des colonies, souvent déplacés de force, les fera qualifier dans les années 2000 de zoos humains. La France compte alors 41,8 millions d'habitants et son Empire colonial, second derrière celui du Royaume-Uni, 67 823 000 personnes pour une superficie de 12 356 637 km².
1866 : Exposition Intercoloniale de Melbourne (Intercolonial Exhibition of Australasia) 1870 : Exposition Intercoloniale de Sydney (Intercolonial Exhibition) 1875 : Exposition Intercoloniale de Melbourne (Victorian Intercolonial Exhibition) 1876 : Exposition Intercoloniale de Brisbane (Intercolonial Exhibition) 1883 : Exposition Internationale et Coloniale d'Amsterdam (Internationale Koloniale en Untvoerhandel Tentoonsellung) 1886 : Exposition Coloniale et Indienne de Londres (Colonial and Indian Exhibition) 1894 : Exposition Internationale et Coloniale de Lyon. Elle vit l'assassinat du président de la République Sadi Carnot. 1894 : Exposition Insulaire et Coloniale de Porto (Exposição Insular e Colonial Portuguesa) 1898 : Exposition internationale et coloniale de Rochefort-sur-Mer 1902 : Indo China Exposition Française et Internationale de Hanoï 1902 : Exposition Internationale et Coloniale des Etats-Unis de New York (United
[ See the continuation... ]
|
Congo River Exhibition from June 22 to October 3, 2010 - Quai Branly -
Practical information
Date: Tuesday, June 22, 2010
on Sunday, October 3, 2010
Times: Tuesdays, Wednesdays and Sundays from 11h to 19h Thursday, Friday and Saturday from 11am to 21pm
Location: East Mezzanine
Fares: Ticket collections
37 Quai Branly
75007 Paris
01 56 61 70 00
Metro: Iena
EXPOSURE:
The Musée du Quai Branly This summer, through 170 documents and 80 major works, a major exhibition devoted to the artistic traditions of Central Africa, including Gabon, Republic of the Congo and the Democratic Republic of Congo.
Real journey of leading the visitor of the northern forests to savannas, South exhibition demonstrates the links between works produced in the regions bordering the Congo River, for various populations of Bantu languages.
Behind the variety of masks and sculptures Fang, Hemba, kweli or kota, the exhibition highlights the major works of Central Africa, in their design, structure and artistic connections that bring them closer.
The three themes of the exhibition, common core to these peoples iconophiles are complementary:
* Masks and statues with the "heart-shaped face, and ensure the unity and identity of the respective groups;
[ See the continuation... ]
|
Texte de présentation extrait de l'ouvrage: J. Kerchache, J-L. Paudrat, L. Stephan, L'Art Africain Jacques Kerchache, Citadelles, 1988
Sans méthode préalable, la passion de l'Afrique m'a propulsé au cœur du Gabon, m'a porté du Congo en Guinée équatoriale, de la Côte-d'Ivoire au Libéria, m'a conduit du Burkina Faso au Mali, de l'Éthiopie au Bénin, du Nigeria au Cameroun et de la Tanzanie au Zaïre. De ces expériences parfois difficiles, physiques certes, mais surtout intellectuelles et spirituelles, de ma participation à certaines cérémonies et à diverses manipulations d'objets, de mon immersion temporaire mais effective dans les cultes de l'ancienne Côte des Esclaves, je ne puis restituer aujourd'hui que des sensations, des impressions et je me garderai de toute affirmation.
Cependant, devant la sculpture africaine, il faut cesser d'avoir peur d'être profane et se laisser envahir par elle ; il faut s'en approcher, la fréquenter, se l'approprier, l'aimer. Lui offrir son temps, lui ouvrir sa sexualité, ses rêves, lui livrer sa mort, ses inhibitions, redécouvrir autre chose en soi. Sans lâcheté, ne pas hésiter à désacraliser, sans les rejeter, ses sources culturelles. Ne plus avoir cette taie sur l'œil et se laisser aller à la jouissance, se laisser gagner par la magie.
Même si nous ne pouvons contempler cette sculpture que par fragments, ceux-ci
[ See the continuation... ]
|
Maurice Delafosse Maurice Delafosse (1870-1926) est un administrateur colonial français, africaniste, ethnologue, linguiste, enseignant et essayiste prolifique.
Biographie
Détail de la carte linguistique de Delafosse (1904) montrant la région où l'on parle le nafaanra (Nafana) à la frontière de la Côte d'Ivoire et du Ghana Cette section est vide, pas assez détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue !
Ernest François Maurice Delafosse naît le 20 décembre 1870 à Sancergues dans le Cher, dans une famille catholique. Après une scolarité secondaire brillante, il entreprend d'abord des études de médecine à Paris. Très vite intéressé par les questions coloniales, il s'inscrit en 1890 à l'École spéciale des langues orientales et suit des cours d'arabe.
Un an plus tard, il interrompt ses études pour rejoindre en Algérie l'Institut des Frères armés du Sahara, organisme fondé par le cardinal Charles Lavigerie pour notamment combattre la traite des Noirs dans le Sahara. Il n'y reste que quelques mois, revient à Paris pour terminer son diplôme aux Langues
[ See the continuation... ]
|
Primitive arts: political nomenclature or singular art?
Eugene Berg
Diplomat, former ambassador to Namibia, Botswana and Fiji. Author of 'Non-alignment and
New World Order '(PUF, 1980),' The International Politics since 1955 '(Economica, 1990) and' Chronology
internati''o''nale: 1945-1997 '(PUF, "Que sais-je?", 4th ed, 1997). Works since No. 19-20 to review work
made in the journal 'The Banquet'.
The inauguration of the Musée du Quai Branly, just as the opening
second France-Oceania summit, was a highlight of the cultural
quinquennium of Jacques Chirac. He will no doubt what would have been the Centre
Beaubourg Georges Pompidou, Musée d'Orsay for Valery Giscard
d'Estaing and Francois Mitterand National Library for. Expresses this
place that has done since its opening subject to real and sustained enthusiasm
People and challenges no less significant part of the community
scientific and museum? As written immediately Berenice
Geoffroy-Schneiter, this is "no accident that our west in search of
Spirituality landmarks and turns to these desperate travelers
the invisible. "
[ See the continuation... ]
|
Art contemporain africainL’Art contemporain africain est très dynamique. Il s'inspire aussi bien des traditions du continent que, et c'est de plus en plus le cas, des réalités urbaines contemporaines d'une Afrique en mutation, qui se cherche encore une identité. Les techniques et les supports sont variés, allant de la simple peinture aux installations avec projection vidéo, en passant par des sculptures faites en matériaux de récupération...En 1989, l'exposition « Les magiciens de la terre » (Centre Pompidou, 1989) présentait des œuvres d'art africain contemporain (d'artistes vivants) pour la première fois en Europe, mode de monstration mettant en valeur un certain primitiviste et exotique. En 2005, l’exposition « Africa Remix » qui a été présentée en Allemagne, en Angleterre, en France et au Japon peut être considérée comme la première à présenter un panorama important de l'art contemporain spécifiquement africain, montrant surtout la richesse de l'art africain sub-saharien. Mais l'Afrique elle-même s'est dotée de centres d'art contemporain, de festivals ou biennales sont régulièrement organisés sur le continent pour mettre en valeur le talent des artistes d'aujourd'hui. Quelques artistesAfrique du Sud
[ See the continuation... ]
|
Sir Henry Morton Stanley (né John Rowlands) est un journaliste britannique né le 28 janvier 1841 à Dinbych dans le Denbighshire et mort le 10 mai 1904.
Son père était fermier et s'appelait John Rowlands. Tôt orphelin, il embarque, à l'âge de 15 ans, comme mousse pour l'Amérique. Il débarque à La Nouvelle-Orléans et est adopté par un riche négociant nommé Stanley, qui lui donne son patronyme. Il participe ensuite à la guerre de Sécession comme soldat sudiste avant de devenir le correspondant de divers journaux en Asie mineure et en Abyssinie (Éthiopie).
Henry Morton Stanley
Comment j'ai retrouvé Livingstone
Sa réputation grandit et, en 1869, le rédacteur en chef du New York Herald l'envoie à nouveau en Afrique équatoriale, avec pour mission de retrouver David Livingstone, parti à la recherche de la source du Nil et porté disparu, afin de réaliser un formidable scoop ! Il lui faudra de longs mois pour découvrir le célèbre explorateur. Il y parviendra le 10 novembre 1871. Livingstone bloqué à Ujiji sur les rives du lac Tanganyika, en Tanzanie, est malade et à court de vivres. Plus tard, Stanley publiera le récit de cette aventure qu'il intitulera : Comment j'ai retrouvé Livingstone ; ce
[ See the continuation... ]
|
Pietro Paolo Savorgnan di Brazzà ou Pierre Paul François Camille Savorgnan de Brazza en français, né à Castel Gandolfo le 26 janvier 1852 et mort à Dakar le 14 septembre 1905, est un explorateur italien naturalisé français. Il explora la rive droite du fleuve Congo ouvrant la voie à la colonisation française en Afrique équatoriale. Sa bonhommie, son charme, son approche pacifique des Africains faisaient de Brazza une figure d’exception parmi ses contemporains qui exploraient l’Afrique au nom des grandes puissances occidentales.
Un explorateur pacifique et altruiste
Élevé à Rome, sous le nom de « Pietro Paolo Savorgnan di Brazzà », le futur explorateur est le septième fils des douze enfants du comte Ascanio Savorgnan di Brazzà, un noble d’Udine. Cet homme cultivé et voyageur avait de nombreux amis français, dont le prestigieux amiral Louis de Montaignac. Avec son soutien et celui de son précepteur, Pietro vient à Paris et suit les cours du collège Sainte-Geneviève pour préparer le concours d’entrée à l’École navale de Brest. Il y rentre à 17 ans, en ressort enseigne de vaisseau et embarque sur la Jeanne d’Arc pour l’Algérie. Là-bas, il est horrifié par la violence de la répression de la révolte kabyle par les troupes françaises. La guerre de 1870 est alors déclarée : il veut être affecté dans une unité combattante. Il en profite pour demander la naturalisation française et se retrouve sur le
[ See the continuation... ]
|
Germaine Dieterlen, née à Valleraugue (Gard) en 1903 et morte à Paris le 13 novembre 1999, est une ethnologue française.
Ancienne élève de Marcel Mauss, elle a travaillé au sein des ethnies Dogon et Bambara avec, entre autres, Marcel Griaule, Jean Rouch, Solange de Ganay et Denise Paulme. Elle débuta ses recherches au Mali en 1937 où elle poursuivit les travaux entamés par le répérage de la mission Dakar-Djibouti (voir Dakar et Djibouti) de Griaule et consorts. Elle a été Directeur d'Etudes à l'École pratique des hautes études EPHE (Sorbonne) avec charge d'enseignement.
De 1956 à 1975 elle succède à Marcel Griaule comme secrétaire générale de la Société des africanistes. En 1962 elle fait partie de l'équipe du CNRS RCP n°11 Objet et méthodes d'une ethnosociologie comparée de l'Afrique noire. Fin 1968, la RCP 11 évolue, sous la direction de Germaine Dieterlen, pour devenir le Groupe de Recherche 11, sous le nom de Étude des phénomènes religieux en Afrique occidentale et équatoriale.
En octobre 1971 elle préside le colloque La notion de personne en Afrique noire dont les actes du même nom
[ See the continuation... ]
|
Africa
Africa is the world's second-largest and second most-populous continent, after Asia. At about 30.2 million km² (11.7 million sq mi) including adjacent islands, it covers 6% of the Earth's total surface area and 20.4% of the total land area. With a billion people (as of 2009, see table) in 61 territories, it accounts for about 14.8% of the World's human population. The continent is surrounded by the Mediterranean Sea to the north, the Suez Canal and the Red Sea to the northeast, the Indian Ocean to the southeast, and the Atlantic Ocean to the west. Not counting the disputed territory of Western Sahara, there are 53 countries, including Madagascar and various island groups, associated with the continent.
Africa, particularly central eastern Africa, is widely regarded within the scientific community to be the origin of humans and the Hominidae tree (great apes), as evidenced by the discovery of the earliest hominids and their ancestors, as well as later ones that have been dated to around seven million years ago – including Sahelanthropus tchadensis, Australopithecus africanus, A. afarensis, Homo erectus, H. habilis and H. ergaster – with the earliest Homo sapiens (human) found in Ethiopia being dated to ca. 200,000 years ago.
Africa straddles the equator and encompasses numerous climate areas; it is the only continent to stretch from the northern temperate to southern temperate zones.
Etymology
See the continuation... ]
|
Afrique-Équatoriale française
L'Afrique-Équatoriale française (AEF) était un gouvernement général de possessions coloniales françaises en Afrique centrale, s'étendant du fleuve Congo au désert du Sahara.
Fondé le 15 janvier 1910, le gouvernement général de l'A-É.F., qui succédait au Congo français, comprenait quatre territoires : le Gabon, le Moyen Congo (devenu la république du Congo), l'Oubangui-Chari (devenu la République centrafricaine) et le Tchad ; ce dernier ne fut une entité séparée qu'à partir de 1920. Le gouverneur général était installé à Brazzaville.
Pendant la Seconde Guerre mondiale la fédération s'est ralliée grâce à Félix Éboué, aux Forces françaises libres dès août 1940 et devint le centre de leurs activités en Afrique. (voir Conférence de Brazzaville)
Sous la IVe République française (1946-1958), la fédération était représentée au Parlement français. Quand les territoires votèrent au référendum de septembre 1958 pour devenir autonomes dans le cadre de la Communauté française, la fédération fut dissoute.
En 1959, les nouvelles républiques formèrent une association intérimaire appelée Union des Républiques de l'Afrique Centrale, avant de devenir complètement indépendantes en août 1960.
À Brazzaville, l'ancien Gouvernement général de l'Afrique équatoriale française existe toujours, presque intact: c'est le palais du Peuple,
[ See the continuation... ]
|
Afrique occidentale française
L'Afrique occidentale française (AOF) était une fédération groupant, entre 1895 à 1958, huit colonies françaises d'Afrique de l'Ouest, avec l'objectif de coordonner sous une même autorité la pénétration coloniale française sur le continent africain.
Constituée en plusieurs étapes, elle réunit à terme la Mauritanie, le Sénégal, le Soudan français (devenu Mali), la Guinée, la Côte-d'Ivoire, le Niger, la Haute-Volta (devenue Burkina Faso) et le Dahomey (devenu Bénin), soit près de 25 millions de personnes au moment de sa dissolution.
Une organisation comparable sera instaurée en Afrique-Équatoriale française en 1910
Histoire
En remplacement d'un sous-secrétariat d'État, une loi du 20 mars 1894 institue un véritable ministère des Colonies, chargé de centraliser la gestion des colonies. Tous les territoires appartenant à la France ou protégés par elle hors d'Europe en relèvent désormais. Les administrateurs sont formés par l'École coloniale.
Une nouvelle
[ See the continuation... ]
|
Mali EmpireThe Mali Empire or Manding Empire or Manden Kurufa was a West African civilization of the Mandinka from c. 1230 to c. 1600. The empire was founded by Sundiata Keita and became renowned for the wealth of its rulers, especially Mansa Musa I. The Mali Empire had many profound cultural influences on West Africa allowing the spread of its language, laws and customs along the Niger River. The Mali empire extended over an area larger than western Europe and consisted of numerous vassal kingdoms and provinces.Manden1235-1600's. The Mali Empire grew out of an area referred to by its contemporary inhabitants as Manden. Manden, named for its inhabitants the Mandinka (initially Manden’ka with “ka” meaning people of), comprised most of present-day northern Guinea and southern Mali. The empire was originally established as a federation of Mandinka tribes called the Manden Kurufa (literally Manden Federation), but it later became an empire ruling millions of people from nearly every ethnic group in West Africa.EtymologyThe naming origins of the Mali Empire are complex and still debated in scholarly circles around the world. While the meaning of “Mali” is still contested, the process of how it entered the regional lexicon is not. As mentioned earlier, the Mandinka of the Middle Ages referred to their ethnic homeland as “Manden”.
[ See the continuation... ]
|
Jacques Kerchache Vie des objets de surface
Les objets rituels, masques, statues, mobilier, utilisés en surf ace, jouent dans la société africaine traditionnelle, m rôle bien plus important que les objets funéraires, destinés à'être enterrés. Il faut leur adjoindre une petite quantité de pièces au double emploi (parures, mobilier sacré) qui accompagnent le mort dans sa tombe, comme à Igbo-Ukwu au Nigeria, ou certains objets funéraires trouvés fortuitement et réutilisés en surface, comme chez les Kissi en Guinée, ceux de la culture nok ou de celle d'Owo au Nigeria. En Afrique, les esprits sont partout présents. Un homme devient souvent plus important après sa mort que pendant sa vie. Les signes de surface fonctionnent par ensembles et sous-ensembles, dans un rapport étroit entre le rôle qu'ils jouent et celui de leurs manipulateurs ; il existe des objets collectifs (souvent les masques), semi-collectifs (de nouveau les masques et une petite partie de la statuaire) et ceux -particulièrement des statuettes- réservés aux sages, mémoire vivante de la communauté. Ceux-ci réactualisent continuellement les objets dans les relations qu'ils entretiennent avec le monde extérieur (événements historiques, contacts avec l'islam, le christianisme, migrations, guerres, alliances) et le monde intérieur (esprits, mort, rêves). Autour
[ See the continuation... ]
|
|
|