Docteur en lettres, Jean-Jacques Breton travaille au département Livres de la Réunion des musées nationaux. Membre de la société des amis du Quai Branly, on lui doit la bibliographie de la librairie de ce musée. Spécialiste des arts premiers, collectionneur d’objets d’art tribaux principalement asiatiques, Jean-Jacques Breton est l’auteur de ‘L’Histoire de l’art pour les nuls’ en 2006 et surtout d’une ‘Anthologie des arts premiers’ en 2008.
Petites histoires de l'art
Jean-Jacques Breton
Sur le modèle des Petites histoires de l’histoire de France de Jean-Paul Rouland et quelque part entre les Miscellanées de Mr Schott et Au bonheur des mots de Claude Gagnière, voici Les petites histoi... »
L'histoire de la peinture pour les nuls - Pour les nuls
Jean-Jacques Breton, Dominique Williatte
Quand on vous dit " peinture ", vous pensez " Ah tiens, si je rafraîchissais les murs du salon " ? Vous prenez le Quattrocento pour une marque de café, et les Fauves pour des bêtes féroces ? Ou l'art ... »
Les Arts Premiers en jeux
Jean-Jacques Breton
Livre-Jeu | broché | Ellipses | mars 2010
Anthologie des peintres pompiers
Jean-Jacques Breton
Anthologie | broché | Bibliotheque Des Introuvables | décembre 2010
Anthologie des arts premiers
Jean-Jacques Breton
Beau Livre | broché | Moliere Eds | juin 2008
Anthologie des peintres pompiers
Jean-Jacques Breton
Anthologie | relié | Bibliotheque Des Introuvables | janvier 2011
Descriptions du produit: Présentation de l'éditeur
Descriptions du produit:
Présentation de l'éditeur
De tout temps, les animaux dialoguent de façon ininterrompue avec les hommes. Dans la plupart des sociétés de l'Afrique subsaharienne, la littérature orale s'appuie sur un large bestiaire où le lion, le léopard, l'éléphant, le buffle, le serpent, l'antilope, et bien d'autres encore, prêtent leurs qualités et leurs défauts aux humains. Ces mêmes animaux, considérés comme des référents majeurs, investissent fortement l'univers du sacré. En effet, l'initiation, moyen privilégié de transmission des connaissances de génération en génération, les pratiques thérapeutiques, les activités de subsistance, chasse, pêche et agriculture, les fondements de l'organisation sociale, recourent sans cesse au monde
Les Statues meurent aussi est un documentaire-court métrage français réalisé par Chris Marker, Alain Resnais et Ghislain Cloquet sorti en 1953. Conseiller artistique : Charles Ratton.
Il fut commandité par la revue panafricaine Présence africaine. Partant de la question « Pourquoi l’art nègre se trouve-t-il au musée de l’Homme alors que l’art grec ou égyptien se trouve au Louvre ? », les deux réalisateurs dénoncent le manque de considération pour l'art africain dans un contexte de colonisation. Le film est censuré en France pendant huit ans en raison de son point de vue anti-colonialiste.
« Quand les hommes sont morts, ils entrent dans l'histoire. Quand les statues sont mortes, elles entrent dans l'art. Cette botanique de la mort, c'est ce que nous appelons la culture.
C’est que le peuple des statues est mortel. Un jour, nos visages de pierre se décomposent à leur tour. Une civilisation laisse derrière elle ces traces mutilées comme les cailloux du
Living among the Baule and Yaure west, the Malinke north and south wé and Bete. The Guro live in an area covered by savannah and forest. They migrated from the north during the XVI and is now number two hundred thousand, they were called but when Kweni were colonized between 1906 and 1912 the French invaders, gave them the name of Guro. Guro villages consist of round houses in the north and rectangular in the south. Each village is governed by a council of elders, representing each family, and secret societies. The Guru mainly grow cotton, rice, coffee and cocoa, men and women involved clearing plantations.
The Guro Art is an art and elegant masks consists mainly of elongated figures with a concave profile and almond eyes.
Masks:
Different types of masks can be noticed. In the western part of the country Guro masks have a pointed chin, a protruding mouth, almond-shaped eyes bulging and a high forehead sometimes decorated with scarification. They have an apotropaic function but are also worn by executioners during executions.
The southern style is influenced by that of the neighboring tribe, the Bete. Their masks are identifiable, thanks to their more naturalistic features, their scars on his forehead, triangular noses and eyes surrounded by incised scarification, they are sometimes called masks Guro-Bete
Another type of mask found in this region, has a bulging forehead, a snub nose
Arts of Africa first Black Arts Spring 1981 No. 77 When we examine the significance of an African mask, we do not seek to know what the "message" it provides, by virtue of some essential notion of disguise and by his presence, but rather what kind of continuum it belongs. The masks are at the confluence of pictorial traditions, oral and functional none appears (under secular unable to recognize the subjects and even less discernible. The understanding of pictorial code used requires not only a review but a review of developed components as needed through the original context. Let us offer an example of the image with respect to the buffalo in the region of Zaire Kwango-Kwilu South West (1). Synceros caffer, the largest of African cattle is a massive animal, black, cropped hair, measuring 1.50 m at the shoulder and weighing nearly a ton (900 kg.) (Fig. 1). Its heavy horns have a spacing of one meter, are curved downward and inward and form large lumps to their bases. This animal, originally occupied the central, eastern and southern Africa, frequenting the open plains, open woods and river beds and marshes bordered by reeds. Commonly preview herds of a dozen to a hundred heads, he used to graze and graze the early morning and again at dusk, seeking shade during the hottest hours but sometimes moving at night . Females do not carry a calf for about eleven months.
Considered peaceful, was injured when he can become, for hunters, the most dangerous animal of any big game on the continent (Fig. 2). He is known for his
DES EXHIBITIONS RACISTES QUI FASCINAIENT LES EUROPÉENS
Ces zoos humains de la République coloniale Comment cela a-t-il été possible ? Les Européens sont-ils capables de prendre la mesure de ce que révèlent les « zoos humains » de leur culture, de leurs mentalités, de leur inconscient et de leur psychisme collectif ? Double question alors que s’ouvre enfin, à Paris, au c ur du temple des arts - le Louvre -, la première grande exposition sur les arts premiers.
Par Nicolas Bancel, Pascal Blanchard et Sandrine LemaireLes zoos humains, expositions ethnologiques ou villages nègres restent des sujets complexes à aborder pour des pays qui mettent en exergue l’égalité de tous les êtres humains. De fait, ces zoos, où des individus « exotiques » mêlés à des bêtes sauvages étaient montrés en spectacle derrière des grilles ou des enclos à un public avide de distraction, constituent la preuve la plus évidente du décalage existant entre discours et pratique au temps de l’édification des empires coloniaux.
« Cannibales australiens mâles et femelles. La seule et unique colonie de cette race sauvage, étrange, défigurée et la plus brutale jamais attirée de l’intérieur des contrées sauvages. Le plus bas ordre de l’humanité (1). »
L’idée de promouvoir un spectacle zoologique mettant en scène des populations exotiques apparaît en parallèle dans plusieurs pays européens au cours des
DES EXHIBITIONS RACISTES QUI FASCINAIENT LES EUROPÉENS
Ces zoos humains de la République coloniale Comment cela a-t-il été possible ? Les Européens sont-ils capables de prendre la mesure de ce que révèlent les « zoos humains » de leur culture, de leurs mentalités, de leur inconscient et de leur psychisme collectif ? Double question alors que s’ouvre enfin, à Paris, au c ur du temple des arts - le Louvre -, la première grande exposition sur les arts premiers.
Par Nicolas Bancel, Pascal Blanchard et Sandrine LemaireLes zoos humains, expositions ethnologiques ou villages nègres restent des sujets complexes à aborder pour des pays qui mettent en exergue l’égalité de tous les êtres humains. De fait, ces zoos, où des individus « exotiques » mêlés à des bêtes sauvages étaient montrés en spectacle derrière des grilles ou des enclos à un public avide de distraction, constituent la preuve la plus évidente du décalage existant entre discours et pratique au temps de l’édification des empires coloniaux.
« Cannibales australiens mâles et femelles. La seule et unique colonie de cette race sauvage, étrange, défigurée et la plus brutale jamais attirée de l’intérieur des contrées sauvages. Le plus bas ordre de l’humanité (1). »
L’idée de promouvoir un spectacle zoologique mettant en scène des populations exotiques apparaît en parallèle dans plusieurs pays européens au cours des années 1870. En Allemagne, tout d’abord, où, dès 1874, Karl Hagenbeck, revendeur d’animaux sauvages et futur promoteur des principaux zoos européens,
About three million people living mainly in central Ivory Coast are defined as Baule. Yet after a closer study it semblairaient these men identify with villages or village clusters (ranging from 4 to 12) as an ethnic group. although the Baule ethnic reality remains msytérieuse can not be denying the existence of a style Baule. artists who use this style talk Baule and abroad their art is known as Baule for over a century.
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Introduction The sacred: the real paradigm The flaw in the anthropological research of the sacred The position of the African researcher The inconsistency of the true-false paradigm of the irrational The crucial importance of the event Ancestor worship: in search of a definition The premier event: the phenomenon agrarian Biological Bases The neurobiological underpinnings Astronomical Foundations Conclusion Bibliography
Introduction
Welcome to this site dedicated to refuting the paradigm of the irrational use explicit about the facts of sacred archaic or traditional societies, and especially African societies.
As a member of these societies, the systematic use of the irrational as ultimate explanation of these facts is offensive and we might seem a lack of rigor in research.
In the approach to ethnology-anthropology there is always explicitly or implicitly begging the question that traditional societies through their culture could not produce something intellectually coherent. This profession of faith explains the systematic irrationality as an explanation of the ultimate sacred facts.
By irrational, what is heard is indeed something wrong, incoherent, that defies logic, in
The term "mythology" sometimes refers to the study of myths and sometimes refers to a body of myths. For example, comparative mythology is the study of connections between myths from different cultures, whereas Greek mythology is the body of myths from ancient Greece. The term "myth" is often used colloquially to refer to a false story;[4][5] however, the academic use of the term generally does not refer to truth or falsity.In the field of folkloristics, a myth is conventionally defined as a sacred narrative explaining how the world and humankind came to be in their present form.Many scholars in other academic fields use the term "myth" in somewhat different ways. In a very broad sense, the term can refer to any traditional story.
Nature of myths
Typical characteristics
The main characters in myths are usually gods or supernatural heroes. As sacred stories, myths are often endorsed by rulers and priests and closely linked to religion. In the society in which it is told, a myth is usually regarded as a true account of the remote past.[14][17][18][15] In fact, many societies have two categories of traditional narrative—(1) "true stories", or myths, and (2) "false stories", or fables.Myths generally take place in a primordial age, when the world had not yet achieved its current form.[14] They explain how the world gained its current form and how customs, institutions, and taboos were established.
La Biennale d'art africain contemporain de Dakar au Sénégal se tient depuis 1990. Son rôle est de mettre en avant la richesse de la création plastique de tout le continent africain, afin de la valoriser et de promouvoir.
La biennale c'est également des rencontres et des questionnements autour des arts numériques, de l’esthétique urbaine, des lieux de culture émergeant en Afrique...
Biennale de Dakar (2000)
Cette biennale était placée sur le thème des « Impressions d'Afrique ».
Artistes remarqués :
* le sénégalais Abdérahmane Aïdara * le béninois Charly d'Almeida pour ses toiles sur le symbolisme du Vaudou * le casamançais Diakaria Badji pour ses toiles exprimant les déchirements, la souffrance et la tristesse de la condition humaine * le français Pascal Didier Even pour ses toiles inspirées par les rythmes et les couleurs de
I have a body good to me, it seems, and that's because I'm me. I count among my properties and pretend to carry him on my full sovereignty. I think therefore unique and independent. But it is an illusion because there is no human society where it is believed that the body is worth by itself. Every body is created, not only by their fathers and mothers. It is not made by one who has it, but by others. No more in New Guinea, the Amazon or Africa than in Western Europe, it is thought as a thing. Instead, it is the particular form of relationship with the otherness that constitutes the person. Depending on the perspective of comparative anthropology adopted here is that other, respectively, the other sex, animal species, the dead or the divine (secularized in the modern age, in the teleology of living). Yes, my body is what reminds me that I find myself in a world populated by example, ancestors, gods, enemies or people of the opposite sex. My body really mine? It is he who I do not belong, I is not alone and that my destiny is to live in society. Description
22nd President of the French Republic 5th President of the Fifth Republic Co-Prince of Andorra In office 17 May 1995 – 16 May 2007 Prime Minister Alain Juppé Lionel Jospin Jean-Pierre Raffarin Dominique de Villepin Preceded by François Mitterrand Succeeded by Nicolas Sarkozy Mayor of Paris In office 20 March 1977 – 16 May 1995 Preceded by Office Created Succeeded by Jean Tiberi 159th Prime Minister of France 10th Prime Minister of Fifth Republic
[ See the continuation... ]
Les masques traditionnels ont toujours tenu une place importante au sein des cultures gabonaises. Chaque ethnie a les siens, dédiés à des cérémonies variées mais toutes importantes dans le rythme de vie de ces populations.
Masque Okuyi
Les masques Okuyi sont utilisés dans la tribu Myénée. Ils sont utilisés pour accompagner les funérailles ou les retraits de deuil.
Symbolique et utilisation
Ce sont des masques d'ancêtres. Ils expriment la sérénité de leurs anciens qui les protègent et les conseillent depuis le royaume des morts. Le porteur du masque est recouvert d'un costume de raphia. Durant les cérémonies, il pousse des cris sauvages destinés à effrayer les spectateurs.
Les masques noirs sont quant à eux probablement dotés d'une fonction judiciaire.
Caractéristiques
Masque anthropomorphe blanc, sa face est peinte au kaolin. La couleur blanche du kaolin est
DE L'ART ANCIEN AFRICAIN, DE L'ETHNOLOGIE ET DU MUSEE: POUR UN RECENTREMENT DE L'ESTHETIQUE...
Au
commencement était la nuit. Une longue nuit pour l'esthétique
africaine. Ce fut le règne sans partage du musée dit «de séries»,
véritable vitrine du colonialisme, de confession évolutionniste et dont
l'approche contextualiste célébrait l'Etrange, chantait l'Aventure et
la Science. A cette époque point d'« objets », que des curiosités,
trésors de guerre et pièces de laboratoires de chevronnés «
Civilisateurs ». Il n'était pas rare alors, de voir des sculptures
côtoyer dans les vitrines : cornes, peaux de bêtes et autres feuilles
de palmier. Puis, il y eut le regard affûté d'une jeune génération
d'artistes particulièrement douée et par ailleurs cruellement blasée,
en quête de médecine pour un art européen las de son académisme figé.
Cette génération vit dans ce fouillis les moyens d'une rédemption...
Une
certaine révolution est venue corriger l'évidente injustice, consacrant
depuis le siècle dernier des expositions à caractère esthétique pour la
production africaine. Désormais, les objets, dans une dramaturgie
suggérée par les seules qualités plastiques, invitent à un rapport
nouveau. Exit la surabondance, la cacophonie et le "meurtre du vrai"
que génère la tentative bancale de reconstitution de l'ailleurs
fantasmé. Ici on ne rejoue pas le film de l'heureuse rencontre avortée
entre "civilisés" et "primitifs". Nous avons les vrais Stars que sont
les objets, mais d'une
Les collections d'art africain dans les musées du monde
L'Amérique
Bermudes
Hamilton
Bermuda National Gallery
City Hall, Church Street
lu-sa 10-16
Arts d'Afrique occidentale: Bamana, Bwa, Bete, Guro, Yaoure, Senufo, Ashanti, Yoruba, Ibo, Bamileke...
Brésil
Bahia
Museu Afro-Brasileiro. Universidade Federal da Bahia
Terreiro de Jesus
ma-sa 9-17
Arts et objets cultuels d'Afrique Noire: Yoruba...
Sao Paulo
Museu de Arqueologia e Etnologia. Universidade de Sao Paulo
Cidade Universitaria. Av. Prof Almeida Prado
ma-ve 9-17; sa 10-14
Ethnographie de l'Afrique noire. Exposition permanente "Culturas e Sociedades"
Canada
Calgary
Glenbow Museum
130 9th Avenue S.E.
ma-di 9-17
Arts d'Afrique occidentale: Baga, Senufo, Ashanti, Yoruba, Ibo, Yaunde, Bamileke... (non exposés en permanence)
Kingston (Ontario)
Agnes Etherington Art Centre. Queens University
Queens University Campus
ma-ve 10-17; sa-di 13-17
Arts d'Afrique occidentale: Bidyogo, Dogon, Bamana, Bankoni, Mossi, Dan, Senufo, Baule, Yaure, Anyi, Ashanti, Fanti...
Arts du Nigeria: Yoruba, Ibo, Urhobo, Koro, Mama, Kaka...
Arts du Gabon et du Congo: Fang, Kota, Bembe, Kongo, Yombe, Pende, Luba, Hemba, Lega, Songye, Tshokwe... (Coll. Lang)
In February 1976, in Nigeria, a man was arrested at a police checkpoint between Ibadan and Lagos. He was carrying two bags full of bronze sculptures and wood on suspicion of having stolen it affirmât well as the owner. Upon inquiry, the man telling the truth. Recently converted to Islam, he lived and worked in Ibadan at a community center. The effigies of deities carved Yoruba he was carrying had been brought in Ibadan, like many others, by migrant workers to satisfy the spiritual aspirations of these artisans, shopkeepers, civil servants and other migrant workers in their temporary residence. But the leader of the community, having converted to Islam, began in turn to convert their neighbors. Converted in his turn, the suspect heard himself served as symbols of their ancient faith were to disappear to allow the community center to become a dwelling worthy of the spiritual presence of Allah. Unable to consider destroying these objects, he resolved to return to his village, place of origin, where they have since been resettled.
This incident is a perfect example of the evolution of cultural forms and their concrete manifestation and at the same time, the survival or the renewal of cultural values from specific forms of domination, whether of a religious or more clearly social. What remained true in 1976 was even more common during this period particularly dramatic external domination of Africa, which saw the submission of an entire people, its social