L'ESPRIT DES PETITES CHOSES - L'art et la vie quotidienne en Côte d'Ivoire
Descrizione libro: De ferrari & Devega srl editoria e comunicazione, 2007 - Brossura - Lingua: Français / Italiano - L'art et la vie quotidienne en Côte d'Ivoire. / Arte del quotidiano in Costa d'Avorio. Présentation de 201 objets représentants 9 typologies (cuillères cérémonielles Dan, jeux d'Awalé, marteaux à musique Akan, poulie de métier à tisser, masques passeport ou de famille Dan, instruments musicaux Baoulé "Aôwko", peignes, lance-pierres, amulettes Lobi.) Photographiés pour la première fois en
« L’art primitif a influencé tout l’art contemporain.
C’est normal qu’il ait un prix. »(Jeune marchand parisien)
« Noirs désirs » [Télérama, 26/06/2003], « Bas les masques » [Libération, 1/07/2001], « La ruée vers l’or noir » [Le Figaro, 2/07/2001], « Les sortilèges de l’art africain » [Le Figaro, dossier Patrimoine, 26/10/2001], tous ces titres (et d’autres non moins accrocheurs) ont annoncé et suivi la dispersion aux enchères publiques en juillet 2001, soit un an après sa mort, de la collection d’art primitif d’Hubert Goldet, grand amateur et cofondateur de la revue ArtPress. La vente, qui avait duré deux jours et attiré amateurs, marchands et curieux d’Europe et d’Amérique, avait joui d’un énorme succès : 644 lots proposés et vendus pour la somme de 88,4 millions de francs avec les frais soit 13,5 millions d’euros. Cet événement témoigne, s’il en est encore besoin, que ce domaine de l’art, l’un des derniers découverts par l’Occident, n’est plus confidentiel et déborde le cadre du petit monde des initiés. Depuis son ouverture en avril 2000, le pavillon des
Les Statues meurent aussi est un documentaire-court métrage français réalisé par Chris Marker, Alain Resnais et Ghislain Cloquet sorti en 1953. Conseiller artistique : Charles Ratton.
Il fut commandité par la revue panafricaine Présence africaine. Partant de la question « Pourquoi l’art nègre se trouve-t-il au musée de l’Homme alors que l’art grec ou égyptien se trouve au Louvre ? », les deux réalisateurs dénoncent le manque de considération pour l'art africain dans un contexte de colonisation. Le film est censuré en France pendant huit ans en raison de son point de vue anti-colonialiste.
« Quand les hommes sont morts, ils entrent dans l'histoire. Quand les statues sont mortes, elles entrent dans l'art. Cette botanique de la mort, c'est ce que nous appelons la culture.
C’est que le peuple des statues est mortel. Un jour, nos visages de pierre se décomposent à leur tour. Une civilisation laisse derrière elle ces traces mutilées comme les cailloux du
( auction african art, african art sell, art african sell, sell african mask, art primitif sell, art tribal sell, art tribal auction, sell primitive art mask, Auction )
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"Auctioneer" redirects here. For the DC Comics supervillain, see Auctioneer (comics).
An auctioneer and her assistants scan the crowd for bidders.An auction is a process of buying and selling goods or services by offering them up for bid, taking bids, and then selling the item to the highest bidder. In economic theory, an auction may refer to any mechanism or set of trading rules for exchange.
There are several variations on the basic auction form, including time limits, minimum or maximum limits on bid prices, and special rules for determining the winning bidder(s) and sale price(s). Participants in an auction may or may not know the identities or actions of other participants. Depending on the auction, bidders may participate in person or remotely through a variety of means, including telephone and the internet. The seller usually pays a commission to the auctioneer or auction company based on a percentage of the final sale price.
History of the auction
Artemis, Ancient Greek marble sculpture. In 2007, a Roman-era bronze sculpture of "Artemis and the Stag" was sold at Sotheby's in New York for US$28.6 million, by far exceeding its estimates and setting the new record as the most expensive sculpture as well as work from antiquity ever sold at auction.
An 18th century Chinese meiping porcelain vase. Porcelain has long been a staple at art sales. In 2005, a 14th century Chinese porcelain piece was
L’Afrique fantôme de Michel Leiris
" L’Afrique fantôme " de Michel Leiris
Du 31 mai 1931 au 16 février 1933, l’écrivain français Michel Leiris a traversé l’Afrique. Partant de Dakar, ses recherches ethnographiques ont guidé ses pas jusqu’à l’Ethiopie. Presque deux ans à arpenter le continent, à en devenir familier et même intime.
Deux ans pour achever son détachement des préjugés et des valeurs de l’Europe, et sa pénétration des vérités africaines. "De fil en aiguille, et à mesure que je m’accoutumais à ce milieu nouveau, je cessai de regarder les Africains sous l’angle de l’exotisme, finissant par être plus attentif à ce qui les rapprochait des hommes des autres pays qu’aux traits culturels plus ou moins pittoresques qui les en différenciaient. "
De ce voyage impossible au coeur de ce qui était alors partagé entre les empires coloniaux français et britannique, Michel Leiris a gardé une trace précise : son journal, composé soigneusement au jour le jour, notant les événements, petits et grands, les recherches, les surprises, les ennuis aussi, ou les rêves, joyeux ou tristes, mystérieux parfois. Le style de l’écrivain fait merveille dans la dissection précise du monde, si étrange et neuf qu’il puisse être. D’où un sentiment de haute lucidité, même si certaines notations, au début du voyage surtout, trahissent
Exposition Dogon, d' Avril 2011 a Septembre 2011 DOGON
Exposition du 7 avril 2011 au 31 août 2011
Dominant depuis le XVème siècle les falaises de Bandiagra au Mali, les Dogon sont les héritiers d'une tradition artistique ethnique exceptionnelle : Chaque œuvre d'art témoignant à la fois de l'intimité des familles – les œuvres ne sont pas destinées à être vues mais au contraire conservées dans la pénombre des maisons, telles qu'au sanctuaire- et de la représentation d'une cosmogonie unique qui structure la vie quotidienne comme le rythme et les rituels des cérémonies sociétales ou initiatiques.
Cosmogonie et organisation sociale
Dogon ou Hebbesignifie littéralement " païen "; soit celui qui refuse de s'intégrer à l'Islam.
les Dogon vénèrent le dieu Amma. Amma selon leur cosmogonie avait l'aspect d'un oeuf.
La statuaire Dogon présente toujours des têtes ovoïdes signifiant de ce Dieu du ciel.
Amma est associé à huit ancêtres, représentant la hiérarchie d'une société construite sur un modèle patriarcal.
Ces huit ancêtres répondent à un métier et à des couleurs spécifiques :
Forgeron et potier – rouge et bleu
Agriculteur – blanc et vert
Sculpteur - orange
Danseur – blanc
Commerçant – noir
Le maître de la
Dominant depuis le XVème siècle les falaises de Bandiagra au Mali, les Dogon sont les héritiers d'une tradition artistique ethnique exceptionnelle : Chaque œuvre d'art témoignant à la fois de l'intimité des familles – les œuvres ne sont pas destinées à être vues mais au contraire conservées dans la pénombre des maisons, telles qu'au sanctuaire- et de la représentation d'une cosmogonie unique qui structure la vie quotidienne comme le rythme et les rituels des cérémonies sociétales ou initiatiques.
Cosmogonie et organisation sociale
Dogon ou Hebbesignifie littéralement " païen "; soit celui qui refuse de s'intégrer à l'Islam.
les Dogon vénèrent le dieu Amma. Amma selon leur cosmogonie avait l'aspect d'un oeuf.
La statuaire Dogon présente toujours des têtes ovoïdes signifiant de ce Dieu du ciel.
Amma est associé à huit ancêtres, représentant la hiérarchie d'une société construite sur un modèle patriarcal.
Ces huit ancêtres répondent à un métier et à des couleurs spécifiques :
Forgeron et potier – rouge et bleu
Agriculteur – blanc et vert
Sculpteur - orange
Danseur – blanc
Commerçant – noir
Le maître de la parole/tissage – vert.
"Musei Wormiani Historia", the frontispiece from the Museum Wormianum depicting Ole Worm's cabinet of curiosities.A Cabinet of curiosities was an encyclopedic collection in Renaissance Europe of types of objects whose categorical boundaries were yet to be defined. Modern terminology would categorize the objects included as belonging to natural history (sometimes faked), geology, ethnography, archaeology, religious or historical relics, works of art (including cabinet paintings) and antiquities. "The Kunstkammer was regarded as a microcosm or theater of the world, and a memory theater. The Kunstkammer conveyed symbolically the patron's control of the world through its indoor, microscopic reproduction." Of Charles I of England's collection, Peter Thomas has succinctly stated, "The Kunstkabinett itself was a form of propaganda"[2] Besides the most famous, best documented cabinets of rulers and aristocrats, members of the merchant class and early practitioners of science in Europe, formed collections that were precursors to museums. They were also known by various names such as Cabinet of Wonder, and in German Kunstkammer or Wunderkammer (wonder-room).
History The term cabinet originally described a room rather than a piece of furniture. The classic style of cabinet of curiosities emerged in the sixteenth century, although more rudimentary collections had existed earlier. The Kunstkammer of Rudolf II, Holy Roman Emperor (ruled 1576-1612), housed in the Hradschin at Prague was unrivalled north of the Alps; it provided a solace and retreat for contemplation that also served to demonstrate his imperial magnificence and power in symbolic arrangement of their display, ceremoniously presented to visiting diplomats and magnates. Rudolf's uncle, Ferdinand II, Archduke of Austria also had a collection, with a special emphasis on paintings of people with interesting deformities, which remains
Frontispice de Musei Wormiani Historia montrant l'intérieur du cabinet de curiosités de Worm. Cabinet d'un particulier, Frans II Francken, 1625, Kunsthistorisches Museum, VienneUn cabinet de curiosités était un lieu où étaient entreposés et exposés des objets collectionnés, avec un certain goût pour l'hétéroclisme et l'inédit. On y trouvait couramment des médailles, des antiquités, des objets d'histoire naturelle (comme des animaux empaillés, des insectes séchés, des coquillages, des squelettes, des carapaces, des herbiers, des fossiles) ou des œuvres d'art.
Apparus à la Renaissance en Europe, les cabinets de curiosités sont l'ancêtre des musées et des muséums. Ils ont joué un rôle fondamental dans l'essor de la science moderne même s'ils gardaient les traces des croyances populaires de l'époque (il n'était pas rare d'y trouver du sang de dragon séché ou des squelettes d'animaux mythiques). L'édition de catalogues qui en faisaient l'inventaire, souvent illustrés, permettaient d'en diffuser le contenu auprès des savants européens.
Le principe du cabinet de curiosités a disparu durant le XIXe siècle, remplacé par des institutions officielles et les collections privées. Celles-ci ont joué encore un grand rôle dans certaines disciplines scientifiques comme l'entomologie ou la conchyliologie.
Dans la recherche Le sujet a été étudié par l'historien d'art viennois Julius von
Les artistes baoulé de Côte d'Ivoire ont créé des objets d'une esthétique quasiment inégalée dans l'art africain traditionnel, que ce soit par leur raffinement, leur diversité, leur profusion et la somme de travail qu'ils représentent. Les masques et les statuettes des Baoulés, ont suscité l'engouement des Occidentaux dès leur découverte et ils sont considérés comme l'une des réussites les plus achevées de l'art africain, c'est pourquoi ces sculptures occupent toujours une place prépondérante dans toute exposition ou étude consacrée à l'Afrique. Pourtant, aussi importante que soit leur renommée en Occident, il n'a jamais été facile pour quiconque de voir les représentations de cet art sur les lieux mêmes de sa création, dans les villages baoulé. L'art baoulé est loin de se limiter aux masques relativement naturalistes et aux figures humaines taillées dans le bois, il comprend également une grande variété d'ouvrages en ivoire, en bronze et en or : de grands masques-heaumes représentant des animaux agressifs ou des figures simiesques, et divers objets offrant des myriades de motifs sculptés: des portes, des chaises et des tabourets, des tam-tams, des cuillères, des bâtons, des peignes, des éventails, des frondes, des bols et des assiettes, des poids, etc. Il faut également mentionner des poteries, des bijoux et des tissus, ornés de petites figures humaines ou animales. De manière paradoxale, dans l'ethnie baoulé, seul un nombre limité d'individus ont eu le privilège, toujours potentiellement dangereux, de pouvoir regarder une œuvre d'art, dans le passé comme dans le présent. Un simple coup
Les artistes baoulé de Côte d'Ivoire ont créé des objets d'une esthétique quasiment inégalée dans l'art africain traditionnel, que ce soit par leur raffinement, leur diversité, leur profusion et la somme de travail qu'ils représentent. Les masques et les statuettes des Baoulés, ont suscité l'engouement des Occidentaux dès leur découverte et ils sont considérés comme l'une des réussites les plus achevées de l'art africain, c'est pourquoi ces sculptures occupent toujours une place prépondérante dans toute exposition ou étude consacrée à l'Afrique. Pourtant, aussi importante que soit leur renommée en Occident, il n'a jamais été facile pour quiconque de voir les représentations de cet art sur les lieux mêmes de sa création, dans les villages baoulé. L'art baoulé est loin de se limiter aux masques relativement naturalistes et aux figures humaines taillées dans le bois, il comprend également une grande variété d'ouvrages en ivoire, en bronze et en or : de grands masques-heaumes représentant des animaux agressifs ou des figures simiesques, et divers objets offrant des myriades de motifs sculptés: des portes, des chaises et des tabourets, des tam-tams, des cuillères, des bâtons, des peignes, des éventails, des frondes, des bols et des assiettes, des poids, etc. Il faut également mentionner des poteries, des bijoux et des tissus, ornés de petites figures humaines ou animales. De manière paradoxale, dans l'ethnie baoulé, seul un nombre limité d'individus ont eu le privilège, toujours potentiellement dangereux, de pouvoir regarder une
The discovery of "primitive art": an art of strength Shapes and shape functions Deities and ancestors The living wood
Force and Measurement
Develop an aesthetic of black Africa is seen as a risky business in many ways. Is it legitimate to isolate these objects, that today we call art, the general framework of their relations and their cultural constraints? Can we submit to a test that has never existed in the minds of their creators? And can we finally see in this art - if we 'take on this term - a uniform phenomenon, despite the wide variety of both regional and local styles we offer this huge continent, following lengthy Historical developments often poorly understood? Finally, remember that this approach excludes large regions, including Africa white, that is to say the Mediterranean area with its ancient history, the eastern and southern Africa whose pastoral peoples have given rise to cultures almost without images, and finally these hunting societies, which, even in our time have not passed the stage of evolution of prehistoric rock paintings which are the main evidence of an artistic production that appears at various points the continent. Similarly, we must exclude from our contribution to the aesthetics of black African art the old feudal societies, including Benin. Our discussion is therefore limited to large areas farmers, the true cradle of
Introduction The sacred: the real paradigm The flaw in the anthropological research of the sacred The position of the African researcher The inconsistency of the true-false paradigm of the irrational The crucial importance of the event Ancestor worship: in search of a definition The premier event: the phenomenon agrarian Biological Bases The neurobiological underpinnings Astronomical Foundations Conclusion Bibliography
Introduction
Welcome to this site dedicated to refuting the paradigm of the irrational use explicit about the facts of sacred archaic or traditional societies, and especially African societies.
As a member of these societies, the systematic use of the irrational as ultimate explanation of these facts is offensive and we might seem a lack of rigor in research.
In the approach to ethnology-anthropology there is always explicitly or implicitly begging the question that traditional societies through their culture could not produce something intellectually coherent. This profession of faith explains the systematic irrationality as an explanation of the ultimate sacred facts.
By irrational, what is heard is indeed something wrong, incoherent, that defies logic, in
" Pour le sculpteur noir, le meilleur masque, dit-on, est le plus efficace ; d'où vient son efficacité, sinon de la plénitude de son style ? " A. MALRAUX
L'artiste africain, pour nous, est resté longtemps anonyme. Et pourtant, il joue un rôle essentiel entre le visible et l'invisible ; il participe à la cohésion et à l'évolution de son propre groupe culturel ; éventuellement, à travers sa création, il peut toucher des communautés voisines.
FORMATION
En Afrique, dès l'enfance, il existe une éducation collective par "classes d'âge". Après les toutes premières années, au moment du passage de l'adolescence à l'âge adulte, (excision, circoncision), donc à la séparation des sexes, le jeune homme -car en Afrique, c'est uniquement l'homme qui peut devenir artiste- sera en principe dirigé par les sages, selon ses dons, vers différents secteurs de la vie sociale : la chasse, la parole, le chant ou la musique, la sculpture sur bois ou le travail de la forge. Alors il recevra un enseignement sur
Culture (from the Latin cultura stemming from colere, meaning "to cultivate")[1] is a term that has different meanings. For example, in 1952, Alfred Kroeber and Clyde Kluckhohn compiled a list of 164 definitions of "culture" in Culture: A Critical Review of Concepts and Definitions. However, the word "culture" is most commonly used in three basic senses:
* excellence of taste in the fine arts and humanities, also known as high culture * an integrated pattern of human knowledge, belief, and behavior that depends upon the capacity for symbolic thought and social learning * the set of shared attitudes, values, goals, and practices that characterizes an institution, organization or group.
When the concept first emerged in eighteenth- and nineteenth-century Europe, it connoted a process of cultivation or improvement, as in agriculture or horticulture. In the nineteenth century, it came to refer first to the betterment or refinement of the individual, especially through education, and then to the fulfillment of national aspirations or ideals. In the mid-nineteenth century, some scientists used the term "culture" to refer to a universal human capacity.
In the twentieth century, "culture" emerged as a concept central to anthropology, encompassing all human phenomena that are not purely results of human genetics.
African art constitutes one of the most diverse legacies on earth. Though many casual observers tend to generalize "traditional" African art, the continent is full of peoples, societies, and civilizations, each with a unique visual special culture. The definition also includes the art of the African Diasporas, such as the art of African Americans. Despite this diversity, there are some unifying artistic themes when considering the totality of the visual culture from the continent of Africa.
* Emphasis on the human figure: The human figure has always been a the primary subject matter for most African art, and this emphasis even influenced certain European traditions. For example in the fifteenth century Portugal traded with the Sapi culture near the Ivory Coast in West Africa, who created elaborate ivory saltcellars that were hybrids of African and European designs, most notably in the addition of the human figure (the human figure typically did not appear in Portuguese saltcellars). The human figure may symbolize the living or the dead, may reference chiefs, dancers, or various trades such as drummers or hunters, or even may be an anthropomorphic representation of a god or have other votive function. Another common theme is the inter-morphosis of human and animal.
Yoruba bronze head sculpture, Ife, Nigeria c. 12th century A.D.
* Visual abstraction: African artworks tend to favor visual abstraction over naturalistic representation. This is because many African artworks generalize stylistic norms. Ancient Egyptian art, also usually thought of as naturalistically depictive, makes use of highly abstracted and regimented visual canons, especially in painting, as well as the use of different colors to represent the qualities and characteristics of an individual being depicted.
L’Art contemporain africain est très dynamique. Il s'inspire aussi bien des traditions du continent que, et c'est de plus en plus le cas, des réalités urbaines contemporaines d'une Afrique en mutation, qui se cherche encore une identité. Les techniques et les supports sont variés, allant de la simple peinture aux installations avec projection vidéo, en passant par des sculptures faites en matériaux de récupération... En 1989, l'exposition « Les magiciens de la terre » (Centre Pompidou, 1989) présentait des œuvres d'art africain contemporain (d'artistes vivants) pour la première fois en Europe, mode de monstration mettant en valeur un certain primitiviste et exotique. En 2005, l’exposition « Africa Remix » qui a été présentée en Allemagne, en Angleterre, en France et au Japon peut être considérée comme la première à présenter un panorama important de l'art contemporain spécifiquement africain, montrant surtout la richesse de l'art africain sub-saharien. Mais l'Afrique elle-même s'est dotée de centres d'art contemporain, de festivals ou biennales sont régulièrement organisés sur le continent pour mettre en valeur le talent des artistes d'aujourd'hui.