‘African Vision: The Walt Disney-Tishman African Art Collection’
This female figure, made of ivory and standing 37 inches tall, was made in the early Nineteenth Century by Edo peoples in the Benin kingdom court style, and was probably intended for an altar to a queen mother. It is one of the first two objects purchased by Paul and Ruth Tishman in 1959. "Ivory can be almost universally interpreted as a symbol of importance and wealth,” says exhibition curator Bryna Freyer.
WASHINGTON D.C.:Most Americans know little about the vast and diverse continent of Africa, much less the arts created there. Dark and primitive, the arts of the African peoples reflect the rituals of life, stripped to the most basic interpretive forms both conceptually and artistically.
Celebrating the arts of Africa and the profound role that they have played in molding Twentieth Century Abstraction and Modernist art in the "West" is the Smithsonian's newest exhibition, "African Vision: The Walt Disney-Tishman African Art Collection." It is on view through September 7, 2008, at The Smithsonian Institution's National Museum of African Art (NMAA).
"African Vision" showcases 88 outstanding artworks, part of a larger collection donated to the NMAA, that represents the largest gift of sculpture in the museum's history.
In 1959, Paul and Ruth Tishman began their collection with the purchase of two pieces of art from the Benin kingdom — an early Nineteenth Century ivory female figure standing 37 inches tall, made in the court style by the Edo peoples, and a 28-inch-tall, Eighteenth Century copper alloy mask that was worn by a divine-healer in masquerade
« L’art primitif a influencé tout l’art contemporain.
C’est normal qu’il ait un prix. »(Jeune marchand parisien)
« Noirs désirs » [Télérama, 26/06/2003], « Bas les masques » [Libération, 1/07/2001], « La ruée vers l’or noir » [Le Figaro, 2/07/2001], « Les sortilèges de l’art africain » [Le Figaro, dossier Patrimoine, 26/10/2001], tous ces titres (et d’autres non moins accrocheurs) ont annoncé et suivi la dispersion aux enchères publiques en juillet 2001, soit un an après sa mort, de la collection d’art primitif d’Hubert Goldet, grand amateur et cofondateur de la revue ArtPress. La vente, qui avait duré deux jours et attiré amateurs, marchands et curieux d’Europe et d’Amérique, avait joui d’un énorme succès : 644 lots proposés et vendus pour la somme de 88,4 millions de francs avec les frais soit 13,5 millions d’euros. Cet événement témoigne, s’il en est encore besoin, que ce domaine de l’art, l’un des derniers découverts par l’Occident, n’est plus confidentiel et déborde le cadre du petit monde des initiés. Depuis son ouverture en avril 2000, le pavillon des
L’art des Dogon du Mali est l’un des plus connus parmi les oeuvres issues des cultures d’Afrique.
Outre les chefs-d’oeuvre qui ont fait la renommée de l’art dogon, l’exposition présente des pièces cultuelles, ou même d’usage quotidien, qui évoquent les préoccupations métaphysiques et esthétiques des populations les ayant produites. Les typologies de ces objets, aux techniques virtuoses et variées, ont été rarement dévoilées en regard des grandes pièces de la statuaire.
Plus de dix siècles d’histoire des peuplements, des influences artistiques et culturelles sont ainsi parcourus à travers un rassemblement unique de chefs-d’oeuvre incontournables et de pièces du quotidien inédites qui témoignent du peuplement progressif du pays dogon et de la richesse de sa diversité stylistique.
L’exposition créée au musée du quai Branly entend restituer toute la force de l’art de la sculpture telle que l’ont conçue les Dogon, qu’il s’agisse du bois ou du métal, de pièces imposantes ou de puissants objets de petite dimension. Hélène Leloup
Sur les 2000 m2 de la Galerie Jardin, l’exposition DOGON se compose de trois grandes parties thématiques qui illustrent l’histoire de l’art et de la culture du peuple dogon au travers de productions artistiques variées.
Introduction : Histoire et origines des migrations des Dogon
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Les Statues meurent aussi est un documentaire-court métrage français réalisé par Chris Marker, Alain Resnais et Ghislain Cloquet sorti en 1953. Conseiller artistique : Charles Ratton.
Il fut commandité par la revue panafricaine Présence africaine. Partant de la question « Pourquoi l’art nègre se trouve-t-il au musée de l’Homme alors que l’art grec ou égyptien se trouve au Louvre ? », les deux réalisateurs dénoncent le manque de considération pour l'art africain dans un contexte de colonisation. Le film est censuré en France pendant huit ans en raison de son point de vue anti-colonialiste.
« Quand les hommes sont morts, ils entrent dans l'histoire. Quand les statues sont mortes, elles entrent dans l'art. Cette botanique de la mort, c'est ce que nous appelons la culture.
C’est que le peuple des statues est mortel. Un jour, nos visages de pierre se décomposent à leur tour. Une civilisation laisse derrière elle ces traces mutilées comme les cailloux du
Conditions de vente
Les conditions de vente constituent les termes auxquels s’engagent les SVV en qualité d'organisateur de ventes aux enchères vis-à-vis de leurs acheteurs, ces derniers doivent donc en avoir pris connaissance et les accepter pour se porter acquéreur (acceptation tacite). On y retrouve notamment :
les moyens de porter les enchères (en personne, par téléphone, par ordre d’achat écrit ou électronique) ainsi que les modalités selon lesquelles les résultats des enchères seront communiqués aux personnes qui ont passé des ordres d’achat ;
une clause limitative de responsabilité concernant l’état des lots (facultative) ;
les frais de vente, les modalités de paiement (virement bancaire, chèque, carte de crédit,…) ainsi que le délai dans lequel devra se faire le paiement ;
les conditions et frais d’enlèvement des achats, notamment les frais applicables aux lots qui ne sont pas retirés immédiatement, la responsabilité concernant les biens achetés après adjudication ainsi que les modalités d’exportation des lots ;
le cas échéant, l’obligation de payer une TVA à l’importation.
l'union des commissionnaires de l'hôtel des ventes : est une corporation née en 1832 qui abrite environ 110 membres, (manutentionnaires et déménageurs) tous savoyards depuis le milieu du XIX ème siècle. En 1852 l'inauguration de Drouot unique salle des ventes de la compagnie parisienne, renforça leur position. profitant du référendum organisé en 1860 par Napoléon III pour le rattachement de la Savoie à la France ; les commissionnaires ont alors réclamé le privilège exclusif de leur corporation. Ils possèdent des parts égales de l'union, et sont responsables sur leur biens propres;
L'Hôtel Drouot a annoncé aujourd'hui qu'il allait supprimer le
monopole de fait détenu par l'UCHV (Union des commissionnaires de
l'Hôtel des Ventes) après la mise en examen de plusieurs des membres de
cette corporation dans une affaire de vols de tableaux et d'objets d'arts L'UCHV, qui assure le transport et la manutention des objets vendus à
Drouot, est une corporation, créée en 1832, qui comprend actuellement
110 commissionnaires, surnommés les "Savoyards" ou les "collets rouges".
Le conseil d'administration de Drouot a décidé que le transport des
objets d'art, principalement assuré par l'UCHV, sera désormais
également confié à plusieurs prestataires extérieurs ayant auparavant
reçu l'agrément de Drouot, a indiqué l'hôtel des ventes dans un
communiqué. Ces agréments seront délivrés à des prestataires
"respectueux des règles de déontologie et d'éthique", précise Drouot
qui est en train de rédiger un cahier des charges.
par Armelle Malvoisin, Le Journal des Arts - n° 276 - 29 février
2008
En intervenant pour empêcher la vente de pièces litigieuses d’arts
premiers chez Tajan, plusieurs experts parisiens posent le problème de
l’expertise.
PARIS - « C’est
une honte pour la maison Tajan », commentait un professionnel venu en
observateur le 19 février à l’espace Tajan, à Paris, à l’occasion de la vente
d’arts premiers qui s’y tenait. Cette vacation de prestige, préparée avec
l’assistance de l’expert Hervé Naudy, devait être, pour la maison de ventes, le
coup d’envoi du retour de Tajan dans ce domaine (lire le JdA no 275, 15 février
2008, p. 24).
Un scénario qui a tourné au cauchemar. « La consultation du catalogue nous a
interloqués », rapportent quatre marchands et experts parisiens (Bernard Dulon,
Philippe Ratton, Christine Valluet pour les arts tribaux, et Jacques Blazy pour
l’art précolombien) dans une lettre datée du 15 février 2008 et adressée au
président du Syndicat national des antiquaires (SNA).
Ceux-ci indiquent que de nombreux collectionneurs leur ont demandé leur avis
sur l’authenticité des pièces proposées. Ils les ont donc examinées sur place au
moment de leur exposition.
Dans leur courrier, sur les 326 pièces composant au total
The discovery of "primitive art": an art of strength Shapes and shape functions Deities and ancestors The living wood
Force and Measurement
Develop an aesthetic of black Africa is seen as a risky business in many ways. Is it legitimate to isolate these objects, that today we call art, the general framework of their relations and their cultural constraints? Can we submit to a test that has never existed in the minds of their creators? And can we finally see in this art - if we 'take on this term - a uniform phenomenon, despite the wide variety of both regional and local styles we offer this huge continent, following lengthy Historical developments often poorly understood? Finally, remember that this approach excludes large regions, including Africa white, that is to say the Mediterranean area with its ancient history, the eastern and southern Africa whose pastoral peoples have given rise to cultures almost without images, and finally these hunting societies, which, even in our time have not passed the stage of evolution of prehistoric rock paintings which are the main evidence of an artistic production that appears at various points the continent. Similarly, we must exclude from our contribution to the aesthetics of black African art the old feudal societies, including Benin. Our discussion is therefore limited to large areas farmers, the true cradle of
Mezzanine East Tuesday 10 November 2009 to Sunday, January 31, 2010 Commission: Gaëlle Beaujean, head of collections Africa Branly
with the collaboration of Joseph Adande, art historian at the University of Abomey and Ahonon Leonard, manager and curator of the site of the royal palaces of Abomey
This exhibition presents 82 works through graphics and 8 elders, artists of the kingdom of Dahomey (1600-1894), in present-day Benin.
Its purpose is to present their works but also to question their role and status within society danhoméenne, and more specifically in the capital Abomey. Indeed, the artists chosen by the king, enjoyed great privileges while being constrained by their allegiance. The exhibition will explore their creations through the different functions of art in Abomey.
It is also to involve artists and families of artists in each type of objects presented. This new approach is the result of a research conducted by the research team, which resulted in an award-sometimes very finely certain objects.
The exhibition will last a double look at the works presented: the country of origin (through the participation of two scientists from Benin) and the French commissioner. route of exposure
After an introductory space with an old map and a genealogy of the kings
Culture (from the Latin cultura stemming from colere, meaning "to cultivate")[1] is a term that has different meanings. For example, in 1952, Alfred Kroeber and Clyde Kluckhohn compiled a list of 164 definitions of "culture" in Culture: A Critical Review of Concepts and Definitions. However, the word "culture" is most commonly used in three basic senses:
* excellence of taste in the fine arts and humanities, also known as high culture * an integrated pattern of human knowledge, belief, and behavior that depends upon the capacity for symbolic thought and social learning * the set of shared attitudes, values, goals, and practices that characterizes an institution, organization or group.
When the concept first emerged in eighteenth- and nineteenth-century Europe, it connoted a process of cultivation or improvement, as in agriculture or horticulture. In the nineteenth century, it came to refer first to the betterment or refinement of the individual, especially through education, and then to the fulfillment of national aspirations or ideals. In the mid-nineteenth century, some scientists used the term "culture" to refer to a universal human capacity.
In the twentieth century, "culture" emerged as a concept central to anthropology, encompassing all human phenomena that are not purely results of human genetics.
Primitive arts: political nomenclature or singular art?
Eugene Berg Diplomat, former ambassador to Namibia, Botswana and Fiji. Author of 'Non-alignment and New World Order '(PUF, 1980),' The International Politics since 1955 '(Economica, 1990) and' Chronology internati''o''nale: 1945-1997 '(PUF, "Que sais-je?", 4th ed, 1997). Works since No. 19-20 to review work made in the journal 'The Banquet'.
The inauguration of the Musée du Quai Branly, just as the opening second France-Oceania summit, was a highlight of the cultural quinquennium of Jacques Chirac. He will no doubt what would have been the Centre Beaubourg Georges Pompidou, Musée d'Orsay for Valery Giscard d'Estaing and Francois Mitterand National Library for. Expresses this place that has done since its opening subject to real and sustained enthusiasm People and challenges no less significant part of the community scientific and museum? As written immediately Berenice Geoffroy-Schneiter, this is "no accident that our west in search of Spirituality landmarks and turns to these desperate travelers the invisible. "
“Africa Remix” featured the work of over 100 African artists in a
2,200-sq.m exhibition space. With paintings by Chéri Samba,
installations by Barthélémy Toguo, drawings by Frédéric Bruly Bouabré
and photographs by Guy Tillim, “Africa Remix” revealed the varied
facets of Africa’s contemporary arts scene.
The
exhibition examined contemporary African art not only from an aesthetic
angle but also from historical, political and ideological perspectives.
- Total pledges support for African art with the ”Africa Remix” exhibition in Paris -
So
near, and yet so far: Africa is an enigma that continues to exert a
strange fascination for many. “Africa Remix” was an invitation to
reflect on what Africa really means – to explore and rediscover it by
straying from the beaten path of commonplace ideas and platitudes. As
Total has a strong presence in Africa, we are all too aware of the
difficulties affecting the continent, but we’re also committed to
bringing African culture the recognition it deserves.
Africa Remix
Under the artistic direction of Simon Njami (photo), an international team of curators (see dates and facts as well as the photo) has assembled this overview of the artistic production in Africa and the African diaspora. 88 artists show works from the last 10 years, among them several specially
Birth name Wassily Wassilyevich Kandinsky Born 4 December 1866 Moscow Died 13 December 1944 (aged 77) Neuilly-sur-Seine Nationality Russian
Wassily Wassilyevich Kandinsky (Russian: Васи́лий Васи́льевич Канди́нский, Vasilij Vasil'evič Kandinskij; 4 December [O.S. 4 December] 1866 – 13 December 1944) was a Russian painter, and art theorist. He is regarded as the founder of abstract art and is, moreover, the chief theoretician of this type of painting.Template:Fact quoted from "Kandinsky" by Burkhard Riemschneider 1994 Benedikt Taschen Verlag GmbH
Born in Moscow, Kandinsky spent his childhood in Odessa. He enrolled at the University of Moscow and chose to study law and economics. Quite successful in his profession—he was offered a professorship (chair of Roman Law) at the University of Dorpat—he started painting studies (life-drawing, sketching and anatomy) at the age of 30.
Vassily Kandinsky (Vassili Vassilievitch Kandinski, en russe : Василий Васильевич Кандинский) est un peintre russe et un théoricien de l’art né à Moscou le 4 décembre 1866 et mort à Neuilly-sur-Seine le 13 décembre 1944.
Considéré comme l’un des artistes les plus importants du XXe siècle aux côtés notamment de Picasso et de Matisse, il est le fondateur de l'art abstrait : il est généralement considéré comme étant l’auteur de la première œuvre non figurative de l’histoire de l’art moderne, une aquarelle de 1910 qui sera dite "abstraite". Certains historiens ou critiques d'art ont soupçonné Kandinsky d'avoir antidaté cette aquarelle pour s'assurer la paternité de l'abstraction sous prétexte qu'elle ressemble à une esquisse de sa Composition VII de 1913[réf. souhaitée].
Kandinsky est né à Moscou mais il passe son enfance à Odessa. Il s'inscrit à l’Université de Moscou et choisit le droit et l’économie. Il décide de commencer des études de peinture (dessin d’après modèle, croquis et anatomie) à l’âge de 30 ans.
En 1896 il s’installe à Munich où il étudie à l’Académie des Beaux-Arts. Il retourne à Moscou en 1918 après la révolution russe. En conflit avec les théories officielles de l’art, il retourne en Allemagne en 1921. Il y enseigne au Bauhaus à partir de 1922
Le bambara, aussi connu sous le nom de bamanankan, est une langue parlée par plus de 10 millions de personnes, principalement au Mali. De nombreuses autres personnes parlent également cette langue, ou des dialectes, dans d'autres pays voisins comme le Burkina Faso, la Côte d'Ivoire, la Guinée et la Gambie. Les différences entre le bambara et le malinké et le dioulasont minimes, cette dernière langue étant parlée ou comprise par une
quinzaine de millions de personnes en Afrique de l'Ouest (notamment Burkina Faso, Côte d'Ivoire, et Gambie).
La langue est fortement influencée par le français.
Répartition géographique
Le bambara est une langue nationale du Mali, et constitue la langue la plus communément comprise dans le pays.
Les principaux dialectes du bambara sont : somono, segou, san, beledugu, ganadugu, wasulu et sikasso.
Dioula[modifier]
Le dioula est relié au bambara de la même façon que l'anglais des États-Unis est lié à l'anglais d'Angleterre. C'est probablement la langue la plus utilisée pour le commerce en Afrique de l'Ouest.
Elaborer une esthétique de l'Afrique noire apparaît comme une entreprise hasardeuse à bien des égards. Est-il légitime d'isoler ces objets, qu'aujourd'hui nous qualifions d'œuvres d'art, du cadre général de leurs relations et de leurs contraintes culturelles ? Peut-on les soumettre à un critère qui n'a jamais existé dans la pensée de leurs créateurs ? Et peut-on, enfin, voir dans cet art - si l'on s' en tient à ce terme - un phénomène uniforme, malgré la grande variété de styles tant régionaux que locaux que nous offre cet énorme continent, à la suite de longues évolutions historiques souvent mal connues ? Enfin, n'oublions pas que cette approche exclut de vastes régions, notamment l' Afrique blanche, c' est à dire la zone méditerranéenne avec son histoire millénaire ; l'Afrique orientale et méridionale dont les peuples de pasteurs ont donné naissance à des cultures pratiquement sans images ; et enfin ces sociétés de chasseurs, qui, encore à notre époque, n'ont pas dépassé le stade d'évolution de la préhistoire et dont les peintures rupestres constituent le principal témoignage d'une production artistique qui apparaît en divers points du continent. De même, il nous faut exclure de notre contribution à une esthétique de l'art d'Afrique noire les anciennes sociétés féodales, notamment le Bénin. Notre réflexion se borne donc aux vastes régions paysannes, véritable berceau de la sculpture sur bois.
Born April 4 or April 16, 1896 Moineşti, Kingdom of Romania Died December 25, 1963 (aged 67) Paris, France Pen name S. Samyro, Tristan, Tristan Ruia, Tristan Ţara, Tr. Tzara Occupation poet, essayist, journalist, playwright, performance artist, composer, film director, politician, diplomat Nationality Romanian, French Writing period 1912–1963
Guillaume Apollinaire, Henri Barzun, Fernand Divoire, Alfred Jarry, Jules Laforgue, Comte de Lautréamont, Maurice Maeterlinck, Adrian Maniu, Filippo Tommaso Marinetti, Ion Minulescu, Christian Morgenstern, Francis Picabia, Arthur Rimbaud, Urmuz, François Villon, Walt Whitman
Influenced
Louis Aragon, Marcel Avramescu, Samuel Beckett, André Breton, William S. Burroughs, Andrei Codrescu, Jacques G.
Art is the process or product of deliberately arranging elements in a way that appeals to the senses or emotions. It encompasses a diverse range of human activities, creations, and modes of expression, including music and literature. The meaning of art is explored in a branch of philosophy known as aesthetics.
The definition and evaluation of art has become especially problematic since the early 20th century. Richard Wollheim distinguishes three approaches: the Realist, whereby aesthetic quality is an absolute value independent of any human view; the Objectivist, whereby it is also an absolute value, but is dependent on general human experience; and the Relativist position, whereby it is not an absolute value, but depends on, and varies with, the human experience of different humans. An object may be characterized by the intentions, or lack thereof, of its creator, regardless of its apparent purpose. A cup, which ostensibly can be used as a container, may be considered art if intended solely as an ornament, while a painting may be deemed craft if mass-produced.
Traditionally, the term art was used to refer to any skill or mastery. This conception changed during the Romantic period, when art came to be seen as "a special faculty of the human mind to be classified with religion and science". Generally, art is made with the intention of stimulating thoughts and emotions.
The nature of art has been described by Richard Wollheim as "one of the most elusive of the traditional problems of human culture". It has been defined
DE L'ART ANCIEN AFRICAIN, DE L'ETHNOLOGIE ET DU MUSEE: POUR UN RECENTREMENT DE L'ESTHETIQUE...
Au
commencement était la nuit. Une longue nuit pour l'esthétique
africaine. Ce fut le règne sans partage du musée dit «de séries»,
véritable vitrine du colonialisme, de confession évolutionniste et dont
l'approche contextualiste célébrait l'Etrange, chantait l'Aventure et
la Science. A cette époque point d'« objets », que des curiosités,
trésors de guerre et pièces de laboratoires de chevronnés «
Civilisateurs ». Il n'était pas rare alors, de voir des sculptures
côtoyer dans les vitrines : cornes, peaux de bêtes et autres feuilles
de palmier. Puis, il y eut le regard affûté d'une jeune génération
d'artistes particulièrement douée et par ailleurs cruellement blasée,
en quête de médecine pour un art européen las de son académisme figé.
Cette génération vit dans ce fouillis les moyens d'une rédemption...
Une
certaine révolution est venue corriger l'évidente injustice, consacrant
depuis le siècle dernier des expositions à caractère esthétique pour la
production africaine. Désormais, les objets, dans une dramaturgie
suggérée par les seules qualités plastiques, invitent à un rapport
nouveau. Exit la surabondance, la cacophonie et le "meurtre du vrai"
que génère la tentative bancale de reconstitution de l'ailleurs
fantasmé. Ici on ne rejoue pas le film de l'heureuse rencontre avortée
entre "civilisés" et "primitifs". Nous avons les vrais Stars que sont
les objets, mais d'une