Result of the research : 'informations'
Exposition Rentrée 2013 (Septembre – Octobre)
Exceptionnelle exposition consacrée à l'art Luba. Ce peuple situé à l'est de la
République Démocratique du Congo, au Sud de la région des grands Lacs. Selon
la tradition orale, le royaume fondé à la fin du XVIème siècle par le roi Nkongolo et
n'à cessé de s'agrandir jusqu'à son démantèlement à le fin du XIXème siècle et à
l'arrivée des colons et missionnaires Belges.
Sera présenté au public un ensemble composé d'une vingtaine de pièces d'intérêts
artistiques et culturels majeurs- statues, Kabuelulu (calebasses surmontées de
statuettes), peigne, hache sculptée...
L'exposition comporte deux grandes parties: La première consacrée à la statuaire
de cette région et la seconde aux objets rituels qui prennent une place importante au
sein de la société Luba.
Cette exposition s'interrogera aussi sur le rôle de la femme dans la société Luba.
Très souvent représentée dans son rôle de mère dans la statuaire ou se tenant
les seins en signe de fertilité, elle est aussi
[ See the continuation... ]
|
PARIS TRIBAL
Du 3 au 6 avril 2014
Quartier Beaux-Arts / Saint-Germain-des-Prés
Paris Tribal : 26 galeries parisiennes créent un nouvel événement qui
conforte la place de Paris comme capitale des arts premiers
Les arts premiers fascinent car ils racontent une histoire dont on ne saisit parfois que les contours et
qui ne livre souvent qu’une partie de ses secrets. Cet appétit pour l’art tribal, très répandu en Europe
et aux Etats-Unis, se développe dans le monde entier.
Est-ce l’histoire coloniale, le goût des surréalistes pour les mystères ethniques ou encore les emprunts
de l’art nouveau au répertoire primitif, toujours est-il que les amateurs d’art vont naturellement vers
cet art des origines. Indéniablement, Paris apparaît aujourd’hui comme la capitale des arts premiers, à
l’image du grand nombre de galeries parisiennes internationalement connues et du succès régulier du
Parcours des Mondes en septembre, dont Paris Tribal se veut aujourd’hui le complément.
Forts de ce constat et conscients de l’arrivée sur le marché d’une génération de collectionneurs férus
d’art contemporain mais désireux de s’initier aux arts premiers, les marchands parisiens ont décidé de
créer un nouvel évènement au printemps pour montrer leur capacité
[ See the continuation... ]
|
As a son of a German manufacturer and a Dutch mother spent Muensterberger a big part of his(its) infancy with his(its) grandmother in Haarlem, in the Netherlands. Together with Klaus Mann, son of Thomas Mann, he(it) visited in Germany also some years the ode forest school; he(it) spoke therefore from childhood German and Dutch.
Muensterberger took(accepted) a study of the medicine at the university of Heidelberg, however, changed after a term to Berlin to study there ethnology. Moreover, he(it) graduated an education in the psychoanalytic institute of the Berlin university.
The art collector, baron Eduard of the Heydt, a removed relative of his(its) mother, announced him with ethnographischer, African art. Muensterberger dedicated to him as thanks to his(its) work appeared in 1955 Sculpture of primitive One. By baron of the Heydt Muensterberger got to know the ethnologist Eckart von Sydow by whom he(it) visited of late lectures, which banker
[ See the continuation... ]
|
African Art on the Internet
15th Triennial Symposium on African Art, Arts Council of the African Studies Association, 2011, Wednesday, March 23 - Saturday, March 26, 2011, UCLA, Los Angeles, California
http://www.acasaonline.org/conf_next.htm
Addis Art - Ethiopian Art and Artists Page
Contemporary Ethiopian art and artists - paintings, sculptures and digital art work by students and professionals from Addis Ababa, Ethiopia. University instructor, Getahun Assefa's paintings, drawings, sculpture, digital art. Also work by his brother, Tesfaye Assefa. Based in Addis Ababa, Ethiopia. [KF] http://www.addisart.com/
Addis Art - Nouveau Art from Ethiopia
Artists include Shiferaw Girma and Lulseged Retta. Photographs of each artist's work, a biography, and video. Founded by Mesai Haileleul. [KF] http://www.addis-art.com/
Adire African Textiles - Duncan Clarke
History, background, and photographs of adire, adinkra, kente, bogolan, Yoruba aso-oke, akwete, ewe, kuba, and nupe textiles. The symbolism of images is often provided. One can purchase textiles as well. Clarke's Ph.D. dissertation (School of Oriental and African Studies) is on Yoruba men's weaving. See also the Adire African Textiles blog. Based in London. http://www.adireafricantextiles.com/
Afewerk Tekle
"Ethiopia’s leading artist." Biography, his paintings, sculptures, mosaics, murals, art in the artist's home. Afewerk created the stained-glass windows at the entrance of Africa Hall, headquarters of the United Nations Economic Commission for Africa. "In 1964, he became the first winner of the Haile Selassie I prize for Fine Arts." "In 2000, he was one of the few chosen World Laureates by the council of the ABI on the occasion of the 27th
[ See the continuation... ]
|
Notes succinctes sur les masques kalengula des Luntu et des peuples voisins (R.D.C.)
(première partie)
Constantin PETRIDIS (1) in Arts d'Afrique Noire arts premiers Automne 2000 N° 115
Au sein de la littérature sur les masques de l'Afrique subsaharienne, ce sont surtout les masques en bois sculpté qui ont retenu l'attention des chercheurs. Les publications sur le bassin du Congo n'ont pas fait exception à cette règle. Ainsi, le catalogue d'exposition 'Face of the Spirits', publié en 1993 à l'occasion d'une exposition du même nom à l'Etnografisch Museum d'Anvers, ne montre, sur un total de cent treize masques, que cinq exemplaires en fibres tressées (2). La rareté de ces objets dans les collections occidentales est due, entre autres, au fait que les matières utilisées résistent mal au transport et aux changements climatiques. Il faut sans doute également voir dans cette lacune une explication d'ordre esthétique. En effet, les premiers collectionneurs d'art africain, se laissant guider par des idéaux occidentaux, ne prenaient en considération que des matières jugées nobles telles le bois, les métaux ou l'ivoire. Pourtant, hormis des masques en bois sculpté, plusieurs peuples du bassin du Congo ont produit des couvre-chefs et couvre-visages en fibres et autres matières plus éphémères. Or, bien qu'ils soient occasionnellement mentionnés dans des publications spécialisées, les études approfondies les concernant font aujourd'hui toujours défaut (3).
En vertu de ce constat, il nous a semblé pertinent de nous pencher sur l'étude d'un type de masque nommé kalengula qui, malgré une
[ See the continuation... ]
|
MILLER Judith, Philip Keith, Jim Haas, Graham Rae
Les Arts premiers
Détails sur le produit:
Relié: 240 pages - Editeur: Gründ (29 janvier 2007) - Collection: L'oeil du chineur - Langue: Français
ISBN-10: 2700015258 - ISBN-13: 978-2700015256
Descriptions du produit:
Présentation de l'éditeur
Un guide à l'usage du collectionneur et du marchand, qui combine informations historiques, analyses de pièces remarquables, points de repères stylistiques ou techniques, et estimations. Près de 1000 objets présentés avec, pour chaque pièce, une description précise, un côté mini-maxi et un code indiquant le commissaire-priseur et sa localisation. Un panorama des domaines les plus recherchés, objets rituels ou objets de la vie quotidienne, armes, masques, tambours, figurines ou
[ See the continuation... ]
|
Art primitif : prix du désir, prix de l’objet
AuteurRolande Bonnain-Dulon du même auteur
CRH/EHESS
24, bd de Magenta
75010 ParisRolande.Bonnain-Dulon@ehess.fr
« L’art primitif a influencé tout l’art contemporain.
C’est normal qu’il ait un prix. »(Jeune marchand parisien)
« Noirs désirs » [Télérama, 26/06/2003], « Bas les masques » [Libération, 1/07/2001], « La ruée vers l’or noir » [Le Figaro, 2/07/2001], « Les sortilèges de l’art africain » [Le Figaro, dossier Patrimoine, 26/10/2001], tous ces titres (et d’autres non moins accrocheurs) ont annoncé et suivi la dispersion aux enchères publiques en juillet 2001, soit un an après sa mort, de la collection d’art primitif d’Hubert Goldet, grand amateur et cofondateur de la revue ArtPress. La vente, qui avait duré deux jours et attiré amateurs, marchands et curieux d’Europe et d’Amérique, avait joui d’un énorme succès : 644 lots proposés et vendus pour la somme de 88,4 millions de francs avec les frais soit 13,5 millions d’euros. Cet événement témoigne, s’il en est encore besoin, que ce domaine de l’art, l’un des derniers découverts par l’Occident, n’est plus confidentiel et déborde le cadre du petit monde des initiés. Depuis son ouverture en avril 2000, le pavillon des
[ See the continuation... ]
|
Resonnances mythique dans la statuaire du pays Dogon
D’après DOGON, Jean-Louis Paudrat
Dans l’inventaire de la culture matérielle dogon, l’un de ses articles les plus modestes : un déméloir de tresses capillaire en bois dur, adapté à sa fonction, qui est de pénétrer le réseau serré des mècjes. Cet objet usuel s’effile à partir d’une poignée légèrement renflée. Humble décor, quelques incisions en zig zag, et l’ajout de trois brins, d’aluminium, or les définitions traditionnelles de cet instrument sont ainsi formulées : « le témoignage de la création du monde par Amma. « ou bien encore « le doigt d’Amma créant le monde et le montrant « .
La partie qui s’ajuste à la paume est marquée par quatre nervures, les quatre clavicules du démiurge, fermées et prêtes à s’ouvrir, le motif à chevrons champlevés est dit extension des clavicules d’Amma, les trois torsades métalliques blanches comme « l’eau qui enserre les terres » se détachent sur le fond noir comme « les nuages de pluie « . ainsi en réduction ce simple ustensile, constitue t il le modèle de la genèse de l’univers : de l’œuf initial à son ouverture et à la superposition des ciels et des terres.
Geneviève Calame-Griaule, qui rapporte cette interprétation, dans une étude admirable de l’expression orale de l’être au monde Dogon, aura conçu à l’instar de ses pairs , Marcel Griaule, Germaine Dieterlen, Michel Leiris, Denise Paulme, Dominique Zahan et d’autres – la production symbolique propre
[ See the continuation... ]
|
Confidentialité
Les SVV sont tenues au secret professionnel en ce qui concerne l’identité des vendeurs et des acheteurs, ainsi que plus généralement toutes les informations qui ne sont pas directement liées aux objets mis en vente.
See the continuation... ]
|
Enchères et émotions
AuteurRolande Bonnain-Dulon du même auteur
École des hautes études en sciences sociales
EHESS
Centre de recherches historiques
54, bd Raspail
75006 Paris
Au-delà de leur public bien sûr, les ventes aux enchères passionnent les sociologues et les ethnologues et ce, à juste titre [Matras-Guin, 1987 ; Quémin, 1993 ; Rémy 1990]. Grâce à eux, on a compris pourquoi cette pratique sociale qui mêle l’économique au symbolique, le rationnel aux émotions, l’individuel à une certaine forme de collectif attire tant de gens qui vont là comme au spectacle, par curiosité, sans avoir toujours l’intention de participer aux enchères. Ces chercheurs nous ont également montré le rôle que ces lieux ont joué sur la constitution des communautés diffuses et temporaires, la mise en place de rituels profanes, le vécu de la concurrence, le rapport aux objets, le métier de commissaire-priseur.
2 Avec cet article, nous visons à montrer la forte incidence du lieu et les effets de sa représentation sur l’existence, les pratiques et les particularités d’un certain monde[1] [1] On utilise ici le terme « monde » dans le sens que lui...
suite, celui des collectionneurs d’arts premiers[2] [2] L’expression « arts premiers » désigne ici, sans...
suite dont les objets acquièrent lentement le statut d’art classé, en particulier en ces temps où le Louvre les accueille.
3 Aujourd’hui, les anciennes puissances coloniales ne se livrant plus à des guerres de conquête, une pièce classée dans les arts premiers n’a guère
[ See the continuation... ]
|
Le socle et l’objet
Anne Villard *
Tout comme l’éclairage ou
la couleur, le socle est un des
éléments qui participent à la
construction de sens émanant
de l’ensemble d’une expo-
sition. Et à ce titre il concourt
à la compréhension de l’objet
qu’il présente. L’auteur
s’attache à mettre au jour les
types de liens existants entre
le socle et l’objet et analyse
à travers quelques exemples
la façon dont, dans le
contexte de l’exposition,
les messages sont véhiculés
par le socle.
* Anne Villard est muséologue
27 rue Bretonneau
37000 Tours
téléphone + 33 2 47 31 90 52 et
+ 33 6 19 55 73 18
annevillard@voila.fr
S’interroger sur la nature des liens qui
s’établissent entre le socle et l’objet c’est
parler de la relation qui s’instaure entre
ces deux objets c’est aussi mettre en évi-
dence la ou les fonctions du socle (ou du
support) dans l’exposition de l’objet.
En muséologie, la nature polysémique et
polyfonctionnelle de l’objet est aujour-
d’hui une évidence, et nous ne saurions
ignorer l’importance de son contexte de
présentation (1). L’objet s’insère dans
[ See the continuation... ]
|
The Nok civilization
The Nok civilization was discovered recently, in 1943 a fragment of a terracotta statue was unearthed in a tin mine near Nok on the Jos Plateau in central Nigeria. Following the discovery of other pieces of statues of high artistic quality were found near the city of Sokoto and creates lots of reactions when they appeared on the market of Western art. Since that date the statues from the city of Katsina still in northern Nigeria have been discovered, but like most of these magnificent statues excavated from unregulated very little information has reached us about their functions.
Several styles of terracotta statues were identified all dated between 400 BC and 200 AD there is currently very difficult to know if these styles correspond to different traditions or they are just regional variations.
More statues of styles, differences were found in the same regions, such as a number of terracotta-called classical style have been discovered in the region of Katsina to three hundred kilometers from their cultural center: the town of Nok.
It is likely that future research will give us more information on what is currently one of the great mysteries of African art.
The classical style known as Nok terracotta, includes statues of real size, with large elongated heads , hair forms developed and we identified them especially thanks to the eyes of an eyebrow and upper linear lower curve of an eyebrow, Their body is usually decorated with many jewels in terracotta, reminiscent of beads stones otherwise similar to those that were found during excavations.
[ See the continuation... ]
|
Arts of Africa first Black Arts Spring 1981 No. 77
When we examine the significance of an African mask, we do not seek to know what the "message" it provides, by virtue of some essential notion of disguise and by his presence, but rather what kind of continuum it belongs. The masks are at the confluence of pictorial traditions, oral and functional none appears (under secular unable to recognize the subjects and even less discernible. The understanding of pictorial code used requires not only a review but a review of developed components as needed through the original context. Let us offer an example of the image with respect to the buffalo in the region of Zaire Kwango-Kwilu South West (1).
Synceros caffer, the largest of African cattle is a massive animal, black, cropped hair, measuring 1.50 m at the shoulder and weighing nearly a ton (900 kg.) (Fig. 1). Its heavy horns have a spacing of one meter, are curved downward and inward and form large lumps to their bases. This animal, originally occupied the central, eastern and southern Africa, frequenting the open plains, open woods and river beds and marshes bordered by reeds. Commonly preview herds of a dozen to a hundred heads, he used to graze and graze the early morning and again at dusk, seeking shade during the hottest hours but sometimes moving at night . Females do not carry a calf for about eleven months.
Considered peaceful, was injured when he can become, for hunters, the most dangerous animal of any big game on the continent (Fig. 2). He is known for his
[ See the continuation... ]
|
l’essentiel
Le pavillon expose les réalisations du Burundi dans sa pratique d u développement durable ainsi que les expériences du succès de la capitale Bujumbura et des campagnes sur les plans du développement et du partage des gains, Composé de quatre espaces fonctionnels, le pavillon présente les produits représentatifs du pays et ses produits d’artisanat, et propose des spectacles exotiques et la dégustation du café et des gâteaux. L'expo en ligne Caractéristiques du pavillon A ne pas manquer 1
Les acteurs du Burundi vont offrir un spectacle de danse typique du pays. A ne pas manquer
Les visiteurs aurons l’occasion de déguster le café et le thé du pays ainsi que les gâteaux venus du lac Tanganyika de l’Afrique. isite du pavillon du Burundi
La république d'Afrique de l'Est a célébré le 3 juillet la journée de son pavillon. Le ministre des Affaires étrangères du Burundi, Augustin Nsanze, et Hua Junduo, le commissaire général chinois pour l'Exposition universelle 2010, ont assisté à la cérémonie qui s'est tenue dans le Centre culturel de l'Expo.
M. Nsanze a fait l'éloge du travail accompli par les organisateurs de l'Expo. Il a expliqué que le Burundi a amené ses produits traditionnels de pêche et d'élevage, sa médecine, ses biens industriels et son artisanat à Shanghai, afin d'attirer les investissements des entreprises chinoises.
M. Hua a déclaré que les dons de la nature et l'artisanat populaire du Burundi illustrent le thème du pavillon, « Coexistence et interaction entre l'homme et la nature ». Il a souligné que le Burundi partagera ses succès dans le
[ See the continuation... ]
|
L’essentiel
Le pavillon présente le parcours de la modernisation du Botswana et ses charmes comme une destination de tourisme, un centre commercial et un lieu de vie. L’exposition se déroule autour des ressources naturelles, de l’histoire, du patrimoine, de la ville et de la vie du pays. Elle porte également sur l’influence sur le développement urbain des ressources naturelles et du patrimoine culturel. L'expo en ligne Caractéristiques du pavillon A ne pas manquer 1
Le pavillon exhibe les paysages de tourisme du pays: la vaste prairie d’élevage, la diversité des animaux et des végétaux, le beau Delta Okavango et les riches ressources minérales. A ne pas manquer 2
A l’intérieur, les visiteurs peuvent admirer le patrimoine historique, la culture et les arts du pays: architecture ancienne, sculpture, peinture, musique, chanson et danse.
« Le thème de l'Exposition universelle 2010, “Meilleure ville, meilleure vie”, représente la volonté commune des peuples d'améliorer leur environnement et leur souhait de créer des villes vivables et durables », a déclaré le vice-président botswanais Mompati Merafhe, lors de la cérémonie officielle qui s'est tenue dans la matinée au Centre de l'Expo.
Cette année marque le trente-cinquième anniversaire de l'établissement des relations diplomatiques entre la Chine et le Botswana. Le maire adjoint de Shanghai Hu Yanzhao a estimé que la confiance politique qui unit les deux pays se renforce sans cesse, ainsi que la compréhension et l'amitié de leurs peuples.
« Un héritage de paix » est le thème de l'exposition qui met en valeur la modernisation du Botswana, l'un des
[ See the continuation... ]
|
This is a copy of the catalogue of the exhibition of 1923 in Brooklyn Museum, In 1903 Stewart Culin became the founding curator of the department of ethnology at the museum of the Brooklyn institute of arts and sciences, now the Brooklyn museum Culin a self taught ethnologist built the foundation of four curatorial collections for the museum, acquiring objects representing African Asian native American and estaern European culture Culin was among the first curator to recognize museum installation as an art form, he was also among the first to display ethnological as art objects, not as ethnographic specimens. This approach is evidenced in his exhibition “primitive negro art” The exhibition opened in april 1923 and displayed African objects he had acquired in Europe from dealers. Along with his colleagues Culin set the parameters for cultural representation in museum through his collection decisions and innovative installations.
[ See the continuation... ]
|
LES GRANDES EXPOSITIONS COLONIALES : Les expositions coloniales furent organisées au XIXe siècle et dans la première moitié du XXe siècle dans les pays européens. Elles avaient pour but de montrer aux habitants de la Métropole les différentes facettes des colonies. Les expositions coloniales donnaient lieu à des reconstitutions spectaculaires des environnements naturels et des monuments d'Afrique, d'Asie ou d'Océanie. La mise en situation d'habitants des colonies, souvent déplacés de force, les fera qualifier dans les années 2000 de zoos humains. La France compte alors 41,8 millions d'habitants et son Empire colonial, second derrière celui du Royaume-Uni, 67 823 000 personnes pour une superficie de 12 356 637 km².
1866 : Exposition Intercoloniale de Melbourne (Intercolonial Exhibition of Australasia) 1870 : Exposition Intercoloniale de Sydney (Intercolonial Exhibition) 1875 : Exposition Intercoloniale de Melbourne (Victorian Intercolonial Exhibition) 1876 : Exposition Intercoloniale de Brisbane (Intercolonial Exhibition) 1883 : Exposition Internationale et Coloniale d'Amsterdam (Internationale Koloniale en Untvoerhandel Tentoonsellung) 1886 : Exposition Coloniale et Indienne de Londres (Colonial and Indian Exhibition) 1894 : Exposition Internationale et Coloniale de Lyon. Elle vit l'assassinat du président de la République Sadi Carnot. 1894 : Exposition Insulaire et Coloniale de Porto (Exposição Insular e Colonial Portuguesa) 1898 : Exposition internationale et coloniale de Rochefort-sur-Mer 1902 : Indo China Exposition Française et Internationale de Hanoï 1902 :
[ See the continuation... ]
|
This is a copy of the catalogue of the exhibition of 1923 in Brooklyn Museum, In 1903 Stewart Culin became the founding curator of the department of ethnology at the museum of the Brooklyn institute of arts and sciences, now the Brooklyn museum Culin a self taught ethnologist built the foundation of four curatorial collections for the museum, acquiring objects representing African Asian native American and estaern European culture Culin was among the first curator to recognize museum installation as an art form, he was also among the first to display ethnological as art objects, not as ethnographic specimens. This approach is evidenced in his exhibition “primitive negro art” The exhibition opened in april 1923 and displayed African objects he had acquired in Europe from dealers. Along with his colleagues Culin set the parameters for cultural representation in museum through his collection decisions and innovative installations. See the continuation... ]
|
LES GRANDES EXPOSITIONS COLONIALES : Les expositions coloniales furent organisées au XIXe siècle et dans la première moitié du XXe siècle dans les pays européens. Elles avaient pour but de montrer aux habitants de la Métropole les différentes facettes des colonies. Les expositions coloniales donnaient lieu à des reconstitutions spectaculaires des environnements naturels et des monuments d'Afrique, d'Asie ou d'Océanie. La mise en situation d'habitants des colonies, souvent déplacés de force, les fera qualifier dans les années 2000 de zoos humains. La France compte alors 41,8 millions d'habitants et son Empire colonial, second derrière celui du Royaume-Uni, 67 823 000 personnes pour une superficie de 12 356 637 km².
1866 : Exposition Intercoloniale de Melbourne (Intercolonial Exhibition of Australasia) 1870 : Exposition Intercoloniale de Sydney (Intercolonial Exhibition) 1875 : Exposition Intercoloniale de Melbourne (Victorian Intercolonial Exhibition) 1876 : Exposition Intercoloniale de Brisbane (Intercolonial Exhibition) 1883 : Exposition Internationale et Coloniale d'Amsterdam (Internationale Koloniale en Untvoerhandel Tentoonsellung) 1886 : Exposition Coloniale et Indienne de Londres (Colonial and Indian Exhibition) 1894 : Exposition Internationale et Coloniale de Lyon. Elle vit l'assassinat du président de la République Sadi Carnot. 1894 : Exposition Insulaire et Coloniale de Porto (Exposição Insular e Colonial Portuguesa) 1898 : Exposition internationale et coloniale de Rochefort-sur-Mer 1902 : Indo China Exposition Française et Internationale de Hanoï 1902 : Exposition Internationale et Coloniale des Etats-Unis de New York (United
[ See the continuation... ]
|
|
|