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GALERIE ART PREMIER AFRICAIN GALERIE ART PRIMITIF AFRICAIN AFRICAN ART GALLERY

Art Gallery the Eye and the Hand
Result of the research Result of the research : 'marchandise'

Art primitif : prix du désir, prix de l’objet
AuteurRolande Bonnain-Dulon du même auteur
CRH/EHESS
24, bd de Magenta
75010 ParisRolande.Bonnain-Dulon@ehess.fr
« L’art primitif a influencé tout l’art contemporain.
C’est normal qu’il ait un prix. »(Jeune marchand parisien)
 
« Noirs désirs » [Télérama, 26/06/2003], « Bas les masques » [Libération, 1/07/2001], « La ruée vers l’or noir » [Le Figaro, 2/07/2001], « Les sortilèges de l’art africain » [Le Figaro, dossier Patrimoine, 26/10/2001], tous ces titres (et d’autres non moins accrocheurs) ont annoncé et suivi la dispersion aux enchères publiques en juillet 2001, soit un an après sa mort, de la collection d’art primitif d’Hubert Goldet, grand amateur et cofondateur de la revue ArtPress. La vente, qui avait duré deux jours et attiré amateurs, marchands et curieux d’Europe et d’Amérique, avait joui d’un énorme succès : 644 lots proposés et vendus pour la somme de 88,4 millions de francs avec les frais soit 13,5 millions d’euros. Cet événement témoigne, s’il en est encore besoin, que ce domaine de l’art, l’un des derniers découverts par l’Occident, n’est plus confidentiel et déborde le cadre du petit monde des initiés. Depuis son ouverture en avril 2000, le pavillon des
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Enchères et émotions
AuteurRolande Bonnain-Dulon du même auteur

École des hautes études en sciences sociales
EHESS
Centre de recherches historiques
54, bd Raspail
75006 Paris

Au-delà de leur public bien sûr, les ventes aux enchères passionnent les sociologues et les ethnologues et ce, à juste titre [Matras-Guin, 1987 ; Quémin, 1993 ; Rémy 1990]. Grâce à eux, on a compris pourquoi cette pratique sociale qui mêle l’économique au symbolique, le rationnel aux émotions, l’individuel à une certaine forme de collectif attire tant de gens qui vont là comme au spectacle, par curiosité, sans avoir toujours l’intention de participer aux enchères. Ces chercheurs nous ont également montré le rôle que ces lieux ont joué sur la constitution des communautés diffuses et temporaires, la mise en place de rituels profanes, le vécu de la concurrence, le rapport aux objets, le métier de commissaire-priseur.
2 Avec cet article, nous visons à montrer la forte incidence du lieu et les effets de sa représentation sur l’existence, les pratiques et les particularités d’un certain monde[1] [1] On utilise ici le terme « monde » dans le sens que lui...
suite, celui des collectionneurs d’arts premiers[2] [2] L’expression « arts premiers » désigne ici, sans...
suite dont les objets acquièrent lentement le statut d’art classé, en particulier en ces temps où le Louvre les accueille.
3 Aujourd’hui, les anciennes puissances coloniales ne se livrant plus à des guerres de conquête, une pièce classée dans les arts premiers n’a guère

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la marchandise chaude = la marchandise volée
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Le commissionnaire:
Nommé aussi savoyard ou col rouge à cause de son costume, sur lequel est brodé un numéro. quand il rachète sa charge il hérite du chiffre et du surnom de son prédécesseur. les commisssionnaires étaient jusquà cette rentrée de spetmebre en charge du transport ( à 75%) et de la manutention de l'hôtel des ventes. de l'enlèvement de la marchandise chez le particulier à la mis een place de la salle pour l'exposition pour la vente et enfin au stockage des lots non emportés , ils tenaient toute la chaîne.

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le commissaire priseur :
est un officier ministériel dépendant du garde des sceaux. la compagnie parisienne regroupe une centaine de commissaire priseur judiciaires, dont les neuf dixièmes exrçent également dans des ventes volontaires.
le commissaire-priseur met en vente des objets d’art, des antiquités ou des articles provenant de successions ou de saisies chez des particuliers ou des entreprises. Il existe deux statuts de commissaires-priseurs selon qu’ils s’occupent de ventes volontaires ou judiciaires.
Le métier de Commissaire priseur
© Photo : Jacques Palut - Fotolia
Description des tâches / conditions de travail

Désormais, les ventes volontaires aux enchères publiques doivent être organisées et réalisées par des commissaires-priseurs exerçant au sein de sociétés commerciales. Dans ce cas, la vente est réalisée à la demande d’un particulier. Le commissaire-priseur bien qu’exerçant dans une société commerciale ne pratique pas le commerce : il n’achète pas pour revendre, il revend pour le compte d’un client : c’est un acte civil.

Le commissaire-priseur, en tant officier ministériel, est le seul habilité à diriger des ventes judiciaires, c’est-à-dire d’objets saisis lors de faillites ou de redressements judiciaires.

Le commissaire-priseur procède aussi à l’expertise des meubles, bibelots ou des marchandises et des matériels mis en vente. Les ventes effectuées par les commissaires-priseurs concernent donc toutes sortes de biens hormis les biens immobiliers.
Grande connaissance de l’art, bon contact avec le public et sens de la mise en scène sont des qualités requises pour devenir un bon
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De l’africanisme aux études africaines Textes et « humanités » Alain Ricard Tout discours sur l'Afrique, et en particulier l'Afrique noire, ne peut il relever que de la passion, voire de lacompassion ? N’y a t-il que les fous d’Afrique – titre d’un livre récent – pour s’intéresser à elle ? Quelles formes de raison peut-il convoquer ?La première qui se présenta fut géographique. Sorte de page blanche de notre humanité jusqu'au XIXe siècle, l'Afrique a été inscrite avec nos routes, nos cartes, nos frontières ; aujourd'hui, les images satellitaires ne nous en laisentrien ignorer. Nous savons au mètre près ce qui se passe à Kisangani en guerre, là où Stanley donna à des chutes son nom : il avait compris que cette courbe du fleuve Congo était le centre du continent, il pensait en géographe et en stratège... Cette Afrique des images reste face à nous, extérieure : ne relève-t-elle pas aussi d'autres formes de raison plus intérieures, voire existentielles ? Quel immense murmure monte de la forêt ? Que dit-il ? Ces Africains ne sont-ils qued'empruntés francophones ou de pompeux anglophones ? Des bégayeurs maladroits ou des volubiles irresponsables ?L'inscription géographique, qui en reste à l'image, est trop facilement la proie de la marchandise. Aujourd'hui il nous faut le son, le discours. Des langues en expansion composent d'autres circulations que nous ne capterons pas avec nos satellites. Il nous faut passer de l'œil à l'oreille, du regard à l'écoute... Les blancs des cartes Les sciences humaines redécouvrent l’afrique, titrait un journal du soir après un colloque tenu à Nantes – « Les sciences de l’homme

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Royaume d'Aksoum

Aksoum jouait un rôle important dans le commerce international dès le Ier siècle de notre ère (voir le Périple de la mer Érythrée) jusqu'à ce que, vers la fin de la Ier millénaire, il succombe aux différentes puissances régionales islamiques qui s'étaient liguées contre elle.

Le Royaume d'Aksoum ou Empire Aksoumite était un royaume commercial important dans le nord-est de l'Afrique, qui s'est développé à partir du IVe siècle av. J.-C. pour atteindre son apogée au Ier siècle. Son ancienne capitale, Aksoum, se situait au nord de l'actuelle Éthiopie. Le royaume utilisa le nom "Ethiopie" dès le IVe siècle.Il est également le lieu présumé où repose l'Arche d'alliance et la maison de la reine de Saba. Aksoum a été également le premier grand empire à se convertir au christianisme.

Histoire

Origines

Aksoum fut longtemps considérée comme ayant été fondée par des sabéens de langue sémitique qui auraient traversé la Mer Rouge en venant d'Arabie du Sud (l'actuel Yémen), mais la plupart des chercheurs s'entendent maintenant pour dire que ce fut un développement autochtone.[4] En effet, il existait l'ancien royaume D'mt (ou Da'amot), avant toute migration sabéenne au IVe et Ve siècle av. J.-C.En outre, le Guèze, l'ancienne langue sémitique d'Érythrée et d'Éthiopie, est maintenant connue pour ne pas avoir dérivé de la langue de Saba et il y a des signes de présence de langues sémitiques en Éthiopie et en Érythrée au moins 2000 ans av. J.-C.. L'influence du Royaume de Saba semble
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Histoire de l'Empire du Wagadu
http://www.soninkara.com/histoire-geographie/histoire/histoire-de-lempire-du-wagadu.html

Les arabes ont été les premiers étrangers à établir des relations avec l'ancien Empire Soninké du Ghana. Les premiers écrits aussi parlant de l'histoire de l'Empire du Ghana proviennent d'historiens et de voyageurs arabes de l'époque de l'empire. Ce document , traduit de l'anglais de l'auteur Nazif ADAMS relate l'histoire de l'Empire du Ghana racontée dans les écrits des historiens et voyageurs arabes de l'époque.

Introduction

Personne ne sait exactement quand la nation de l'ancien empire Ghana a été découverte. Ce qui est connu de nos jours provient des écrits des voyageurs arabes, marchands et historiens, qui ont été là-bas pour le commerce ou pour visiter. Cependant bien avant que les Arabes écrivent sur l'histoire des Africains, d'autres peuples anciens avaient décrit le continent.

Environ 520 avant J.C., on dit qu'un un roi de Perse, nommé "Cambyses", avait missionné des hommes pour découvrir le soudan (Afrique de l'ouest). Les résultats de leur découverte se trouvent dans les récits du grand écrivain Herodotus. Ils montrent que bien avant la naissance du Christ, les royaumes du Soudan avaient un modèle de civilisation de haut
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De l’africanisme aux études africaines Textes et « humanités » Alain Ricard Tout discours sur l'Afrique, et en particulier l'Afrique noire, ne peut il relever que de la passion, voire de lacompassion ? N’y a t-il que les fous d’Afrique – titre d’un livre récent – pour s’intéresser à elle ? Quelles formes de raison peut-il convoquer ?La première qui se présenta fut géographique. Sorte de page blanche de notre humanité jusqu'au XIXe siècle, l'Afrique a été inscrite avec nos routes, nos cartes, nos frontières ; aujourd'hui, les images satellitaires ne nous en laisentrien ignorer. Nous savons au mètre près ce qui se passe à Kisangani en guerre, là où Stanley donna à des chutes son nom : il avait compris que cette courbe du fleuve Congo était le centre du continent, il pensait en géographe et en stratège... Cette Afrique des images reste face à nous, extérieure : ne relève-t-elle pas aussi d'autres formes de raison plus intérieures, voire existentielles ? Quel immense murmure monte de la forêt ? Que dit-il ? Ces Africains ne sont-ils qued'empruntés francophones ou de pompeux anglophones ? Des bégayeurs maladroits ou des volubiles irresponsables ?L'inscription géographique, qui en reste à l'image, est trop facilement la proie de la marchandise. Aujourd'hui il nous faut le son, le discours. Des langues en expansion composent d'autres circulations que nous ne capterons pas avec nos satellites. Il nous faut passer de l'œil à l'oreille, du regard à l'écoute... Les blancs des cartes Les sciences humaines redécouvrent l’afrique, titrait un journal du soir après un colloque tenu à Nantes – « Les sciences de l’homme

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P R E F A C E


In one of the chaos of rocks the most amazing of Africa, has a population of farmer-warriors who was one of the last of the French domain to lose its independence.


For most whites in West Africa, the Dogon are dangerous men, if not the most backward of the Federation. Ilspassent to practice human sacrifice and even to defend themselves better against all the outside influences that they live a difficult country. Some writers have told their small fears when supposedly daring excursions. From these legends and the pretext of revolts often due to misunderstandings, it has sometimes taken in exile of entire villages.


In short, the Dogon represent one of the finest examples of primitive savage and this opinion is shared by some black Muslims who, intellectually, are not better equipped than whites to appreciate those of their fellow faithful to ancestral traditions. Only officials who have assumed the heavy task of administering these men have learned to love them.


The author of this book and its many teammates attend the Dogon past fifteen years. They published the work of these men who are now the people's best-known French Sudan: The Souls of the Dogon (G. Dieterlen, 1941), The Currency (S. OF GANAY 1941), Masks (M. Griaule, 1938) have brought to scholarly evidence that blacks lived on complex ideas, but ordered, on systems of institutions and rituals where nothing is left to chance or whim. This work, already ten years ago, drew

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