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GALERIE ART PREMIER AFRICAIN GALERIE ART PRIMITIF AFRICAIN AFRICAN ART GALLERY

Art Gallery the Eye and the Hand
Result of the research Result of the research : 'paudrat'


Image L'art africain
KERCHACHE Jacques - PAUDRAT Jean-Louis - STEPHAN Lucien
 
L'art africain. Les principales ethnies de l'art africain par Françoise Stoullig-Marin
 
Détails sur le produit: (ISBN 10: 2-85088-023-X  -   ISSN 0066-7951)
 
Couverture reliée sous jaquette en couleur: 620 pages - Format: 31,5 x 24,5 x 5,6 cm - 821 b/w illustrations and 248 color plates, bibliography, glossary, index. Book bloc loose at the rear.
Editeur: Paris, Citadelles & Mazenod - Data di pubblicazione: 1988
KERCHACHE Jacques - PAUDRAT Jean-Louis - STEPHAN Lucien
Descrizione libro - Présentation de l'éditeur   -   Biographie de l'auteur
 
 
 
 
 
Descriptions du produit:
 
 
 
Descrizione libro
 
Amazon.fr
L'Art africain n'a pas la vocation de donner une vision exhaustive de son sujet. Comme le soulignent d'entrée les auteurs: L'art africain, en effet, semble déjouer toute entreprise de présentation unitaire. Successions d'entités aux contours distincts, cumul des expressions spécifiques à chacune des cultures particulières qui le composent, son tableau n'en restituerait que la somme des disparités. C'est donc avant tout au spectacle de la diversité que se consacre cet ouvrage. Issues d'ethnies et d'aires stylistiques multiples, les cultures africaines n'ont pas développé leur art de la même manière. Si les masques et les statues restent la production la plus emblématique de la tradition artistique
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Image DOGON
FALGAYRETTES-LEVEAU Christiane, ROUSSIN Michel, DIETERLEN Germaine, PAUDRAT Jean-Louis, BOUJU Jacky, LAUDE Jean, LEVEAU Michel
 
DOGON
 
Détails sur le produit:
Broché: 286 pages - Editeur: Dapper (31 janvier 2002) - Langue: Français 
ISBN-10: 2906067296 - ISBN-13: 978-2906067295
 
Descrizione libro: Musee Dapper Paris, 2002. 319x233mm. 286 pp. 164 ills, 114 in colour. Maps. Biblio. French text. Hardback, fine in fine dustwrapper. Catalogue accompanying a major exhibition of Dogon art. With essays by various scholars on Dogon culture and mythology, and studies of the sculptures from anthropological and aesthetic perspectives. Includes radiocarbon dating of some sculptures, with surprisingly early results."Grâce à son ample iconographie, le présent ouvrage montre combien les arts dits Dogon et plus particulièrement la statuaire, couvrent des productions plastiques
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Image Scultura negra - A cura di Ezio Bassani e Jean-Louis Paudrat
EINSTEIN Carl
Scultura negra - A cura di Ezio Bassani e Jean-Louis Paudrat
 
 
Editore: Abscondita Milano - Einstein Carl: Scultura negra, Milano 2009. A cura di E. Bassani, J. L. Paudrat; traduzione: Carlo Ludovico Ragghianti - brossura, pp. 166. (Carte d'artisti. 110) - ISBN: 978-88-8416-201-4 
"A nessuna arte l'europeo si accosta con altrettanta diffidenza come all'arte africana. La sua prima reazione è di negare che si tratti di arte, ed egli mostra la distanza che separa le creazioni dell'arte negra dal quadro mentale europeo con un disprezzo che non manca di formarsi una terminologia negativa. Tale distanza e i pregiudizi che ne derivano rendono difficile ogni giudizio estetico, anzi lo rendono impossibile, in quanto un tale giudizio presuppone in primo luogo un processo di avvicinamento. Il negro peraltro è considerato a priori come un essere inferiore che va trattato senza riguardi, e ciò che esso propone è condannato immediatamente come manchevole. Per giudicarlo si è ricorsi sommariamente a ipotesi evoluzioniste assolutamente vaghe. Alcuni se ne servivano per esemplificare un falso concetto di primitività, altri rivestivano quest'oggetto senza difesa con frasi false, parlavano di popoli venuti dalla profondità dei tempi, e cose simili. Si sperava di rintracciare nell'africano una testimonianza delle origini, di uno stato che non si era mai evoluto. La maggior parte delle opinioni espresse sugli africani si fonda su tali pregiudizi formulati per giustificare una comoda teoria. Nei suoi giudizi sui negri l'europeo rivendica un postulato, ossia quello di una sua superiorità assoluta, del tutto
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Image Fragments du vivant: Sculptures africaines dans la collection Durand-Dessert
DURAND-DESSERT Liliane et Michel, PAUDRAT Jean-Louis
 
Fragments du vivant: Sculptures africaines dans la collection Durand-Dessert
 
 
 
Relié: 328 pages - 260 col. ill., cm 24x28,5 - 
Editeur: 5 Continents Editions, 2008. Couverture rigide. (9 septembre 2008) 
Collection: ARTS 1ERS - Parigi, 10 Settembre - 14 settembre 2008
Fotografie di Hughes Dubois. 
Langue: Français 
ISBN-10: 8874394985 - ISBN-13:
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Image Passione d'Africa
COSSA Egidio - PAUDRAT Jean-Louis 
a cura di Chantal Dandrieu e Fabrizio Giovagnoni
 
Passione d'Africa:  l'arte africana nelle collezioni italiane
 
Détails sur le produit:
 
Editore: OFFICINA LIBRARIA SRL
Pubblicazione: 10/2009
Rilegato - Pagine: 240
 COSSA Egidio - PAUDRAT Jean-Louis - a cura di Chantal Dandrieu e Fabrizio Giovagnoni:
Passione d'Africa:  l'arte africana nelle collezioni italiane
Présentation de l'éditeur   -   Biographie de l'auteur
 
 
 
 
 
Descriptions du produit:
 
 
Présentation de l'éditeur
 
 
Passione d’Africa traccia la storia del collezionismo di arte dell’Africa subsahariana in Italia – o di italiani residenti all’estero – a partire dagli anni cinquanta fino ai nostri giorni. Il volume, con una introduzione di Egidio Cossa, riproduce oltre 130 capolavori, selezionati per il loro valore estetico e perché illustrano le tappe di questa vicenda collezionistica.
Il libro vuole restituire una fotografia oggettiva, senza partiti presi o pretese di esclusività, del collezionismo d’arte africana in Italia. Lo fa con l’ampio saggio di Jean-Louis Paudrat e con la completissima crono-bibliografia dello stesso studioso che elenca oltre cinquant’anni di pubblicazioni, mostre, convegni ed aste di arte africana in Italia. Da questa ricognizione emerge una nuova immagine del collezionismo d’arte africana in Italia, a torto ritenuto un ‘parente
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Resonnances mythique dans la statuaire du pays Dogon

D’après DOGON, Jean-Louis Paudrat

 

Dans l’inventaire de la culture matérielle dogon, l’un de ses articles les plus modestes : un déméloir de tresses capillaire en bois dur, adapté à sa fonction, qui est de pénétrer le réseau serré des mècjes. Cet objet usuel s’effile à partir d’une poignée légèrement renflée. Humble décor, quelques incisions en zig zag, et l’ajout de trois brins, d’aluminium, or les définitions traditionnelles de cet instrument sont ainsi formulées : « le témoignage de la création du monde par Amma. « ou bien encore « le doigt d’Amma créant le monde et le montrant « .

La partie qui s’ajuste à la paume est marquée par quatre nervures, les quatre clavicules du démiurge, fermées et prêtes à s’ouvrir, le motif à chevrons champlevés est dit extension des clavicules d’Amma, les trois torsades métalliques blanches comme « l’eau qui enserre les terres » se détachent sur le fond noir comme « les nuages de pluie « . ainsi en réduction ce simple ustensile, constitue t il le modèle de la genèse de l’univers : de l’œuf initial à son ouverture et à la superposition des ciels et des terres.

Geneviève Calame-Griaule, qui rapporte cette interprétation, dans une étude admirable de l’expression orale de l’être au monde Dogon, aura conçu à l’instar de ses pairs , Marcel Griaule, Germaine Dieterlen, Michel Leiris, Denise Paulme, Dominique Zahan et d’autres – la production symbolique propre

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Image Le pays et la culture Dogon

Le pays et la culture Dogon

D’après Jean-Louis Paudrat

 

Situé dans la partie orientale du Mali, et mordant sur le nord ouest du Burkina Faso, le pays Dogon constitue un vaste territoire dont les frontières s’étendent sur près de mille kilomètres. A l’ouest en deça de la plaine alluviale, dépendant du complexe fluvial Niger-Bani, se déploie sur quelques quatre vingt kilomètres un plateau de grés primaire, que l’érosion éolienne a transformé en un paysage souvent chaotique particulièrement aride en saison sèche, lorsque entre février et juin souffle l’harmattan et que la température s’élève à 45°C.

Les nombreuses fractures de la roches quelques fois profondes ont permis néanmoins l’aménagement sur le fond schisteux des crevasses de surface cultivables, irriguées par l’infiltration à travers le grés de l’eau des rivières, qui courent temporairement en surface. Cette région du plateau s’interrompt en surplomb de la plaine Seno-Gondo, par une falaise escarpée, longue de deux cent soixante kilomètres environ orientée vers le nord est jusqu'à Doucentza puis vers l’est jusqu’à Hombori. Entaillée de failles horizontales, criblées d’une multitude de niches et de grottes, à certains endroits rompues par le départ, de hauts couloirs qui pénètrent le plateau sa paroi, se dresse au dessus, d’une masse d’éboulis, rocheux. Sur ces derniers parfois à l’abri d’auvents ou de plates formes, saillantes sont juchées greniers et sanctuaires habitations et jardinets en terrasse. Entre le pied encombré

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Image Jacques Kerchache _ Carrière

JACQUES KERCHACHE

Biographie

Jacques Kerchache est né le 6 août 1942 à Rouen.

Marié à Anne Diagne, il était père de deux filles, Maya et Deborah.

Il a effectué de nombreux voyages d’études entre 1959 et 1980 en Afrique, en Asie, en Amérique et en Océanie à

l’occasion desquels il a dressé un inventaire critique des grandes collections de sculptures.

En 1960, il ouvre une galerie rue des Beaux-Arts à Paris puis une autre rue de Seine qui fermera en 1981. Il y expose

aussi bien des artistes contemporains (Malaval, Pol Bury, Sam Szafran…) que de “ l’art primitif ” :

Art primitif-Amérique du Nord (1965),

Fleuve Sépik - Nouvelle-Guinée (1967), Les Lobi See the continuation... ]



 

L’art indigène des colonies françaises _ Pavillon de Marsan (Louvre, Paris) 1923

 

Stéphane Chauvet et l’exposition du pavillon de Marsan

 

Stéphane Chauvet est né le 27 Novembre 1885, à Béthune dans le Pas de Calais, il était normand d’origine, riche d’une magnifique hérédité scientifique et intellectuelle. Son père inventa la lampe à arc et le treuil Chauvet qui révolutionna les conditions d’exploitation des mines.

Entraîné dans ce courant très jeune, Stephen Chauvet manifesta une vivacité d’intelligence dont on rencontre peu d’exemples. Lauréat au concours général, bachelier de philosophie à 15 ans, le naturaliste Mangin, directeur du Museum, frappé par ses dons d’observation l’arrache à la préparation de polytechnique pour l’orienter vers la médceine et les sciences naturelles. Depuis le jour où après la guerre 14-18 il obtint de la veuve du commandant Bertrand revenant de >Zinder une petite statuette féminine du Soudan et un masque double, Chauvet fut touché par la grâce de l’art nègre et par le démon de la collection.

De 1920 à 1935 quinze années durant il sera un des plus surts animateurs de ce mouvement qui oriente l’opinion publique vers les arts indigènes et en particulier

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Texte de présentation extrait de l'ouvrage:
J. Kerchache, J-L. Paudrat, L. Stephan, L'Art Africain Jacques Kerchache, Citadelles, 1988

Sans méthode préalable, la passion de l'Afrique m'a propulsé au cœur du Gabon, m'a porté du Congo en Guinée équatoriale, de la Côte-d'Ivoire au Libéria, m'a conduit du Burkina Faso au Mali, de l'Éthiopie au Bénin, du Nigeria au Cameroun et de la Tanzanie au Zaïre. De ces expériences parfois difficiles, physiques certes, mais surtout intellectuelles et spirituelles, de ma participation à certaines cérémonies et à diverses manipulations d'objets, de mon immersion temporaire mais effective dans les cultes de l'ancienne Côte des Esclaves, je ne puis restituer aujourd'hui que des sensations, des impressions et je me garderai de toute affirmation.

Cependant, devant la sculpture africaine, il faut cesser d'avoir peur d'être profane et se laisser envahir par elle ; il faut s'en approcher, la fréquenter, se l'approprier, l'aimer. Lui offrir son temps, lui ouvrir sa sexualité, ses rêves, lui livrer sa mort, ses inhibitions, redécouvrir autre chose en soi. Sans lâcheté, ne pas hésiter à désacraliser, sans les rejeter, ses sources culturelles. Ne plus avoir cette taie sur l'œil et se laisser aller à la jouissance, se laisser gagner par la magie.

Même si nous ne pouvons contempler cette sculpture que par fragments, ceux-ci
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African art

African art constitutes one of the most diverse legacies on earth. Though many casual observers tend to generalize "traditional" African art, the continent is full of peoples, societies, and civilizations, each with a unique visual special culture. The definition also includes the art of the African Diasporas, such as the art of African Americans. Despite this diversity, there are some unifying artistic themes when considering the totality of the visual culture from the continent of Africa.

    * Emphasis on the human figure: The human figure has always been a the primary subject matter for most African art, and this emphasis even influenced certain European traditions. For example in the fifteenth century Portugal traded with the Sapi culture near the Ivory Coast in West Africa, who created elaborate ivory saltcellars that were hybrids of African and European designs, most notably in the addition of the human figure (the human figure typically did not appear in Portuguese saltcellars). The human figure may symbolize the living or the dead, may reference chiefs, dancers, or various trades such as drummers or hunters, or even may be an anthropomorphic representation of a god or have other votive function. Another common theme is the inter-morphosis of human and animal.

Yoruba bronze head sculpture, Ife, Nigeria c. 12th century A.D.

    * Visual abstraction: African artworks tend to favor visual abstraction over naturalistic representation. This is because many African artworks generalize stylistic norms. Ancient Egyptian art, also usually thought of as naturalistically depictive, makes use of highly abstracted and regimented visual canons, especially in painting, as well as the use of different colors to represent the qualities and characteristics of an individual being depicted.

    * Emphasis on sculpture: African artists
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sculptures. Afrique, Asie, Océanie, Amériques

coédition musée du quai Branly et réunion des musées nationaux prix : 51,83 €référence : EK193771

Ouvrage collectif sous la direction de Jacques Kerchache, préfacé par le Président de la République. L'introduction est signée Jacques Kerchache. 

Quatre essais situent ces œuvres dans leur contexte historique et culturel.
Une cinquantaine d'auteurs, spécialistes, historiens, conservateurs, universitaires, chercheurs du monde entier se sont partagé l'analyse des cent treize chefs-d'œuvre présentés au musée du Louvre.

 

sommaire du catalogue

  • au regard des œuvres par Jacques Kerchache, conseiller scientifique au musée du quai Branly
  • les classiques de la sculpture africaine au Palais du Louvre par Jean-Louis Paudrat, maître de conférence à l'université de Paris I.
  • objets du Pacifique dans les collections publiques françaises par Sylviane Jacquemin
  • les objets nord-amérindiens dans les collections françaises par Marie Mauzé, docteur en anthropologie à l'Ecole des hautes études en sciences sociales
  • objets des Amériques, reflets du Nouveau monde par Pascal Mongne, historien d'art

23 x 30 cm ; 472 pages ; 300

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Jacques Kerchache


Vie des objets de surface

Les objets rituels, masques, statues, mobilier, utilisés en surf ace, jouent dans la société africaine traditionnelle, m rôle bien plus important que les objets funéraires, destinés à'être enterrés. Il faut leur adjoindre une petite quantité de pièces au double emploi (parures, mobilier sacré) qui accompagnent le mort dans sa tombe, comme à Igbo-Ukwu au Nigeria, ou certains objets funéraires trouvés fortuitement et réutilisés en surface, comme chez les Kissi en Guinée, ceux de la culture nok ou de celle d'Owo au Nigeria.

En Afrique, les esprits sont partout présents. Un homme devient souvent plus important après sa mort que pendant sa vie. Les signes de surface fonctionnent par ensembles et sous-ensembles, dans un rapport étroit entre le rôle qu'ils jouent et celui de leurs manipulateurs ; il existe des objets collectifs (souvent les masques), semi-collectifs (de nouveau les masques et une petite partie de la statuaire) et ceux -particulièrement des statuettes- réservés aux sages, mémoire vivante de la communauté. Ceux-ci réactualisent continuellement les objets dans les relations qu'ils entretiennent avec le monde extérieur (événements historiques, contacts avec l'islam, le christianisme, migrations, guerres, alliances) et le monde intérieur (esprits, mort, rêves). Autour

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Martine Pinard
Ecole du Louvre
Spécialité Arts de l'Afrique
Janvier 2008

" L'Art nègre ? Connais pas  " ! Picasso, 1920

I. Préambule

Au début du XXème siècle et plus précisément vers les années 1905-1907, des peintres commencèrent à collectionner des sculptures d'Afrique et d'Océanie. Qui sont ces collectionneurs de ce qu'on a appelé l' " art nègre " (terme qu'il faudra définir) ; comment, dans quel contexte, ont eu lieu les premières acquisitions ?
Cette première question en induit naturellement une autre : s'il y eut un engouement de prime abord (semble-t-il) " artistique ", qui étaient les premiers collectionneurs-marchands, nécessairement devaient être présents dans le circuit de ces acquisitions ?
Enfin, de manière plus générale, le dossier soulève en toile de fond, la question du changement de regard pour l'art africain et plus généralement l'art des " Autres " sous l'angle de l'impact de cet engouement du début du XX ème siècle. Peut-on esquisser une " trajectoire "
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David Norden
http://users.telenet.be/african-shop/kerchache.htm

In a crucial moment for the world of Tribal Arts, Ana &Antonio Casanovas from Arte y Ritual and Alain Bovis Gallery present two consecutive exhibitions in Paris with a selection of masterworks from the Kerchache collection:

1.”HOMMAGE” June 16-July 22 2006
2. “NIGERIA” September 13th –October 20th 2006

“HOMAGE TO JACQUES KERCHACHE”

WHY?

The Quai Branly

We want to pay an HOMAGE to Jacques Kerchache and , in his name, give support to an important historical event : the opening of the Quai Branly,one of the most important museums in the world dedicated entirely to “les Arts Premiers”. Jacques was first appointed to asses the selection of art works for the “Pavillion des Sessions” in the Louvre Museum which was conceived as an antennae of the Quai Branly.He had a crucial role in the creation of this innovative museum and was an important member of the Acquisition Committee.

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Art primitif, Art premier, Art africain, African Art Gallery, Tribal Art Gallery
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