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GALERIE ART PREMIER AFRICAIN GALERIE ART PRIMITIF AFRICAIN AFRICAN ART GALLERY

Art Gallery the Eye and the Hand
Result of the research Result of the research : 'privées'

 

Maitre de BULI ( Maitre de Katéba)

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POL P. GOSSIAUX 
 
Professeur d’Histoire et Ethno-sémiologie 
des arts africains à l’Université de Liège. 
 
 
 
Les Maîtres de Buli 
 
Esthétique et Ethno-histoire (avec deux inédits) 
 
 
 
En 1937, le hasard d'une exposition1 mit en présence deux sièges à 
cariatide « royaux »2 d'origine Luba (Zaïre) qui offraient entre eux de 
frappantes similitudes, tout en présentant d'étroites analogies avec la 
célèbre porteuse de coupe agenouillée, conservée au Musée de Tervuren3. 
Tout en entrant incontestablement dans l'orbe de la grande statuaire des 
Baluba (plus précisément du groupe des Bahemba-Bakunda), ces œuvres 
s'écartaient à tel point des canons esthétiques fondamentaux de ce peuple 
que l'organisateur de l'exposition, Fr. M. Olbrechts, acquit la conviction 
qu'elles étaient de la main
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Expositions Rentrée 2013 (Septembre – Octobre) parcours des mondes

Exposition Rentrée 2013 (Septembre – Octobre)

Exceptionnelle exposition consacrée à l'art Luba. Ce peuple situé à l'est de la
République Démocratique du Congo, au Sud de la région des grands Lacs. Selon
la tradition orale, le royaume fondé à la fin du XVIème siècle par le roi Nkongolo et
n'à cessé de s'agrandir jusqu'à son démantèlement à le fin du XIXème siècle et à
l'arrivée des colons et missionnaires Belges.
 
Sera présenté au public un ensemble composé d'une vingtaine de pièces d'intérêts
artistiques et culturels majeurs- statues, Kabuelulu (calebasses surmontées de
statuettes), peigne, hache sculptée...
L'exposition comporte deux grandes parties: La première consacrée à la statuaire
de cette région et la seconde aux objets rituels qui prennent une place importante au
sein de la société Luba.
 
Cette exposition s'interrogera aussi sur le rôle de la femme dans la société Luba.
Très souvent représentée dans son rôle de mère dans la statuaire ou se tenant
les seins en signe de fertilité, elle est aussi
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Art Gallery l'Oeil et la Main présente du 9 janvier au 23 mai 2013, une exposition consacrée aux arts du Nigeria. Figure dans les objets exposés un très beau masque représentant un buffle caractérisique de la production plastique du peuple Mama   situé dans la région du centre du Nigeria.
 

Le Nigeria est composé d'une mosaïque de peuples de différentes origines ethniques. Les créations artstiques de ce pays sont d'une grande originalité et diversité. Cette région d'Afrique a longtemps été délaissée par les collectionneurs au profit de foyers de productions connus et prisés depuis de longues années, comme le Gabon ou la Côte d'Ivoire. Mais depuis quelques années, les connaissances sur ces productions plastiques ont lorgement progressées et des Musées ont organisés des expositions les mettant à l'honneur dont la dernière en date eut lieu au Musée du quai Branly sur la vallée de la Benoué. De grandes collections privées ont commencées à inclures des oeuvres provenant des cultures Igbo, Mumuye, Igala, Idoma, Jukun...Lors de cette exposition thématique, il est possible de venir admirer quelques chefs d'oeuvres de ces peuples dont notemment une exeptionnel masque heaume Igala servant lors des cermémonies funéraires des chefs de tribu.

L'exposition comporte
une vingtaine de pièces

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Pol P. Gossiaux
 
Professeur d’Histoire et Ethno-sémiologie
des arts africains à l’Université de Liège.
 
 
 
Les Maîtres de Buli
 
Esthétique et Ethno-histoire  (avec deux inédits)
 
 
 
En 1937, le hasard d'une exposition1 mit en présence deux sièges à cariatide « royaux »2 d'origine Luba (Zaïre) qui offraient entre eux de frappantes similitudes, tout en présentant d'étroites analogies avec la célèbre porteuse de coupe agenouillée, conservée au Musée de Tervuren3. Tout en entrant incontestablement dans l'orbe de la grande statuaire des Baluba (plus précisément du groupe des Bahemba-Bakunda), ces œuvres s'écartaient à tel point des canons esthétiques fondamentaux de ce peuple que l'organisateur de l'exposition, Fr. M. Olbrechts, acquit la conviction qu'elles étaient de la main d'un artiste unique dont le génie, profondément original, n'avait su se plier aux normes esthétiques imposées par la Tradition. « Pour la première fois, note M. Leiris, l'idée de l'individualité d'un sculpteur africain (était) mise en avant »4.
 
La porteuse de coupe de Tervuren, longtemps surnommée « Kabila la mendiante »5, avait par son originalité plastique et le profond mystère qu'elle semble receler intrigué de nombreux esthètes, des cubistes (C. Einstein) aux surréalistes (Ph. Soupault). Mais l'on attribuait volontiers ce
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Image Bundu: Masques et statues des Collections Privees -  Volume 4
 
GOTTSCHALK Burkhard
 
 - L'art du Continent noir Afrique -
 
Bundu: Masques et statues des Collections Privees -  Volume 4
 
 
 
Détails sur le produit:
 
Africa Incognita, Dusseldorf, 2011. Softcover. 20x21 cm. - 216 pages. Numerous color and a few black & white photographs. Text in
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Image Senoufo: Tresors inconnus des Collections Privees -  Volume 3
GOTTSCHALK Burkhard
 
 - L'art du Continent noir Afrique -
 
Senoufo: Tresors inconnus des Collections Privees -  Volume 3
 
 
 
Détails sur le produit:
 
Africa Incognita, Dusseldorf, 2009. Softcover. 20x21 cm. - 228 pages. Numerous color and a few black & white photographs. Text in
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Image Temoins de la maitrise des sculpteurs africains dans les collections  Privees -  Volume 2
 
GOTTSCHALK Burkhard
 
 - L'art du Continent noir Afrique -
 
Temoins de la maitrise des sculpteurs africains dans les collections 
Privees -  Volume 2
 
 
Détails sur le produit:
 
Africa Incognita, Dusseldorf, 2007. Softcover. 20x21 cm. - 240 pages. Numerous color and black & white photographs. Text in
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Image Parures de tête: hairstyles and headdresses
FALGAYRETTES-LEVEAU Christiane, HAHNER Iris
 
Parures de tête: hairstyles and headdresses
 
Détails sur le produit:
 
Reliée: 272 pages - Editeur: Dapper (15 septembre 2003) - Collection: Beaux-Arts 
Langue: Français - ISBN-10: 2-906067-94-6 - ISBN-13: 978-2906067943
FALGAYRETTES-LEVEAU Christiane, HAHNER Iris: 
Parures de tête: hairstyles and headdresses
Descriptions du produit: Présentation de l'éditeur
 
 
 
 
 
Descriptions du produit:
 
 
 
Présentation de l'éditeur
 
 
L'art d'arranger la chevelure, de l'orner, magnifie la tête des hommes et des femmes qui ont créé, en Afrique, des coiffures incomparables. Pharaons, prêtres de l'Égypte ancienne, nomades du Soudan, rois et devins des grandes civilisations bantoues, porte-paroles des divinités yoruba ou initiés des puissantes confréries du Centre ou de l'Ouest de l'Afrique, tous se distinguent par leurs parures de tête. « Lieux de mémoire », tes coiffures ont été transposées par les sculpteurs sur les statues et sur les masques. Émanant du fonds Dapper, de grands musées et de collections privées, la centaine d'oeuvres sélectionnées révèle t'étonnante diversité des parures de tête, coiffes et coiffures, et des accessoires qui les accompagnent. 
Spectaculaires assemblages en cimier, à panier, à
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Image Ibeji: Le culte des jumeaux Yoruba
CHEMECHE George, John Pemberton III - John Picton - Lamidi O. Fakeye
 
Ibeji: Le culte des jumeaux Yoruba
 
 
Détails sur le produit:
Relié: 335 pages - Editeur: Cinq Continents (1 octobre 2003) 
Langue: Français - ISBN-10: 887439084X - ISBN-13: 978-8874390847
CHEMECHE George - John Pemberton III - John Picton - Lamidi O. Fakeye - Ibeji: Le culte des jumeaux Yoruba 
Descriptions du produit
 
 
 
 
 
Descriptions du produit:
 
 
Quatrième de couverture
Dans le cadre de leurs études menées sur l'art Yoruba, nombre de chercheurs ont souligné l'importance accordée à la représentation de la gémellité ire ibeji. La diversité des statuettes exécutées dans les limites relativement étroites de cette forme d'art est tout simplement extraordinaire. A travers les milliers de figures ibeji découvertes dans le pays Yoruba, se dessinent les nombreuses personnalités qui ont choisi de traiter ce même sujet. 
Dans l'histoire de la sculpture figurative africaine, les artistes Yoruba se distinguent par leur production importante et par la grande variété des objets utilisés à des fins domestiques et rituelles: portes et piliers de véranda, représentations des nombreuses divinités (prisa) du panthéon Yoruba, masques de danse de la fête d'Egungun, ou des rites Gelede et Epa. Lorsque des jumeaux meurent et que les parents souhaitent hongrer leur mémoire, les sculpteurs créent des figurines en bois
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Musées

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Kongo Nail Fetishes from the Chiloango River Area
By Ezio Bassani
 
Originally published in African Arts - April 1977, Volume X, Number 3
In the nineteenth century, ethnologists who collected and catalogued objects of art from Africa were not concerned with 
discovering the names of the artists or even their ethnic identities; usually, broad indications of geographic origins, such as 
"the Lower Congo," "the region of the White Nile," or the "River Uelle" were deemed sufficient identification. In addition, 
because these objects were regarded merely as documents of a mode of life inferior to that of Western societies, no effort 
was made to categorize them stylistically. Although during the first ten years of this century, French and German artists 
revealed the artistic independence and importance of African sculpture, scholars persisted in considering the works of 
African carvers as popular,
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( auction african art, african art sell, art african sell, sell african mask, art primitif sell, art tribal sell, art tribal auction, sell primitive art mask, Auction )
From Wikipedia, the free encyclopedia
 
"Auctioneer" redirects here. For the DC Comics supervillain, see Auctioneer (comics).
 
An auctioneer and her assistants scan the crowd for bidders.An auction is a process of buying and selling goods or services by offering them up for bid, taking bids, and then selling the item to the highest bidder. In economic theory, an auction may refer to any mechanism or set of trading rules for exchange.

There are several variations on the basic auction form, including time limits, minimum or maximum limits on bid prices, and special rules for determining the winning bidder(s) and sale price(s). Participants in an auction may or may not know the identities or actions of other participants. Depending on the auction, bidders may participate in person or remotely through a variety of means, including telephone and the internet. The seller usually pays a commission to the auctioneer or auction company based on a percentage of the final sale price.

 History of the auction
 
Artemis, Ancient Greek marble sculpture. In 2007, a Roman-era bronze sculpture of "Artemis and the Stag" was sold at Sotheby's in New York for US$28.6 million, by far exceeding its estimates and setting the new record as the most expensive sculpture as well as work from antiquity ever sold at auction.
An 18th century Chinese meiping porcelain vase. Porcelain has long been a staple at art sales. In 2005, a 14th century Chinese porcelain piece was

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Enchères et émotions
AuteurRolande Bonnain-Dulon du même auteur

École des hautes études en sciences sociales
EHESS
Centre de recherches historiques
54, bd Raspail
75006 Paris

Au-delà de leur public bien sûr, les ventes aux enchères passionnent les sociologues et les ethnologues et ce, à juste titre [Matras-Guin, 1987 ; Quémin, 1993 ; Rémy 1990]. Grâce à eux, on a compris pourquoi cette pratique sociale qui mêle l’économique au symbolique, le rationnel aux émotions, l’individuel à une certaine forme de collectif attire tant de gens qui vont là comme au spectacle, par curiosité, sans avoir toujours l’intention de participer aux enchères. Ces chercheurs nous ont également montré le rôle que ces lieux ont joué sur la constitution des communautés diffuses et temporaires, la mise en place de rituels profanes, le vécu de la concurrence, le rapport aux objets, le métier de commissaire-priseur.
2 Avec cet article, nous visons à montrer la forte incidence du lieu et les effets de sa représentation sur l’existence, les pratiques et les particularités d’un certain monde[1] [1] On utilise ici le terme « monde » dans le sens que lui...
suite, celui des collectionneurs d’arts premiers[2] [2] L’expression « arts premiers » désigne ici, sans...
suite dont les objets acquièrent lentement le statut d’art classé, en particulier en ces temps où le Louvre les accueille.
3 Aujourd’hui, les anciennes puissances coloniales ne se livrant plus à des guerres de conquête, une pièce classée dans les arts premiers n’a guère

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le commissaire priseur :
est un officier ministériel dépendant du garde des sceaux. la compagnie parisienne regroupe une centaine de commissaire priseur judiciaires, dont les neuf dixièmes exrçent également dans des ventes volontaires.
le commissaire-priseur met en vente des objets d’art, des antiquités ou des articles provenant de successions ou de saisies chez des particuliers ou des entreprises. Il existe deux statuts de commissaires-priseurs selon qu’ils s’occupent de ventes volontaires ou judiciaires.
Le métier de Commissaire priseur
© Photo : Jacques Palut - Fotolia
Description des tâches / conditions de travail

Désormais, les ventes volontaires aux enchères publiques doivent être organisées et réalisées par des commissaires-priseurs exerçant au sein de sociétés commerciales. Dans ce cas, la vente est réalisée à la demande d’un particulier. Le commissaire-priseur bien qu’exerçant dans une société commerciale ne pratique pas le commerce : il n’achète pas pour revendre, il revend pour le compte d’un client : c’est un acte civil.

Le commissaire-priseur, en tant officier ministériel, est le seul habilité à diriger des ventes judiciaires, c’est-à-dire d’objets saisis lors de faillites ou de redressements judiciaires.

Le commissaire-priseur procède aussi à l’expertise des meubles, bibelots ou des marchandises et des matériels mis en vente. Les ventes effectuées par les commissaires-priseurs concernent donc toutes sortes de biens hormis les biens immobiliers.
Grande connaissance de l’art, bon contact avec le public et sens de la mise en scène sont des qualités requises pour devenir un bon
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LES GRANDES EXPOSITIONS COLONIALES :

Les expositions coloniales furent organisées au XIXe siècle et dans la première moitié du XXe siècle dans les pays européens. Elles avaient pour but de montrer aux habitants de la Métropole les différentes facettes des colonies.
Les expositions coloniales donnaient lieu à des reconstitutions spectaculaires des environnements naturels et des monuments d'Afrique, d'Asie ou d'Océanie.
La mise en situation d'habitants des colonies, souvent déplacés de force, les fera qualifier dans les années 2000 de zoos humains.


La France compte alors 41,8 millions d'habitants et son Empire colonial, second derrière celui du Royaume-Uni, 67 823 000 personnes pour une superficie de 12 356 637 km².

1866 : Exposition Intercoloniale de Melbourne (Intercolonial Exhibition of Australasia)
1870 : Exposition Intercoloniale de Sydney (Intercolonial Exhibition)
1875 : Exposition Intercoloniale de Melbourne (Victorian Intercolonial Exhibition)
1876 : Exposition Intercoloniale de Brisbane (Intercolonial Exhibition)
1883 : Exposition Internationale et Coloniale d'Amsterdam (Internationale Koloniale en Untvoerhandel Tentoonsellung)
1886 : Exposition Coloniale et Indienne de Londres (Colonial and Indian Exhibition)
1894 : Exposition Internationale et Coloniale de Lyon. Elle vit l'assassinat du président de la République Sadi Carnot.
1894 : Exposition Insulaire et Coloniale de Porto (Exposição Insular e Colonial Portuguesa)
1898 : Exposition internationale et coloniale de Rochefort-sur-Mer
1902 : Indo China Exposition Française et Internationale de Hanoï
1902 :

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LES GRANDES EXPOSITIONS COLONIALES :

Les expositions coloniales furent organisées au XIXe siècle et dans la première moitié du XXe siècle dans les pays européens. Elles avaient pour but de montrer aux habitants de la Métropole les différentes facettes des colonies.
Les expositions coloniales donnaient lieu à des reconstitutions spectaculaires des environnements naturels et des monuments d'Afrique, d'Asie ou d'Océanie.
La mise en situation d'habitants des colonies, souvent déplacés de force, les fera qualifier dans les années 2000 de zoos humains.


La France compte alors 41,8 millions d'habitants et son Empire colonial, second derrière celui du Royaume-Uni, 67 823 000 personnes pour une superficie de 12 356 637 km².

1866 : Exposition Intercoloniale de Melbourne (Intercolonial Exhibition of Australasia)
1870 : Exposition Intercoloniale de Sydney (Intercolonial Exhibition)
1875 : Exposition Intercoloniale de Melbourne (Victorian Intercolonial Exhibition)
1876 : Exposition Intercoloniale de Brisbane (Intercolonial Exhibition)
1883 : Exposition Internationale et Coloniale d'Amsterdam (Internationale Koloniale en Untvoerhandel Tentoonsellung)
1886 : Exposition Coloniale et Indienne de Londres (Colonial and Indian Exhibition)
1894 : Exposition Internationale et Coloniale de Lyon. Elle vit l'assassinat du président de la République Sadi Carnot.
1894 : Exposition Insulaire et Coloniale de Porto (Exposição Insular e Colonial Portuguesa)
1898 : Exposition internationale et coloniale de Rochefort-sur-Mer
1902 : Indo China Exposition Française et Internationale de Hanoï
1902 : Exposition Internationale et Coloniale des Etats-Unis de New York (United

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Cabinet of curiosities
 
"Musei Wormiani Historia", the frontispiece from the Museum Wormianum depicting Ole Worm's cabinet of curiosities.A Cabinet of curiosities was an encyclopedic collection in Renaissance Europe of types of objects whose categorical boundaries were yet to be defined. Modern terminology would categorize the objects included as belonging to natural history (sometimes faked), geology, ethnography, archaeology, religious or historical relics, works of art (including cabinet paintings) and antiquities. "The Kunstkammer was regarded as a microcosm or theater of the world, and a memory theater. The Kunstkammer conveyed symbolically the patron's control of the world through its indoor, microscopic reproduction." Of Charles I of England's collection, Peter Thomas has succinctly stated, "The Kunstkabinett itself was a form of propaganda"[2] Besides the most famous, best documented cabinets of rulers and aristocrats, members of the merchant class and early practitioners of science in Europe, formed collections that were precursors to museums. They were also known by various names such as Cabinet of Wonder, and in German Kunstkammer or Wunderkammer (wonder-room).

 History
The term cabinet originally described a room rather than a piece of furniture. The classic style of cabinet of curiosities emerged in the sixteenth century, although more rudimentary collections had existed earlier. The Kunstkammer of Rudolf II, Holy Roman Emperor (ruled 1576-1612), housed in the Hradschin at Prague was unrivalled north of the Alps; it provided a solace and retreat for contemplation that also served to demonstrate his imperial magnificence and power in symbolic arrangement of their display, ceremoniously presented to visiting diplomats and magnates. Rudolf's uncle, Ferdinand II, Archduke of Austria also had a collection, with a special emphasis on paintings of people with interesting deformities, which remains

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Cabinet de curiosités
 
Frontispice de Musei Wormiani Historia montrant l'intérieur du cabinet de curiosités de Worm.
Cabinet d'un particulier, Frans II Francken, 1625, Kunsthistorisches Museum, VienneUn cabinet de curiosités était un lieu où étaient entreposés et exposés des objets collectionnés, avec un certain goût pour l'hétéroclisme et l'inédit. On y trouvait couramment des médailles, des antiquités, des objets d'histoire naturelle (comme des animaux empaillés, des insectes séchés, des coquillages, des squelettes, des carapaces, des herbiers, des fossiles) ou des œuvres d'art.

Apparus à la Renaissance en Europe, les cabinets de curiosités sont l'ancêtre des musées et des muséums. Ils ont joué un rôle fondamental dans l'essor de la science moderne même s'ils gardaient les traces des croyances populaires de l'époque (il n'était pas rare d'y trouver du sang de dragon séché ou des squelettes d'animaux mythiques). L'édition de catalogues qui en faisaient l'inventaire, souvent illustrés, permettaient d'en diffuser le contenu auprès des savants européens.

Le principe du cabinet de curiosités a disparu durant le XIXe siècle, remplacé par des institutions officielles et les collections privées. Celles-ci ont joué encore un grand rôle dans certaines disciplines scientifiques comme l'entomologie ou la conchyliologie.


 Dans la recherche
Le sujet a été étudié par l'historien d'art viennois Julius von

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L'ART DES BAOULES
par Suzanne VOGEL

Les artistes baoulé de Côte d'Ivoire ont créé des objets d'une esthétique quasiment inégalée dans l'art africain traditionnel, que ce soit par leur raffinement, leur diversité, leur profusion et la somme de travail qu'ils représentent. Les masques et les statuettes des Baoulés, ont suscité l'engouement des Occidentaux dès leur découverte et ils sont considérés comme l'une des réussites les plus achevées de l'art africain, c'est pourquoi ces sculptures occupent toujours une place prépondérante dans toute exposition ou étude consacrée à l'Afrique. Pourtant, aussi importante que soit leur renommée en Occident, il n'a jamais été facile pour quiconque de voir les représentations de cet art sur les lieux mêmes de sa création, dans les villages baoulé. L'art baoulé est loin de se limiter aux masques relativement naturalistes et aux figures humaines taillées dans le bois, il comprend également une grande variété d'ouvrages en ivoire, en bronze et en or : de grands masques-heaumes représentant des animaux agressifs ou des figures simiesques, et divers objets offrant des myriades de motifs sculptés: des portes, des chaises et des tabourets, des tam-tams, des cuillères, des bâtons, des peignes, des éventails, des frondes, des bols et des assiettes, des poids, etc. Il faut également mentionner des poteries, des bijoux et des tissus, ornés de petites figures humaines ou animales. De manière paradoxale, dans l'ethnie baoulé, seul un nombre limité d'individus ont eu le privilège, toujours potentiellement dangereux, de pouvoir regarder une œuvre d'art, dans le passé comme dans le présent. Un simple coup

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L'ART DES BAOULES
par Suzanne VOGEL

Les artistes baoulé de Côte d'Ivoire ont créé des objets d'une esthétique quasiment inégalée dans l'art africain traditionnel, que ce soit par leur raffinement, leur diversité, leur profusion et la somme de travail qu'ils représentent. Les masques et les statuettes des Baoulés, ont suscité l'engouement des Occidentaux dès leur découverte et ils sont considérés comme l'une des réussites les plus achevées de l'art africain, c'est pourquoi ces sculptures occupent toujours une place prépondérante dans toute exposition ou étude consacrée à l'Afrique. Pourtant, aussi importante que soit leur renommée en Occident, il n'a jamais été facile pour quiconque de voir les représentations de cet art sur les lieux mêmes de sa création, dans les villages baoulé.
L'art baoulé est loin de se limiter aux masques relativement naturalistes et aux figures humaines taillées dans le bois, il comprend également une grande variété d'ouvrages en ivoire, en bronze et en or : de grands masques-heaumes représentant des animaux agressifs ou des figures simiesques, et divers objets offrant des myriades de motifs sculptés: des portes, des chaises et des tabourets, des tam-tams, des cuillères, des bâtons, des peignes, des éventails, des frondes, des bols et des assiettes, des poids, etc. Il faut également mentionner des poteries, des bijoux et des tissus, ornés de petites figures humaines ou animales.
De manière paradoxale, dans l'ethnie baoulé, seul un nombre limité d'individus ont eu le privilège, toujours potentiellement dangereux, de pouvoir regarder une

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