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GALERIE ART PREMIER AFRICAIN GALERIE ART PRIMITIF AFRICAIN AFRICAN ART GALLERY

Art Gallery the Eye and the Hand
Result of the research Result of the research : 'session'

 

The Authenticity of African Sculptures

by Henri Kamer

The issue of authenticity of African art has been central to collectors for decades.  Henri Kamer, who was president of the International Arts Experts Association at the time, published an outstanding account of the state of the matter in Artes d'Afrique Noire, No. 12 (1974).  The text  that follows is extracted from an English translation of that article, and has been edited further.  The original includes a number of illustrations.  They are not included here because I believe the text suffices without them. 

The original version, including the illustrations, in French and with the English translation, is 

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Pol Pierre Gossiaux
 
Titulaire de la Chaire
d’Anthropologie des systèmes symboliques
et d’Ethnosémiologie de l’Art africain
Université de Liège (Belgium)
 
PP.Gossiaux@ulg.ac.be
 
 
 
 
 
Le Bwame  du Léopard
des
Babembe  (Kivu-Congo)
 
Rituel initiatique et rituel funéraire
 
Avec 52 illustrations
 
 
 
 
 
 
 
          2
     
 
 
 
Table des matières (1ère partie)
 
 
 
 
 
Avant dire. Présentation du Bwamè                                    
 
 
3
Fondements de l’anthropologie
et de l’ethnosémiologie bembe
 
10
Exorciser l’animal
 
Fondements du savoir bembe
 
 
15
Les animaux et la titulature du Bwamè
       
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Image CHOKWE
WASTIAU Boris
CHOKWE
 
Détails sur le produit: Turtleback: 144 pages, cm 16,5x24 - ill b/n, 64 color - Editeur: Five Continents Editions; Édition : 1 (22 juin 2006) - Collection: Visions of Africa Series - Langue: Anglais 
ISBN-10: 8874392931 - ISBN-13: 978-8874392933
 
Descrizione libro: I Chokwe sono una delle più note etnie dell'Angola e della Repubblica Democratica del Congo. Questa monografia ne esamina la scultura a tutto tondo, analizzando le figurette usate nel rito della divinazione, la statuaria collegata ai culti della possessione humba, la statuaria classica antica (del Settecento e dell'Ottocento), definita "della terra natia", i paramenti di corte, privilegio dell'aristocrazia guerriera e le maschere lignee connesse al comando e ai riti iniziatici della circoncisione. Particolare attenzione è dedicata alle preziose effigi di Chibinda Ilunga, l'eroe civilizzatore che compare nei miti delle origini, quasi tutte portate in Europa nell'Ottocento, e alle sedie, il cui simbolismo e funzione sono rivelatori sia della religione sia della struttura gerarchica culminante nella figura del capo. Oltre alle tavole a colori, il testo è illustrato da una quindicina di fotografie, per lo più inedite, provenienti dagli archivi dal Dipartimento di Etnografia del Royal Museum of Central Africa a
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Image African Art in Transit
STEINER B. Christopher
 
African Art in Transit
 
Détails sur le produit:
Broché: 240 pages - Editeur: Cambridge University Press (27 janvier 1994) 
Langue: Anglais - ISBN-10: 0521457521 - ISBN-13: 978-0521457521
STEINER B. Christopher  -  African Art in Transit
Descriptions du produit
 
 
 
 
 
 
 
Descriptions du produit:
 
 
From Publishers Weekly:
In this specialized but illuminating work, Harvard-trained anthropologist Steiner analyzes the assumptions behind the work of native African art traders in Cote d'Ivoire, who serve as the link between African artists and Western collectors. He describes the trading process as not only a complex economic system but one of shifting cross-cultural exchange in which the image of Africa is continually redefined. Steiner classifies the range of sources and art objects available in the trading city of Abidjan, then describes how traders work. He analyzes different forms of bargaining (from careful negotiation with Western dealers to staged performance for tourists). More intriguingly, he argues that Western scholarship has influenced classification of art objects by ethnicity rather than by region, and observes how Africans seek authenticity in things Western, while visitors want symbols of a "primitive" lifestyle--as when he witnesses the barter of a mask for a Seiko watch. In the West, he notes, the practical value of African objects like baskets is ignored, while an obsession with the growing value of African art tends to negate appreciation of its beauty. Photos not seen by PW. 
Copyright 1993 Reed
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Notes succinctes sur les masques kalengula des Luntu et des peuples voisins (R.D.C.)
(première partie)
Constantin PETRIDIS (1) in Arts d'Afrique Noire arts premiers Automne 2000 N° 115
Au sein de la littérature sur les masques de l'Afrique subsaharienne, ce sont surtout les masques en bois sculpté qui ont retenu l'attention des chercheurs. Les publications sur le bassin du Congo n'ont pas fait exception à cette règle. Ainsi, le catalogue d'exposition 'Face of the Spirits', publié en 1993 à l'occasion d'une exposition du même nom à l'Etnografisch Museum d'Anvers, ne montre, sur un total de cent treize masques, que cinq exemplaires en fibres tressées (2). La rareté de ces objets dans les collections occidentales est due, entre autres, au fait que les matières utilisées résistent mal au transport et aux changements climatiques. Il faut sans doute également voir dans cette lacune une explication d'ordre esthétique. En effet, les premiers collectionneurs d'art africain, se laissant guider par des idéaux occidentaux, ne prenaient en considération que des matières jugées nobles telles le bois, les métaux ou l'ivoire. Pourtant, hormis des masques en bois sculpté, plusieurs peuples du bassin du Congo ont produit des couvre-chefs et couvre-visages en fibres et autres matières plus éphémères. Or, bien qu'ils soient occasionnellement mentionnés dans des publications spécialisées, les études approfondies les concernant font aujourd'hui toujours défaut (3).
En vertu de ce constat, il nous a semblé pertinent de nous pencher sur l'étude d'un type de masque nommé kalengula qui, malgré une
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Image L'art africain
KERCHACHE Jacques - PAUDRAT Jean-Louis - STEPHAN Lucien
 
L'art africain. Les principales ethnies de l'art africain par Françoise Stoullig-Marin
 
Détails sur le produit: (ISBN 10: 2-85088-023-X  -   ISSN 0066-7951)
 
Couverture reliée sous jaquette en couleur: 620 pages - Format: 31,5 x 24,5 x 5,6 cm - 821 b/w illustrations and 248 color plates, bibliography, glossary, index. Book bloc loose at the rear.
Editeur: Paris, Citadelles & Mazenod - Data di pubblicazione: 1988
KERCHACHE Jacques - PAUDRAT Jean-Louis - STEPHAN Lucien
Descrizione libro - Présentation de l'éditeur   -   Biographie de l'auteur
 
 
 
 
 
Descriptions du produit:
 
 
 
Descrizione libro
 
Amazon.fr
L'Art africain n'a pas la vocation de donner une vision exhaustive de son sujet. Comme le soulignent d'entrée les auteurs: L'art africain, en effet, semble déjouer toute entreprise de présentation unitaire. Successions d'entités aux contours distincts, cumul des expressions spécifiques à chacune des cultures particulières qui le composent, son tableau n'en restituerait que la somme des disparités. C'est donc avant tout au spectacle de la diversité que se consacre cet ouvrage. Issues d'ethnies et d'aires stylistiques multiples, les cultures africaines n'ont pas développé leur art de la même manière. Si les masques et les statues restent la production la plus emblématique de la tradition artistique
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Image JACQUES KERCHACHE, portraits croisés
BETHENOD Martin (auteur), Collectif (Auteur)
 
JACQUES KERCHACHE, portraits croisés
 
Détails sur le produit:
 
Relié: 199 pages - Editeur : Editions Gallimard (10 avril 2003) - Langue : Français 
ISBN-10: 2070117510 - ISBN-13: 978-2070117512
Présentation de l'éditeur
Présentation de l'éditeur
 
Connaisseur à l'œil réputé infaillible, conseiller des plus grands collectionneurs, militant infatigable de la cause des arts premiers, l'homme qui a fait entrer au pavillon des Sessions du Louvre les œuvres des quatre cinquièmes de l'humanité est mort au Mexique en août 2001. Il s'appelait Jacques Kerchache. A l'occasion du troisième anniversaire de l'ouverture du pavillon des Sessions, le musée du quai Branly et Gallimard publient Jacques Kerchache, portraits croisés. Conçu à partir d'une série d'entretiens avec ses proches, ses amis, les créateurs, les personnalités qu'il a côtoyées (Jean-Jacques Aillagon, Jacques Friedmann, Anne Kerchache, Alain Kirili, Jean-Pierre Lang, Jean de Loisy, Stéphane Martin, Alain de Monbrison, Jean Nouvel, Orlan, Jean-Charles Pigeau, Jean-François Prat, Michel Propper, Paul Rebeyrolle, Sam Szafran, Germain Viatte), cet ouvrage n'est ni une biographie exhaustive ni un essai critique, mais plutôt une invitation à la découverte. Découverte d'un homme, à travers ses expéditions et ses voyages (Afrique, Asie, Amériques), ses combats (anthologie de ses textes manifestes), les expositions qu'il a réalisées ("Les Taïnos",
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Full text, digitalised by Lies Strijker and presented by the .Centre Aequatoria
Notes on the digitalisation and presentation


[Cover]

[1: empty]

[2]
IMPRIMI POTEST
Kanzenze, 12-2-1952
P. Simeon, o.m.f.
Sup. Reg.

IMPRIMATUR
Luabo-Kamina, 30-5-1952
+VICTOR PETRUS KEUPPENS
Vic. Ap. de Lulua


[3]

BANTU PHILOSOPHY
by
The Revd. Father PLACIDE TEMPELS

(Translated into English from "La Philosophie Bantoue" the French Version by Dr. A. Rubbens of Fr. Tempels' original work. The Revd. Colin King, M.A. Translator.)

With a Foreword to the English Edition by Dr Margaret Read, C.B.E.Ph. D.,M.A., formerly Professor of Education and Head of the Department Of Education in Tropical Areas, The

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WHAT IS AFRICAN ART? 

SUPPORT NOTES FOR TEACHER

Learning & Information Department 
Telephone +44 (0)20 7323 8511/8854 
Facsimile +44 (0)20 7323 8855 
education@thebritishmuseum.ac.uk 
Great Russell Street 
London WC1B 3DG 
Switchboard +44 (0)20 7323 8000 
www.thebritishmuseum.ac.uk 
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‘African Vision: The Walt Disney-Tishman African Art Collection’
 
This female figure, made of ivory and standing 37 inches tall, was made in the early Nineteenth Century by Edo peoples in the Benin kingdom court style, and was probably intended for an altar to a queen mother. It is one of the first two objects purchased by Paul and Ruth Tishman in 1959. "Ivory can be almost universally interpreted as a symbol of importance and wealth,” says exhibition curator Bryna Freyer.
WASHINGTON D.C.:Most Americans know little about the vast and diverse continent of Africa, much less the arts created there. Dark and primitive, the arts of the African peoples reflect the rituals of life, stripped to the most basic interpretive forms both conceptually and artistically.
Celebrating the arts of Africa and the profound role that they have played in molding Twentieth Century Abstraction and Modernist art in the "West" is the Smithsonian's newest exhibition, "African Vision: The Walt Disney-Tishman African Art Collection." It is on view through September 7, 2008, at The Smithsonian Institution's National Museum of African Art (NMAA).
 
"African Vision" showcases 88 outstanding artworks, part of a larger collection donated to the NMAA, that represents the largest gift of sculpture in the museum's history.
 
In 1959, Paul and Ruth Tishman began their collection with the purchase of two pieces of art from the Benin kingdom — an early Nineteenth Century ivory female figure standing 37 inches tall, made in the court style by the Edo peoples, and a 28-inch-tall, Eighteenth Century copper alloy mask that was worn by a divine-healer in masquerade
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Tribal Art - Jean-Baptiste BacquaSee the continuation... ]

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Art primitif : prix du désir, prix de l’objet
AuteurRolande Bonnain-Dulon du même auteur
CRH/EHESS
24, bd de Magenta
75010 ParisRolande.Bonnain-Dulon@ehess.fr
« L’art primitif a influencé tout l’art contemporain.
C’est normal qu’il ait un prix. »(Jeune marchand parisien)
 
« Noirs désirs » [Télérama, 26/06/2003], « Bas les masques » [Libération, 1/07/2001], « La ruée vers l’or noir » [Le Figaro, 2/07/2001], « Les sortilèges de l’art africain » [Le Figaro, dossier Patrimoine, 26/10/2001], tous ces titres (et d’autres non moins accrocheurs) ont annoncé et suivi la dispersion aux enchères publiques en juillet 2001, soit un an après sa mort, de la collection d’art primitif d’Hubert Goldet, grand amateur et cofondateur de la revue ArtPress. La vente, qui avait duré deux jours et attiré amateurs, marchands et curieux d’Europe et d’Amérique, avait joui d’un énorme succès : 644 lots proposés et vendus pour la somme de 88,4 millions de francs avec les frais soit 13,5 millions d’euros. Cet événement témoigne, s’il en est encore besoin, que ce domaine de l’art, l’un des derniers découverts par l’Occident, n’est plus confidentiel et déborde le cadre du petit monde des initiés. Depuis son ouverture en avril 2000, le pavillon des
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"Art plays an essential role in the lives of the African people and their communities. It serves a much more vital purpose than merely to beautify the human environment, as art is usually employed in contemporary Western societies.
The beauty of African art is simply an element of its function, for these objects would not be effective if they were not aesthetically pleasing. Its beauty and its content thus combine to make art the vehicle that ensures the survival of traditions, protects the community and the individual, and tells much of the person or persons who use it."
 
Tribal Art is rapidly growing in popularity. An even broader audience has been able to enjoy ‘Tribal Art’ thanks to major exhibitions in recent years in London, Paris, Berlin, Munich and Düsseldorf. 
   At the start of the 20th century, however, Tribal Art was already arousing great excitement among artists and art collectors. At a time when “Negro Art” was still looked upon as the innocent product of primitive peoples, cubists such as Picasso, Braque or Gris were already drawing inspiration from the strikingly new qualities of form; expressionists such as Kirchner, Nolde or Schmidt-Rottluff were captivated by the elementary power of this native art and Gauguin was painting scenes from his travels to countries of the South Pacific. Non-European art greatly influenced the work of these great artists as it continues to influence modern art of the present day. 
   Over the course of the decades, great art lovers such as von der Heydt (Rietberg Museum, Zurich) or Mueller (Barbier-Mueller Museum, Geneva) have established significant art collections, which alongside the “colonial legacy” provide the mainstay of the museums’ inventories all over the world. Today it is artists and art enthusiasts such as Baselitz, Arman or Fritz
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Magasin

Pièce attenante à la salle de vente permettant de remiser les objets déjà présentés et adjugés. Les acheteurs, en possession de leur ticket de retrait remis à l'adjudication, s'y rendent à l'issue de la vente pour y récupérer leurs lots auprès du commissionnaire chargé du

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Enchères et émotions
AuteurRolande Bonnain-Dulon du même auteur

École des hautes études en sciences sociales
EHESS
Centre de recherches historiques
54, bd Raspail
75006 Paris

Au-delà de leur public bien sûr, les ventes aux enchères passionnent les sociologues et les ethnologues et ce, à juste titre [Matras-Guin, 1987 ; Quémin, 1993 ; Rémy 1990]. Grâce à eux, on a compris pourquoi cette pratique sociale qui mêle l’économique au symbolique, le rationnel aux émotions, l’individuel à une certaine forme de collectif attire tant de gens qui vont là comme au spectacle, par curiosité, sans avoir toujours l’intention de participer aux enchères. Ces chercheurs nous ont également montré le rôle que ces lieux ont joué sur la constitution des communautés diffuses et temporaires, la mise en place de rituels profanes, le vécu de la concurrence, le rapport aux objets, le métier de commissaire-priseur.
2 Avec cet article, nous visons à montrer la forte incidence du lieu et les effets de sa représentation sur l’existence, les pratiques et les particularités d’un certain monde[1] [1] On utilise ici le terme « monde » dans le sens que lui...
suite, celui des collectionneurs d’arts premiers[2] [2] L’expression « arts premiers » désigne ici, sans...
suite dont les objets acquièrent lentement le statut d’art classé, en particulier en ces temps où le Louvre les accueille.
3 Aujourd’hui, les anciennes puissances coloniales ne se livrant plus à des guerres de conquête, une pièce classée dans les arts premiers n’a guère

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Image Songye people

Linguistically, the Songye form part of the Luba, world, itself part of the Bantu group. Indeed there is a century old inter relation between the Songye and Luba, and they therefore share many cultural traits. Some art forms are part of this, shared heritage, according to the oral tradition the founding chieftains of the first luba kingdom, were of songye origins, and it is the Songye who introduced the idea of social stratification to the Luba and consequently the first luba chieftains are said to be of Songye Ancestry.

 

ENVIRONMENT

The Songye used to live in a forest environment till the end of the first half of the second millennium. Slowly their habitat became more savannah-like. We can still find traces of this former forest habitat in some of the art they produce. For example the costume worn with the Kifwebe mask must be entirely made from products originating in the forest from such as bark, pelts fibers etc. Today the Songye mainly live in the savannah but pockets of forest remain in their territory.

The Songye occupy a very large area in the north of the southeastern quadrant of the republic democratic of Congo.

Due to the vastness of the songye territory, it is obvious that regional stylistic, iconic and typological, exist in the ritual art produced. Some of these are the result of cross influences with their immediate neighbors.

 

NEIGHBORS

To the North of the Songye territory, live the Sungu, Tetela, the western Kusu. In the northwest we will find a few luba chiefdoms. To the west the Luntu, Luba – kassaï Kete and Binji peoples resides; one can even find pockets of Chokwe people in the southwest of Songye territory. To the south of the Songye we find a variety of luba speacking, polities, the same is true, for eastern frontier where in addition to the eastern kusu, we find Luba, Hemba, Kunda, Lumbu and Buyu people. Judging from their

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Image Rétrospective Arman _ Centre pompidou 2010







La Diagonale du Fou

par Jean-Michel Bouhours,
conservateur au musée national d'art moderne, commissaire de l'exposition Arman



"Je suis placé en fianchetto", répondait Arman à Marcel Duchamp en 1961, à New York. Il tentait par ce subterfuge d'attirer sur lui l'attention du "maître". En utilisant ce langage de joueur d'échecs – qui désigne la place du fou en contrôle de la diagonale –, l'artiste français, signataire du manifeste des nouveaux réalistes en octobre 1960, décrivait sa position sur la carte de la scène artistique française : regardant Paris depuis Nice, il se figurait sur cet axe majeur avec devant lui une perspective quasi infinie.

Arman affectionnait les boîtes, les cases, les territoires prospectifs du jeu d'échec et surtout du jeu de go. Déplaçons-nous, pour aborder Arman, sur les huit cases d'une hypothétique diagonale du fou.



A.1 : Le monde est grand, mais, à l'image du damier, il s'agit de le posséder. Claude Pascal, Yves Klein et Arman se le partagent en 1947, dans une salle de judo du Club de la police de Nice. Klein s'approprie l'espace, signe le bleu du ciel. Arman reçoit en dotation l'objet manufacturé, qui devait devenir progressivement le lieu commun de son oeuvre.

B.2 : Le quantitatif chez Arman met en jeu un principe de répétition d'où surgit la perception d'une différence, si infime soitelle. Arman avait le goût de la collection, amassant tout, depuis les plantes grasses sur le balcon de son appartement niçois jusqu'aux armures japonaises, sans oublier l'art nègre dont il devient un éminent spécialiste. Pour un objet affectionné, Arman était capable de tout : vendre,
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Image Jacques Kerchache _ Carrière

JACQUES KERCHACHE

Biographie

Jacques Kerchache est né le 6 août 1942 à Rouen.

Marié à Anne Diagne, il était père de deux filles, Maya et Deborah.

Il a effectué de nombreux voyages d’études entre 1959 et 1980 en Afrique, en Asie, en Amérique et en Océanie à

l’occasion desquels il a dressé un inventaire critique des grandes collections de sculptures.

En 1960, il ouvre une galerie rue des Beaux-Arts à Paris puis une autre rue de Seine qui fermera en 1981. Il y expose

aussi bien des artistes contemporains (Malaval, Pol Bury, Sam Szafran…) que de “ l’art primitif ” :

Art primitif-Amérique du Nord (1965),

Fleuve Sépik - Nouvelle-Guinée (1967), Les Lobi See the continuation... ]


Image le théâtre malien

Les plus ancien témoignages du théâtre de marionnettes se rencontrent en Inde et remontent à 4000 ans. On les trouve dans des pièces en sanskrit dont le personnage principal s’appelle sudrahada ou le teneur de ficelle. Elle existait en Chine il y a deux mille ans mais aussi dans la Grèce antique où des fouilles ont permis de retrouver de petites marionnettes à tringles en terre cuite qui si l’on se réfère à des textes anciens, étaient les protagonistes de spectacle joués à Athènes sur la scène du théâtre de Dyonisos. De nombreux auteurs latins dont Marc Aurèle, et Apulée font souvent référence aux marionnettes.

De tout temps et dans toutes les cultures les marionnettes ont joué un rôle important tant sur le plan des idées que sur celui de la création artistique. Source d’inspiration pour les uns métaphores pour les autres elles ont inspiré , Byron, Shakespeare , Goethe et Lorca ou encore Bonnard Vuillard Calder et Klee.

Le théâtre de marionnette est pour l’homme, un moyen de surmonter les crises par l’illusion, par leur puissance évocatrice , les personnages qui s’expriment ont le fascinant pouvoir de nous faire évader du monde terrestre pour nous emmener dans un univers fantasmagorique. Ces personnages nous plogent dans le monde de la métamorphose, du retournement de situation ou l’impossible devient réalité. Le quotidien se transpose dans un monde fantastique ou les rois côtoient les dragons,, où les animaux parlent pensent et agissent ou les ancêtres reviennent sur terre s’adresser aux vivants. C’est aussi un champ d’expression qui permet une approche

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Art primitif, Art premier, Art africain, African Art Gallery, Tribal Art Gallery
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