Result of the research : 'trésors'
PARIS TRIBAL
Du 3 au 6 avril 2014
Quartier Beaux-Arts / Saint-Germain-des-Prés
Paris Tribal : 26 galeries parisiennes créent un nouvel événement qui
conforte la place de Paris comme capitale des arts premiers
Les arts premiers fascinent car ils racontent une histoire dont on ne saisit parfois que les contours et
qui ne livre souvent qu’une partie de ses secrets. Cet appétit pour l’art tribal, très répandu en Europe
et aux Etats-Unis, se développe dans le monde entier.
Est-ce l’histoire coloniale, le goût des surréalistes pour les mystères ethniques ou encore les emprunts
de l’art nouveau au répertoire primitif, toujours est-il que les amateurs d’art vont naturellement vers
cet art des origines. Indéniablement, Paris apparaît aujourd’hui comme la capitale des arts premiers, à
l’image du grand nombre de galeries parisiennes internationalement connues et du succès régulier du
Parcours des Mondes en septembre, dont Paris Tribal se veut aujourd’hui le complément.
Forts de ce constat et conscients de l’arrivée sur le marché d’une génération de collectionneurs férus
d’art contemporain mais désireux de s’initier aux arts premiers, les marchands parisiens ont décidé de
créer un nouvel évènement au printemps pour montrer leur capacité
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Docteur en lettres, Jean-Jacques Breton travaille au département Livres de la Réunion des musées nationaux. Membre de la société des amis du Quai Branly, on lui doit la bibliographie de la librairie de ce musée. Spécialiste des arts premiers, collectionneur d’objets d’art tribaux principalement asiatiques, Jean-Jacques Breton est l’auteur de ‘L’Histoire de l’art pour les nuls’ en 2006 et surtout d’une ‘Anthologie des arts premiers’ en 2008.
Petites histoires de l'art
Jean-Jacques Breton
Sur le modèle des Petites histoires de l’histoire de France de Jean-Paul Rouland et quelque part entre les Miscellanées de Mr Schott et Au bonheur des mots de Claude Gagnière, voici Les petites histoi... »
L'histoire de la peinture pour les nuls - Pour les nuls
Jean-Jacques Breton, Dominique Williatte
Quand on vous dit " peinture ", vous pensez " Ah tiens, si je rafraîchissais les murs du salon " ? Vous prenez le Quattrocento pour une marque de café, et les Fauves pour des bêtes féroces ? Ou l'art ... »
Les Arts Premiers en jeux
Jean-Jacques Breton
Livre-Jeu | broché | Ellipses | mars 2010
Anthologie des peintres pompiers
Jean-Jacques Breton
Anthologie | broché | Bibliotheque Des Introuvables | décembre 2010
Anthologie des arts premiers
Jean-Jacques Breton
Beau Livre | broché | Moliere Eds | juin 2008
Anthologie des peintres pompiers
Jean-Jacques Breton
Anthologie | relié | Bibliotheque Des Introuvables | janvier 2011
Trésors
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Pol Pierre Gossiaux
Titulaire de la Chaire
d’Anthropologie des systèmes symboliques
et d’Ethnosémiologie de l’Art africain
Université de Liège (Belgium)
PP.Gossiaux@ulg.ac.be
Le Bwame du Léopard
des
Babembe (Kivu-Congo)
Rituel initiatique et rituel funéraire
Avec 52 illustrations
2
Table des matières (1ère partie)
Avant dire. Présentation du Bwamè
3
Fondements de l’anthropologie
et de l’ethnosémiologie bembe
10
Exorciser l’animal
Fondements du savoir bembe
15
Les animaux et la titulature du Bwamè
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NOTUE' Jean-Paul et TRIACA Bianca
BANDJOUN: Trésors royaux au Cameroun. Bandjoun: tradition dynamique, créations et vie. Catalogue du Muséè de Bangjoun
Détails sur le produit:
Broché: 246 pages - 41 color plates and 142 b/w figs, cm 17x24 - Editeur: Five Continents Editions; Édition: illustrated edition (Novembre 2005) - Langue: Français - ISBN: 8874392036 - ISBN 13: 9788874392032
Descrizione libro: I visitatori di Bandjoun rimangono impressionati dalle danze, le cerimonie e i panorami, gli elementi architettonici riccamente ornati, gli splendidi troni reali, e le magnifiche maschere, gli oggetti di perle, le stoffe dagli enigmatici motivi ornamentali. Il libro presenta più di un centinaio di oggetti del patrimonio culturale e artistico di Bandjoun, uno dei principali centri di creazione e tradizione artistica della Grassland camerunense. Le opere di questi artisti di talento sono, da un lato, la celebrazione dei fasti della corte reale di Bandjoun, della magnificenza e del potere dei suoi monarchi e dei loro collaboratori, e della solidità delle istituzioni, e, dall'altro, la traduzione formale di temi universali come la morte, la vita, la sconfitta, l'amore, la vittoria, il potere, il prestigio, la forza occulta, ecc. In molti casi sono opere di eccelsa qualità esecutiva, di indiscutibile autenticità, e di grande valore
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GOTTSCHALK Burkhard
- L'art du Continent noir Afrique -
Senoufo: Tresors inconnus des Collections Privees - Volume 3
Détails sur le produit:
Africa Incognita, Dusseldorf, 2009. Softcover. 20x21 cm. - 228 pages. Numerous color and a few black & white photographs. Text in
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AUBERT Laurent
Le monde et son double, ethnographie : trésors d'un musée rêvé
Détails sur le produit:
Broché: 237 pages (24x31cm) Grand in-4°- Editeur: Adam Biro (16 mars 2000) - Langue: Français - ISBN-10: 2876602822 - ISBN-13: 978-2876602823
Descrizione libro:
Couverture rempliée illustrée couleurs, nombreuses illustrations dont couleurs in et hors-texte. Ouvrage collectif dirigé par Laurent Aubert. Photographies de Johnathan Watts. Musée d'ethnographie de Genève. Joint CD: "Musiques - Les Archives internationales de
musique populaire". Bel exemplaire. (f10) Adame Biro, Musée Genève,
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Sotheby's
Création 1744
Siège social New York (États-Unis)
Activité(s) Vente aux enchères d’œuvres d’art
Site Web www.sothebys.com
Sotheby’s est une société internationale de vente aux enchères d’œuvres d’art, la plus ancienne au monde et la seule à être cotée à la bourse de New York. Elle organise 350 ventes par an, à Paris, New York, Londres, Hong Kong, Genève et Milan notamment et compte 400 spécialistes en art.
Histoire
Sotheby's à Londres, New Bond Street
Siège de Sotheby's à New YorkEn 1744, Samuel Baker fonde la première société de vente aux enchères au monde, spécialisée dans les livres et manuscrits. Elle se développe rapidement et organise la vente des grandes bibliothèques, dont celle de Napoléon Bonaparte. Deux siècles plus tard, Sotheby's étend son domaine de compétences aux estampes, médailles et monnaies et s’installe sur New Bond Street à Londres. Le chiffre d'affaires des œuvres d'art dépasse alors significativement celui des livres.
À la fin des années 1950, la société connaît une phase de forte croissance, sous la direction de Peter Wilson. Sotheby’s joue un rôle actif dans le regain d’intérêt
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Commissaire-priseur
Appellation(s) Commissaire-priseur habilité
Commissaire-priseur judiciaire
Secteur(s) d'activité Droit, Art
Niveau de formation Universitaire
Professions voisines Clerc de Commissaire-priseur, Huissier, Expert, Crieur
Le commissaire-priseur dirige la vente publique aux enchères de biens meubles. La prisée étant l’estimation d’une chose destinée à la vente. La vente aux enchères publiques permet l’établissement du juste prix par la confrontation transparente entre l’offre et la demande.
Historique
La première vente aux enchères publiques connue remonte à 146 av. JC, les Romains y dispersèrent, sous la présidence du Consul Lucius Mummius, les trésors pillés dans les cités grecques. En l'an 7, face à l'engouement pour ce type de vente, un édit de l'empereur Auguste institue une taxe de 1% sur les ventes de mobilier et d'objets et de 4% sur les ventes d'esclaves. Les ventes sont alors désignées sous le nom d'auctionnes et sont dirigées par les actionators (terme repris par les anglo-saxons) ou magister (dont la contraction donnera maître). La publicité des ventes est assurée par voie écrite ou orale, avec les crieurs (præcones) qui parcourent la ville. La rémunération des auctionators est garantie par une taxe de 1% sur les adjudications. Ils exercent ainsi conjointement les métiers de banquier et de prêteur sur gage. Mais la chute de l'Empire aura raison de cette
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L’essentiel Le pavillon prend le look abstrait, alors que son intérieur fait reparaître le style énergique primitif propre au Congo- Kinshasa, créant un cadre naturel et simple. L’espace d’exposition principal développe les sujets «Impression» et «Retour à l’état original» autour des gisements de couleurs éclatantes, exagérés et abstraits. L’espace d’exposition complémentaire développe lesujet «Développement». Caractéristiques du pavillonA ne pas manquer 1«Impression» exhibe, du point de vue des «ressources», l’aspect géographique et le contexte historique du pays à l’aide des mots, des photos et des modèles. A ne pas manquer 2«Retour à l’état original» exhibe, du point de vue de l’homme, le véritable cadre de vie et les coutumes des habitants du pays à l’aide des objets réels exposés et des scènes de vue. A ne pas manquer 3«Développement» décrit le parcours du développement urbain à l’aide des monuments représentatifs et des statues sculptées.
La République du Congo présentera « une vie harmonieuse dans la modernisation » à l'Expo 2010 2008/09/17
La République du Congo a signé par correspondance le 17 septembre le contrat de participation à l'Expo 2010. Il présentera dans le pavillon conjoint de l'Afrique sous le thème « une vie harmonieuse dans la modernisation ». Jusqu'à présent, 93 pays et organisations internationales ont signé le contrat de participation.
La République du Congo a confirmé sa participation au mois
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Les manettes : autrefois en osier , elles sont aujourd'hui en plastique, ce sont des caisses dans lesquelles on trouve des objets de peu de valeur (de la drouille) qui sont dispersés au début d'une vente courante , la légende dit qu'elles peuvent receler de trésors ou d'objets volés.
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L’art indigène des colonies françaises _ Pavillon de Marsan
(Louvre, Paris) 1923 Stéphane Chauvet et l’exposition du pavillon de Marsan Stéphane Chauvet est né le 27 Novembre 1885, à Béthune dans
le Pas de Calais, il était normand d’origine, riche d’une magnifique hérédité
scientifique et intellectuelle. Son père inventa la lampe à arc et le treuil
Chauvet qui révolutionna les conditions d’exploitation des mines. Entraîné dans ce courant très jeune, Stephen Chauvet
manifesta une vivacité d’intelligence dont on rencontre peu d’exemples. Lauréat
au concours général, bachelier de philosophie à 15 ans, le naturaliste Mangin,
directeur du Museum, frappé par ses dons d’observation l’arrache à la
préparation de polytechnique pour l’orienter vers la médceine et les sciences
naturelles. Depuis le jour où après la guerre 14-18 il obtint de la veuve du
commandant Bertrand revenant de >Zinder une petite statuette féminine du
Soudan et un masque double, Chauvet fut touché par la grâce de l’art nègre et
par le démon de la collection. De 1920 à 1935 quinze années durant il sera un des plus
surts animateurs de ce mouvement qui oriente l’opinion publique vers les arts
indigènes et en particulier
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Benin
Five Centuries of Royal Art
Produced by the Museum für Völkerkunde (Ethnology Museum) in Vienna, the Benin catalog, five centuries of royal art to discover the masterpieces of the art of court of the kingdom of Benin in the south of the Current Nigeria.
Reference book of over 500 pages, published this comprehensive retrospective, it includes an introduction to local traditions of Nigeria, reports on field research and the latest offers historico-cultural, symbolic and pictorial exhibits , crucial for the identity of the kingdom of Benin.
It is the perfect mirror of the exhibition that brings together for the first time in Europe, mostly from collections in England, Germany and Austria. All these works, a remarkable historical unity, draws a broad panorama of art and culture of the kingdom of Benin.
Treasures of mankind and blocks of museums around the world, beautiful bronzes and ivory carvings are at the heart of the course., Supplemented by maps, manuscripts and chronicles of travel, many clues for the reader of the immense wealth of the past in Nigeria.
five centuries of royal art
October 2, 2007-January 6, 2008
Curator: Barbara Plankensteiner, Director of Collections of Africa Museum of Ethnology in Vienna.
Produced by the Museum of Ethnology in Vienna, the Benin exhibition to discover the masterpieces of the art of court of the Kingdom of
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Primitive arts in Kaos
Le Journal des Arts - n ° 220 - September 9, 2005
The young Parisian journey Kaos has quickly become the global meeting place among lovers of primitive art. With a fourth edition even richer.
It took only two years at Kaos-Course Worlds in Paris Saint-Germain-des-Prés, home of the primitive arts, to win. Modeled on that of Bruneaf Brussels (Brussels Non European Art Fair), Kaos is an open event bringing together specialist dealers concentrated in one area (ie, exhibiting in their walls or hosted by other galleries). But while Bruneaf is losing momentum in recent years, Kaos is getting stronger. Created in 2002 from an idea by Rik Gadella (among other founder of Paris Photo), the appointment of Parisian art lovers first hosted the first year 21 galleries around the axis of the Rue de Seine, then 40 participants in 2003. The formula took off in 2004 with 51 exhibitors from around the world and has already reached international fame. This latest edition was also shown the excesses of the success of Kaos: merchants had refused leased spaces on the course to enjoy the commercial success generated by the event. Without dwelling on the subject, "not to do their advertising, its management announced a reinforcement of the signage" Kaos "to foreclose any parasites.
Must
This year, 55 galleries will open the festivities on the evening of Sept. 14, in a friendly atmosphere that gives the event a very special charm
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Jean Paul Barbier-Mueller est un collectionneur suisse, né à Genève en 1930.
Biographie
Il a subi l’influence d’un père que tout passionnait : la poésie, la philosophie, la musique (une des ses oeuvres fut créée à Seattle en 1985) ou la science (il obtint son doctorat en biologie à l’âge de 47 ans).
Après des études de droit à Genève et à Londres, il s’inscrit au Barreau, mais se retrouve assez rapidement au service d’une grande banque, puis directeur, à 28 ans, d’une société financière. En 1960, il crée sa propre entreprise, la Société privée de gérance, spécialisée dans la gestion du parc locatif immobilier d’investisseurs institutionnels et la construction d’immeubles à caractère social.
Collectionneur à la suite de son beau-père Josef Mueller, il s’oriente vers les arts « non occidentaux ». Avec sa femme Monique, il crée en 1977 le musée Barbier-Mueller, qui organise plus de soixante-quinze expositions, la plupart accompagnées d'importants catalogues, présentant les différentes sections de la collection familiale, avec la collaboration des plus grands musées d’Europe, d’Amérique et d’Asie. Il conduit lui-même ou finance des recherches à Sumatra, en Côte
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DE L'ART ANCIEN AFRICAIN, DE L'ETHNOLOGIE ET DU MUSEE: POUR UN RECENTREMENT DE L'ESTHETIQUE... Au
commencement était la nuit. Une longue nuit pour l'esthétique
africaine. Ce fut le règne sans partage du musée dit «de séries»,
véritable vitrine du colonialisme, de confession évolutionniste et dont
l'approche contextualiste célébrait l'Etrange, chantait l'Aventure et
la Science. A cette époque point d'« objets », que des curiosités,
trésors de guerre et pièces de laboratoires de chevronnés «
Civilisateurs ». Il n'était pas rare alors, de voir des sculptures
côtoyer dans les vitrines : cornes, peaux de bêtes et autres feuilles
de palmier. Puis, il y eut le regard affûté d'une jeune génération
d'artistes particulièrement douée et par ailleurs cruellement blasée,
en quête de médecine pour un art européen las de son académisme figé.
Cette génération vit dans ce fouillis les moyens d'une rédemption...
Une
certaine révolution est venue corriger l'évidente injustice, consacrant
depuis le siècle dernier des expositions à caractère esthétique pour la
production africaine. Désormais, les objets, dans une dramaturgie
suggérée par les seules qualités plastiques, invitent à un rapport
nouveau. Exit la surabondance, la cacophonie et le "meurtre du vrai"
que génère la tentative bancale de reconstitution de l'ailleurs
fantasmé. Ici on ne rejoue pas le film de l'heureuse rencontre avortée
entre "civilisés" et "primitifs". Nous avons les vrais Stars que sont
les objets, mais d'une
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Sarah Lagrevol Ecole du Louvre Spécialité Arts de l'Afrique
INTRODUCTION L'Ethiopie, vaste pays mentionné dès le Ier siècle dans le récit grec Le périple de la Mer Erythrée, suscite un engouement particulier de la part des Européens. Cette Ethiopie rêvée continue au Moyen Age avec le mythe du royaume du Prêtre jean. Depuis la conversion du pays au IVe siècle de notre ère, le monde chrétien est omniprésent et accompagne les fidèles dans leur vie quotidienne. Le symbole de la croix, marque distinctive des dévots et image de rédemption, est présent sur tous types de supports (peinture, sculpture, décor architectural, objet façonné…) et de nombreuses interprétations lui sont attachées. Ces croix participent aussi par la bénédiction et les pratiques d'exorcisme à protéger les fidèles et à les soigner spirituellement. Les différents types de médecines pratiquées donnent également lieu à la production de rouleaux aux vertus " magiques " qui chassent ou apaisent les esprits habitant le patient.
De par l'étude de la
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Africa under colonial rule, 1880-1935
Research Director
Professor A. A. Boahen (Ghana)
In February 1976, in Nigeria, a man was arrested at a police checkpoint between Ibadan and Lagos. He was carrying two bags full of bronze sculptures and wood on suspicion of having stolen it affirmât well as the owner. Upon inquiry, the man telling the truth. Recently converted to Islam, he lived and worked in Ibadan at a community center. The effigies of deities carved Yoruba he was carrying had been brought in Ibadan, like many others, by migrant workers to satisfy the spiritual aspirations of these artisans, shopkeepers, civil servants and other migrant workers in their temporary residence. But the leader of the community, having converted to Islam, began in turn to convert their neighbors. Converted in his turn, the suspect heard himself served as symbols of their ancient faith were to disappear to allow the community center to become a dwelling worthy of the spiritual presence of Allah. Unable to consider destroying these objects, he resolved to return to his village, place of origin, where they have since been resettled.
This incident is a perfect example of the evolution of cultural forms and their concrete manifestation and at the same time, the survival or the renewal of cultural values from specific forms of domination, whether of a religious or more clearly social. What remained true in 1976 was even more common during this period particularly dramatic external domination of Africa, which saw the submission of an entire people, its social
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The Metropolitan Museum of Art is an art museum located on the eastern edge of Central Park, along what is known as Museum Mile in New York City, USA. It has a permanent collection containing more than two million works of art, divided into nineteen curatorial departments. The main building, often referred to simply as "the Met," is one of the world's largest art galleries, and has a much smaller second location in Upper Manhattan, at "The Cloisters," which features medieval art.
Represented in the permanent collection are works of art from classical antiquity and Ancient Egypt, paintings and sculptures from nearly all the European masters, and an extensive collection of American and modern art. The Met also maintains extensive holdings of African, Asian, Oceanic, Byzantine and Islamic art. The museum is also home to encyclopedic collections of musical instruments, costumes and accessories, and antique weapons and armor from around the world. A number of notable interiors, ranging from 1st century Rome through modern American design, are permanently installed in the Met's galleries.
The Metropolitan Museum of Art was founded in 1870 by a group of American citizens. The founders included businessmen and financiers, as well as leading artists and thinkers of the day, who wanted to open a museum to bring art and art education to the American people. It opened on February 20, 1872, and was originally located at 681 Fifth Avenue.
As of 2007, the Met measures almost a quarter mile long and occupies more than two million square feet.
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The Quai Branly museum is set on quai
Branly in the 7th district of Paris, where was located the Foreign Exchange
Market Department. Ambitious project led by Jacques Chirac (passionated by « primitive
art ») and realised by Jean Nouvel, it has been unveiled the 20th of June
2006. History Jacques Kerchache, art seller and african art expert, tried from the
begining of the 1990’s to bring the « primitive arts » into the
Louvre museum. In 1990 he signed in the newpaper Libération an article on this
topic ; the same year he met Jacques Chirac, then mayor of Paris. The latter is elected president of the Republic in 1995. As soon as he
arrived at the head of the State, he askes for the opening of a primitive art department
at the Louvre museum. One year later he announced the project of creation of a
new museum, which quickly meet an opposition, especially with a strike of the personnal of the Man
museum in 1999, to stand in the way of the disassembly of the museum’s
collections and criticize the primacy of the aesthetic choice instead of the
scientific factors. An architecture competition is sent out in 1999, designating Jean Nouvel as
the architect. This museum is unveiled the 20th of June 2006 by Jacques
Chirac, in the presence of Kofi Annan, Rigoberta Menchú, Paul Okalik, Dominique
de Villepin, Lionel Jospin and Jean-Pierre Raffarin. The Quai Branly museum has
the status of public administratove institution. It’s placed under the guardianship
of the Department of Culture and
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The Quai Branly museum is set on quai
Branly in the 7th district of Paris, where was located the Foreign Exchange
Market Department. Ambitious project led by Jacques Chirac (passionated by « primitive
art ») and realised by Jean Nouvel, it has been unveiled the 20th of June
2006. History Jacques Kerchache, art seller and african art expert, tried from the
begining of the 1990’s to bring the « primitive arts » into the
Louvre museum. In 1990 he signed in the newpaper Libération an article on this
topic ; the same year he met Jacques Chirac, then mayor of Paris. The latter is elected president of the Republic in 1995. As soon as he
arrived at the head of the State, he askes for the opening of a primitive art department
at the Louvre museum. One year later he announced the project of creation of a
new museum, which quickly meet an opposition, especially with a strike of the personnal of the Man
museum in 1999, to stand in the way of the disassembly of the museum’s
collections and criticize the primacy of the aesthetic choice instead of the
scientific factors. An architecture competition is sent out in 1999, designating Jean Nouvel as
the architect. This museum is unveiled the 20th of June 2006 by Jacques
Chirac, in the presence of Kofi Annan, Rigoberta Menchú, Paul Okalik, Dominique
de Villepin, Lionel Jospin and Jean-Pierre Raffarin. The Quai Branly museum has
the status of public administratove institution. It’s placed under the guardianship
of the Department of Culture and
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